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Le Ciel et toi 🦜

J'ai tellement aimé écrire cette histoire, ça va me manquer...

Quelques pensées en désordre :

J'étais en train d'en écrire une autre quand Le Ciel a germé dans mon esprit, d'un coup. Il fallait que je l'écrive immédiatement. J'ai laissé tomber momentanément mon autre histoire pour me lancer dans celle là.

Je voulais écrire une histoire d'amour simple, il n'y a pas d'événement spectaculaire, les métiers de la plupart des protagonistes sont assez communs, mis à part la trajectoire de Jungkook qui est plutôt fulgurante.

Les premières scènes qui ont été écrites sont celles de leur danse avec l'iconique Bonnie Tyler, celle du lac où Taehyung dit des choses très dures à Jungkook, et celle de la fin. Toute l'histoire a été construite autour de ces chapitres.

Au tout début, Jungkook devait travailler chez Taehyung, mais ça n'a pas duré longtemps. ça ne collait pas avec sa personnalité et son désir d'indépendance. Je voulais que les affinités se créent avec Jiho et Taehyung en dehors d'une obligation professionnelle. Je voulais que ça soit le destin et l'évidence.

Jiho est apparemment un prénom porté généralement par les hommes, plus rarement par les femmes mais j'aimais sa sonorité, ça collait bien avec sa personnalité. Entière, sensible, têtue, vive, qui a fait face à beaucoup de difficultés : Kim Jiho

La musique m'a accompagnée pendant l'écriture, j'ai beaucoup écouté bts, Coldplay et les derniers albums de Jimin, Yungblud et Jazmin Bean. Leurs sons ont souvent illustré mes storys insta annonçant les chapitres. C'était un petit casse tête parfois de trouver une chanson teaser, mais aussi amusant, je vais recommencer la prochaine fois 😉

Enfin, sachez que j'ai beaucoup souffert pour écrire cette histoire 😄 : Je n'aime pas les insectes ni les araignées, j'en ai une peur bleue. J'ai passé des heures à compulser des pages d'insectes AVEC DES PHOTOS EN GROS PLAN pour ne pas être incohérente et coller un moustique équatorien dans un jardin Coréen.

Et il y aura un épilogue, je ne sais pas encore quand. Je ne peux pas me résoudre à les lâcher tout à fait.