Je me souviens de cette fille aux yeux bleu, de ce regard que tu avais quand ton regard se posait sur elle. Tu riais à ses blagues plus qu'aux miennes. Je me disais que peut-être tu m'écouterais, si j'étais aussi belle.
C'est vrai, j'avais tout de même ma peine et ma valise. Je me demandais encore si j'étais assez bien pour une ville comme Venise. Pourtant, si j'étais belle comme elle, est-ce que ça aurait été suffisant pour me remarqué?
En ce temps là, un mot de toi m'aurait été promission. Toutefois, tu n'avais d'yeux que pour elle. Je m'en veux de la détester autant. De son odeur de magnolia, elle aurait fit d'enlever sa robe, si tu lui avait demandé. Ses faits et gestes sont si parfaits, si je lui ressemblait, je serais de celles qui s'aiment dans un miroir.
Elle avait la marche légère et de longue jambes de faon. Son chant de sirène, tu l'as entendu plus d'une fois. Il m'est alors inutile de geindre, si l'ont acquiert comme il convient le sentiment de n'être rien face à l'adversité. Toutefois, je veux être belle, juste pour une fois afin que tu ne vois que moi.
VOUS LISEZ
Je ne suis pas une marionnette
Random« Je te fais vivre dans mes textes, je te noies entre les lignes »