Prise au piège

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La délicieuse odeur du café me réveilla de ma sieste, je mis un instant à retrouver mes esprits et à me rappeler où j'étais.
Accompagnée de cette merveilleuse odeur, une envie pressante appuyait sur ma vessie, je me levai rapidement dans le but d'aller aux toilettes pour me soulager mais l'épais coussin entre mes jambes me rappela vite à ma nouvelle réalité. Tant pis, je pouvais bien me retenir jusqu'au soir et j'étais certaine que Richard ne me refuserai pas une douche où je pourrais me soulager. Fière de mon nouveau stratagème, je me dirigeais en direction de la cuisine.

- La sieste a été bonne ? Me demanda-t-il
- Très bonne même, est-ce que je pourrais avoir un café s'il te plaît ?
- Bien sûr. On boit le café et ensuite on va se préparer pour sortir et te trouver des chaussons.

Bien évidemment je n'ai pas eu le droit à une véritable tasse pour boire mon café mais a un verre à bec en plastique avec une poignée de chaque côté.

Une fois le café fini nous sommes montés dans ma chambre:

- Pendant que tu étais en train de dormir, j'ai rangé tes affaires dans l'armoire, avec tes nouvelles affaires, j'ai vu que tu n'avais que deux paires de chaussures alors nous essaierons de t'en trouver une autre aujourd'hui. Tes affaires de toilette sont dans la salle de bain et tes....jouets sont rangés quelque part ou tu n'as pas accès et tu auras le droit de t'en servir les week-ends. Si tu es sage. Je pourrais aussi t'en fournir d'autres.

Je devins cramoisie et tentai de me cacher derrière mes mains, ce qui déclencha le rire de Richard.
Il avait trouvé mes objets compromettant et me les confisquait ! Aujourd'hui je découvrait la honte sous toutes ses coutures, et me demandait si mon cœur n'allait pas me lâcher avant la nuit.

Comprenant mon malaise, il me rassura comme il put en m'expliquant qu'il savait que tout le monde avait des besoins et que si il les avait confisqués c'est parce qu'il voulait que je puisse rester concentrée sur mon travail et que les jours où je ne travaillerais pas j'y aurais le droit autant que je voulais, à condition que je ne transgresse pas les règles.

Il s'approcha alors de moi et s'accroupît pour inspecter l'état de ma couche, qui était bien évidemment aussi sèche que quelques heures auparavant, il appuya ensuite sa main sur le bas de mon ventre ce qui me fit grimacer et avoir un mouvement de recul.
Il se releva alors et me prit par la main pour me guider jusqu'à la table à langer, sans un mot.
Je montait et m'allongeait dessus, sourire aux lèvres en me disant qu'il avait retrouvé la raison et qu'il allait enfin m'enlever l'horreur que j'avais entre les jambes.
Par précaution sûrement, il rattachait mes mains au dessus de ma tête puis mes jambes de part et d'autre de la table, elles étaient maintenues à la table, grandes écartées. Bizarre.

Richard ouvrit un tiroir de la table, je ne pu voir ce qu'il contenait. Il ouvrit ma couche et enfila des gants en plastique bleus. C'est quoi ce bordel ?!

- N'ai pas peur, je vais juste te mettre quelques choses pour aider ta vessie à se détendre. Ça n'est pas très agréable au début mais tu finiras par ne même plus le sentir, promis. Mais avant ça, je dois m'assurer que tu ne feras pas popo pendant ce temps, on ne voudrait pas que tu attrapes une infection.

Sur ses mots il me montra un objet que je connaissais plus que bien, il s'agissait de mon plug anal, le plus gros que je possédais mais aussi le plus confortable que je pouvais garder durant plusieurs heures. J'étais à la fois horrifiée et soulagée. Il lubrifia correctement l'objet et l'inséra doucement en moi, il fit une pause en arrivant au plus large du plug pour laisser le temps à mon anus de se détendre puis continua sa route jusqu'à ce que je sente sa base fine et longue se loger de façon à être confortable.
Il changea sa paire de gants et sorti une sorte de long tube fin qu'il lubrifia généreusement et inséra en moi. Je sentis l'objet froid passer dans un endroit où jamais rien n'était passé jusqu'ici, Richard m'informa que c'était une sonde urinaire. Une fois satisfait il la bloqua en place et referma la couche. Je sentais mon liquide couler sans que je ne puisse faire quoi que ce soit, et venir imbiber la couche sous mes fesses la rendant chaude et humide. La pression dans ma vessie s'apaisait tendit qu'il me détachait les jambes puis les bras, je sentais les larmes me monter au yeux tant je me sentais impuissante face à cette nouvelle humiliation. Je les retint comme je pu, essayant de garder un minimum de dignité.

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