Je n'aime pas dire non directement, j'ai du mal avec ça, c'est ce que mon infirmière me reprochais, il y a 3/4 ans, que je n'avais qu'à dire NON, que je n'aurais pas étais violée. Fun fact : un NON n'arrête pas un homme qui veut te violer et te faire du mal et c'est ce qu'il m'ait arrivés -plusieurs fois même-, mais selon l'infirmière c'était moi le problème et quand j'ai enfin réussi à dire non elle m'a dit que peut-être il pensait que c'était un non "joueur".
Je pensais qu'A. allait me violer, je ne voulais pas dire non mais pas oui non plus. Dans ces moments là je perds la parole et je me renferme sur moi-même, comme toujours. Et c'est aussi dans ces moments là que le contact physique me dégoûte. Les hommes m'ont fait trop de mal, mon corps à encore les séquelles tout comme mon cœur, je pense même que c'est devenues des cicatrices douloureuses. Est-ce que si je m'avais endormie aurait-il fait comme V. l'a fait ? Lui qui croyait que je ne dormais pas, quand je me suis réveillée en sursaut, je n'étais pas bien, j'étais + blessée limite par lui que les autres viols.
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Entre Ciel Et Encre.
PoetryRecueil de poèmes que j'ai écris pour poser des mots sur mes maux. Je sais que ce n'est pas parfait mais c'est avec vous que je partage les choses que j'ai vécues ou ressenties. ⚠︎ Trigger warning possible, des sujets durs ou complexes peuvent être...
