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POV Maxina:

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POV Maxina:

-Pourquoi rigoles-tu ? Demanda-t'il en se basculant sur son siège, accédant à une vue sur la cuisine, il s'assurait certainement qu'Isabelle ne soit pas dans les parages. Il n'appréciait visiblement pas Isabella...

-Tom, si tu n'apprécies pas Isabella, pourquoi l'avoir pris comme gouvernante..? Ai-je demandé en sirotant ce qu'il semblait être du jus de pomme.

-Je ne l'ai pas choisi, c'est Henry... Méfie-toi d'elle... Elle est ici uniquement pour que je m'acharne et me venge de tout le mal qu'elle m'a infligé... Son ton était froid tout comme son regard, il saisit son verre de jus de fruit qu'il sirota à son tour.

-Ce n'est pas un peu violant ? Ai-je bredouillé en fixant le fond de mon jus.

-Rien ne payerait ce que elle a fait, jamais...

Flashback Numéro 2:

-Allez ! On se relève ! Hurla la vieille femme en faisant claquer son fouet contre le marbre ignorant les pleures de mes camarades qui s'intensifiaient à chaque coup.

Bill assistait impuissant à la scène, le visage couvert de morves de les larmes qui ne cessaient de couler le long de ses joues rougis. Il se tenait fermement contre les barreaux de sa cage, son visage emboité entre deux fers. Gustav guettait par le petit trou qu'il avait crée ce qu'y ce passait, sanglotait et tremblotant de peur, suppliant la vieille dame d'arrêter. J'ai tenté de me redresser, voulant à tout pris calmer la panique autour de moi, mais la seule chose que je voyais c'était cette énorme flaque de gerbe au sol. Ma gorge me brûlait et mes membres me faisaient mal, un petit corps comme le mien ne pouvait endurer les coups enchainés par la fouet. Mon corps tremblotait et j'avais beau pousser sur mes bras, je n'avais visiblement pas la force de me remettre sur pieds.

-Je t'ai dis de te relever ! Éclata-t'elle à nouveau, en frappant une nouvelle fois son arme au sol.

-Non ! Laissez le tranquille maman... S'il vous plait... Bill faisait claquer le métal sous ses mains dans l'attente d'attirer l'attention, ses sanglot déchirant me brisaient moi même le cœur. Il faisait recours à ses derniers forces pour me sauver comme il pouvait.

Mais maman laissa échapper un rictus sinistre avant de se rapprocher vers mon corps ramollis, faisant claquer ses talons aiguilles et vibrer les pierres du sol. Pendant un court instant, j'aurais pensée qu'elles quitteraient leurs places. Je sentis sa présence au-dessus de moi, j'haletais bruyamment en priant intérieurement pour ne pas cédé à cette odeur insoutenable que déjà le contenu éparpillé au sol de mon estomac dégageait et de trouver ne serait-ce qu'un peu d'air parmi cette agonie. Juste le nécessaire pour me maintenir conscient encore un peu de temps. Je ne pouvais pas m'évanouir maintenant et laisser mon corps à sa merci. La grande femme se pencha sur moi, posant délicatement sa main manucurée et remplis de bijoux sur mes cheveux en les caressant du pouce. Elle s'agenouilla face à moi, en un bruit métallique du mouvement de ses chaines et colliers autour du cou. La vieille femme sentait une forte odeur de parfum et cigarette qui me fit vite oublier le contenu face à moi.

Lügen -Tom kaulitzOù les histoires vivent. Découvrez maintenant