A fleur de sang

Chapitre 6

« Dim peut tu me rappeler ou es que j'en étais ?

-ELLE avait remmenée l'AUTRE au palais royal de Shandawe

- Chez notre très cher roi qui n'essaye même pas d'arrêter la guerre et qui laisse son peuple souffrir.

- Sanna... Il ne faut jamais dire du mal des autres. Peu importe qui ils sont et ce qu'ils ont pu faire et puis tu sais aussi bien que moi que ce n'est pas la faute du roi si la guerre a aujourd'hui lieux.

- Si ce n'est ni la faute de ELLE, ni celles des soldats ennemis, ni celle d'aucun des deux roi en conflit alors de qui es la faute ? Pourquoi papa est-il partit au front et n'en est jamais revenu ? Pourquoi maman est-elle morte pendant la destruction de la capitale ? Et non, ne me dis pas que c'est la vie, je n'y crois pas ! Par ce que si toute ces horreurs c'est la vie, alors je préfère de loin le calme de la mort ! »

La petite fille fondis en larme et pendant plusieurs minutes, ses sanglots semblèrent couvrir le bruit des bombes.

La grand-mère berça lentement sa petite fille avant de lui murmurer a l'oreille qu'elles en reparleraient plus tard quand Dim ne serait pas là, histoire de ne pas l'effrayer.

Quand ceci fut fait, elle reprit son histoire.

« ELLE dus se battre pour garder l'AUTRE en vie contre l'avis du roi. Mais ELLE est indispensable à notre armée et le roi finit par céder. L'AUTRE fut donc accueilli au palais... »

2éme partie

L'AUTRE semblait danser aux milieux de tous ces soldats qui s'effondraient les uns après les autres. Même ceux qui lui opposaient le plus de résistance ne duraient pas plus d'une ou deux minutes. On entendait que le bruit de l'acier qui s'entrechoquait et, parfois, les cris de surprises et de douleurs des soldats quand l'AUTRE les touchait.

Jusqu'à ce qu'il n'en reste qu'un.

Le dernier était décidément doué car la jeune fille semblait avoir du mal. Les sabres se croisaient et s'entrecroisaient mais aucun n'arrivait à prendre le dessus. Finalement, l'AUTRE réussis à désarmer l'homme.

Le combat était finit.

Elle sursauta quand elle entendit la voix de ELLE qui se trouvait bien plus prés que ce l'AUTRE avait imaginée.

« Eh bien... Tu as battu Sarri... C'est étonnant... »

L'AUTRE se retourna brusquement pour faire face a la fille du roi de Shandawe.

« Qu'es qui est étonnant ? »

« Eh bien, Sarri est le meilleur sabreur de notre armée. Je ne compte pas les généraux, évidement mais vu ton niveau tu pourras bientôt les battre également... Je ne pensais pas que tu progresserais autant en deux ans... »

« Tu m'a entrainée. J'imagine que je pourrais battre n'importe qui. »

« Il y a quand même une personne que tu ne pourras jamais dépasser : Moi ! »

L'AUTRE lui jeta un regard noir.

« Tu dis ça mais tu n'es sais rien. On ne s'est pas battu sérieusement depuis notre rencontre. »

ELLE se mis à rire.

« Si tu veux on règle ça maintenant, mais je te préviens, je ne retiendrais pas mes coups. »