Chapitre 29

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PDV d'Athéna:

Je me réveille le lendemain en sentant une bouche chaude sucer mon téton droit.

- Hummm, gémis je ouvrant lentement les yeux.

- Cendrillon c'est enfin réveillée, sussura t'il en me suçant l'autre téton.

Hummm c'est bon

- Viens prendre ton petit déjeuner, m'ordonna t' il en se redressant.

Quoi ?

- Si on restait au lit , lui proposais je.

- On reprendra nos round après que tu aies mangé, j'ai déjà fait le petit déjeuner, me dit il en me donnant son t shirt.

Je m'empresse de le mettre puis nous sortons de la chambre. Arrivés dans la cuisine, je m'installe sur un tabouret puis je commence à manger mes croissants.

- Pourquoi vous ne mangez pas avec moi? Lui demandais je en remarquant son regard posé sur moi.

- J'ai déjà mangé et en ce moment j'ai envie d'autre chose, me sussura t'il malicieusement.

Je rougis comme une tomate.

Cet homme sait me mettre dans tous mes états

Après avoir fini le petit déjeuner, nous repartons dans ma chambre où passons toute la journée à faire l'amour.

                   (****************)

Le temps est vite passé, Mathilda n'est toujours pas revenu de son voyage. Adolph m'a proposé à plusieurs reprises que j'aille vivre chez lui mais j'ai refusé, je sais qu'il l'a mal pris mais il fait avec. Nous passons tout notre temps à faire à dîner et à faire l'amour chez lui ou chez moi ou dans son bureau.

Je vis un merveilleux conte de fées et je ne veux jamais me réveiller

J'ai hâte de le retrouver chez lui

Et seul point mort c'est Dean Harris qui je lui donne une chance mais je n'arrive pas à lui dire que je suis en couple avec Adolph VAN DER BIELD. Si je le lui dis ça confirmera la théorie d' Anastasia Baker. Quand la presse a su pour notre relation, tout le monde m'a traité de croqueuse de diamant , le même jour Anastasia Baker est venue chez moi pour me menacer de me tuer si je ne quittais pas Adolph mais j'ai refusé.

Elle a encore espoir qu'elle peut le récupérer

- Pourquoi as tu ramené Dora chez toi? Bouda James en me sortant de ma torpeur.

Il ose encore me poser la question ?

- C'est parce que tu as essayé de le voler quand je n'étais pas là, pestais je en réajustant ma veste bleue.

- Tu n'as rien pour prouver que je l'ai fait, se défendit il.

- Je te rappelle que la caméra t'avait filmé , rigolais je.

Il me suit dans mon fou rire puis il reprend son air sérieux.

- Ça t'arrive de penser à ton petit frère ? Hésita t' il à demander.

Le sujet sensible

Mon petit Arès

Il me manque tellement

Il ne passe un jour sans que je ne me demande ce qu'il est devenu

À quoi ressemble t'il?

Porte t'il encore des lunettes ?

S'est t'il déjà fait enlever son appareil dentaire ?

Est il bon élève à l'école ?

A t'il une petite amie ?

Est ce qu'il me déteste de l'avoir abandonné ?

- Oui , je me dis qu'il avait été adopté par une gentille famille qui l'aime comme s'il était leur fils biologique, je l'imagine comme étant un adolescent de 17 ans gentil et bien élevé, qui a des principes et n'aime pas la violence, dis je en souriant tristement. Chaque année pendant son anniversaire je fais toujours un gâteau au chocolat c'est son préféré, je coupe deux parts de gâteau, je mange la mienne et je garde la sienne jusqu'au lendemain. Je préfère m'imaginer des bonnes choses sur lui que de penser qu'il est mort ou soit en prison, sanglotais je en prenant un mouchoir en papier.

J'ai peur connaitre cette vérité

- Tu ne t'es jamais dit qu'il avait peut être changer de nom voilà pourquoi les détectives de monsieur VAN DER BIELD ne l'ont jamais retrouvé, énonça t'il.

Oui ça tient la route

Mais ça sera encore plus difficile de le retrouver puisqu'on ne connait pas son nouveau nom

- Sauf qu'on ne connait pas son nouveau nom, soufflais je en me calant sur mon fauteuil.

Où es tu ARÈS DOURKANLIS ?

- Je vais t'aider à le retrouver mais ça peut prendre beaucoup de temps, me dit il après mûre réflexion.

La porte de mon bureau s'ouvre brusquement sur Dean Harris qui a les traits tendus, il tient un journal dans son poing.

- C'est vrai que tu sors avec Adolph VAN DER BIELD ? Me demanda t' il en contractant sa mâchoire.

Il l'a découvert

D'où le journal qu' il tient à la main

- Oui , répondis je calmement.

- Ça date depuis quand ? Continua t' il.

Hein?

- Pourquoi veux tu le savoir ? Rétorquais je.

- Je suis désolé , je ne voulais pas me mêler de ta vie privée, s'excusa t' il en soufflant. Je suis juste content pour toi, sourit il tristement en tournant les talons.

C'était mieux qu'il le sache pour qu'il arrête de se faire des idées

Je reprends mon travail, je finis par arrêter à 20 heures  , je prends mon sac puis je sors du bureau, il n'y a presque plus personne. Arrivée devant ma voiture je sors mes clés pour ouvrir la portière, mais je me fige quand quelqu'un pose un mouchoir sur mon nez, j'essaie de me débattre mais l'individu bloque mes poignées puis je m'écroule inconsciente sur le trottoir.

Pitié sauvez moi.............

MONSIEUR VAN DER BIELDOù les histoires vivent. Découvrez maintenant