Short story hour

La créature...

Il fut un temps, à une époque lointaine, le monde des créatures et des humains ne furent connu des uns des autres. Le monde auquel nous allons nous y intéressé le plus est celui des créatures. Plus particulièrement à l'une de ces créatures. 

Celle-ci fut si belle qu'elle en devint envié par son peuple. Cette envie et cette jalousie toucha de même les ancêtres de ce peuple. Affecté par ce lourd et fort sentiment, ils la privèrent d'un droit important aux yeux de notre créature... Le droit de naissance.  

Touché par cette punition, l'envieux ne fut plus le peuple, mais la créature en elle même, envieuse des mères élevant une partie d'elles à leurs cotés, jalouse des parents assistants aux premières de leurs enfants. 

Jusqu'à maintenant notre belle créature ce disait "trop jeune" pour enfanter, mais le désir était si fort qu'elle s'en alla. Elle s'en alla à la recherche de solutions.

Lors de sa quête, elle entendit parler d'un esprit maléfique, connu par son pouvoir aussi sombre et noir que le chaos. "Le Nogitsune", cet être doté de grand pouvoir est connu et célébrer par certains dans ces lieux. Mais il est surtout crain. On raconte que contrairement aux autres de son espèce, son pouvoir n'a pas de limite.

Malgré les réticences et les mises en gardes de ses informateurs, rien ne l'en dissuada. Elle partie à la recherche de cet être qui sème la peur dans ce village. 

Arrivé, elle se trouva face à une entrée semblant étroite et dangereuse. Cette entrée est celle d'une grotte. Elle s'enfonça peu à peu dans la grotte et s'arrêta soudainement, aussi soudainement que l'apparition d'un rire dans la pénombre.

Ce rire semblait si faux qu'il lui fit froid dans le dos. Seulement, emportée par son désir, elle continua son chemin jusqu'à ce que celui-ci se fini. Surprise pas cela, elle pensa qu'elle s'était trompée.

Mais non, ce n'était pas le cas. Les rires retentissaient une nouvelle fois mais plus intense. Dans un frisson de peur, elle ne bougea point.

"JE SAIS QUE VOUS ÊTES LA !" fini-t-elle par dire.

"Et je sais ce que tu souhaites ma chère." répondit une voix grave dans un grain de malice.

Après cette réponse peu rassurante, un renard noir apparu face à elle. Un beau et majestueux renard à neuf queues. Surprise, elle le regarda sans un mot.

"Je..." commença-t-elle hésitante.

"Si vous savez ce que je souhaite, alors donnez le moi !" se reprit-elle

"Je vous en prit..."

"Bien sur que je te le donnerais, mais en échange de se souhait !" tonna-t-il "lorsque ta tristesse sera aussi forte que ta joie a la naissance de ton enfant, tu me devras corps et âme." fit-il dans un sourire carnassier.

Mais notre jeune créature, aveuglé par son désir accepta sans plus de précaution. L'être, heureux de cet arrangement, fit apparaitre une boule de noirâtre entre ses mains. Entre celles-ci, il appuya sur la boule de fumée comme si celle-ci avait une masse et elle fit son chemin en traversant son ventre et elle y resta.

Intriguée, la créature passa une main douce sur son ventre.

"N'oublies pas notre marcher !" tonna l'esprit.

Et notre créature s'en alla sans y prêter plus d'attention...

De retour chez elle, elle patienta jours après jours, nuits après nuits quand fut enfin le moment tant attendu. En pleine nuit, des douleurs insoutenables frappa notre belle créature... Des contractions.

Le visage déformé par ses cries de douleurs, et la vision troublé par les larmes de fatigue, elle donna naissance à son enfant. Seule depuis le début, elle s'endormit. 

Mais par sa vue trouble, elle ne vit point les détails assez surprenant de son bébé.

Le lendemain, lors de son réveil, elle souri devant le visage doux et dormeur de son enfant. Mais plus elle le regardait, plus elle comprenait. Elle comprenait que son enfant était différent. Par ses petites oreilles touffus, et ses neufs petites queues prônant sur le bas de son dos.

Elle regardait tour à tour les oreilles et les queues de son enfant. Ce bébé était en parti celui du renard noir. Le sourire aux lèvres, elle admira son enfant.

"Peu m'importe ce que tu es et ce que tu deviendras tu resteras mon miracle avant tout... Mon fils." chuchota-t-elle aux creux de l'oreilles animal de son garçon.

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Les années passèrent et les mondes changèrent, autant celui des créatures que celui des humains. A ce jour, ces deux mondes ne firent qu'un dans le chaos, la destruction et les morts. Les humains avaient pour passe-temps la chasse tandis que les créatures tentaient de survivre. 

Mais peu y arrivèrent.

Là, dans les bois, notre belle créature fuyait au fin fond de ces bois, main dans la main avec son fils. Derrière eux, les humains les traquaient et les suivaient à la trace.

Les entendant ce rapprocher de plus en plus, notre jeune mère cacha son enfant dans une vieille souche d'arbre, et courra à l'opposé. Espérant attirer les chasseurs...

Ca est là, lorsqu'elle ce retourna, elle ne vit rien. Puis soudain, un coup de feu raisonna dans le vide, puis deux... Puis trois, pour finir dans un silence pesant.

Les yeux écarquillés d'horreur, elle courra a toute allure vers la cachette de son fils...

Rien, il n'y avait rien. Rien mais lorsqu'elle tourna son regard au sol elle vit. Elle vit cette trace de sang... Terrifié, elle avança en suivant cette trace de sang. 

Perdu dans ses pensées elle ne vit  son chemin et heurta une chose lourde. elle baissa le regard et le vit... La au sol ce trouvait la dépouille de son garçon. Les yeux ouverts, le visage pétrifié, le torse percé de trois balles.

Atteint d'une faiblesse insoutenable, elle tomba des nu, à genoux face à ce corps inerte au sol.

"M-Mon fils ..." fut la seule chose qui sortie de sa bouche.

Elle prit le corps sans vie de son fils entre ses bras... Attristée et extenuée de cette situation elle pleura, elle pleura si fort que même la foret semblait sentir la douleur de cette mère perdant son enfant. 

Pendant ce temps, un épais brouillard s'engouffra dans la pénombre de la foret... Et un rire s'éleva.

"Je suis venue récupérer mon du." dit une voix forte et reconnaissable.

Mais accablée par le corps inanimé dans ses bras, elle ne fit rien. Alors qu'un portail menant au vide et au néant s'ouvrait sous elle. Lentement, elle tomba dans se gouffre infini. Là ou la douleur physique n'était rien, mais ou le mentale était trop sollicité pour notre créature.

Dans ce combat infini, notre belle et jeune mère mourût  perdu dans le chagrin et la tristesse, sous l'œil avisé du renard noir. Celui-ci souri.

"Pathétiques."  finit-il dans un sourire malsain.

FIN

Plus de 1000 mots pas mal nan?? (merci de ne pas copier svp) Voila pour ma première apparition en temps qu'écrivaine et non lectrice... J'espère qu'elle vous a plu. Et désolé pour les fautes d'orthographes. C'est tout pour moi :D