inspiration n°1

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Dans le train, sur la banquette arrière, une femme à oublier un carnet. 

      Dans le train du quatorze janvier mille neuf cent soixante deux, à dix neuf heure, une femme avait oublier son carnet. Ce soir la j'étais fatigué alors je n'avait pas pris la peine d'y prêter une quelconque attention, à vingt et une heure le train devrait arriver à destination. J'ai regardé ma montre ou il y affichait, 20h45. Il ne me restait plus qu'environ quinze minutes de trajet.

      Quand j'arrivait, je pris le carnet avec moi à l'attention de le lire espérant trouver une quelconque information sur cette femme. J'était descendu et j'ai marché jusqu'à l'appartement ou je vais vivait. Dans la pénombre de ce soir de janvier, mes pas résonnait dans la fine couche de neige, le carnet en main, j'avançait alors que mes doigt ne réclamait que la chaleur de mes poches. Le silence comme à l'habitude de ce quartier reculer du Havre me faisait du bien. Chaque jours, je partait de loin pour travailler, et je suis obliger de rentrer tard le soir aux alentour de vingt-deux heures.. Cela ne m'as jamais dérangé puisque personne ne m'attend jamais quand je rentre, ni femme, ni enfants, personne. Seul le silence de l'obscurité. Et mon chien.

      J'arrivait enfin devant mon immeuble, je montait les marches doucement, fatigué et gelé. Quand j'entre dans mon appartement, j'allume les lumières, pose ce carnet sur une petite table et part me doucher. Je devait encore me lever tôt demain et je songeait à veiller..

       Je me déshabille et entre dans la douche, l'eau chaude ruisselant sur chaque parcelle de mon corp me fit un bien fou, pris par mes pensées, comme chaque soir, je restait sous la douche une bonne heure. Les vacances de noël avait pris fin il y a moins d'une semaine, alors c'étais très calme. J'ai passer le plus claire de mes vacances à me reposer et regarder les enfants jouer avec la neige. Rare dans cette ville. Normalement, c'est de la grêle et les petits glissaient dessus mais la, c'était de la neige. Une bonne couche qui restait le jour. 

      J'entrepris de me sécher et de m'habiller quand des grattement se sont fait entendre derrière la porte de la salle de bain. " J'arrive !" avait-je dit à mon chien qui voulait sortir. Mon chien était un berger allemend qui ne vivait que la nuit, comme moi, je suis pris par mon travail, sinon je veille avec mon chien, quand je n'écrit pas, je parle à Cooper. Je n'avais aucune suggestions de nom pour lui alors je l'ai appeler ainsi. Quand j'apparait habillé devant mon miroir, je pouvait voir les cernes et traces de fatigue qui apparaissaient en masses sur moi. 

     Pour le plus grand bonheur de mon chien, je sortit de la pièce prenant les serviettes et les vêtements sales que je déposait dans la machine à laver. Je resservait des croquettes à mon chien et pendant qu'il mangeait, j'avait sortit la laisse. Il aboya, signe qu'il avait finit de manger et j'accrochait la laisse à son cou. " Cooper, tu n'aboie pas dehors d'accord ?" Lui avait-je ordonner. 

        Minuit. Quinze janvier, mille neuf cent soixante deux. Je sort promener mon chien. Cette phrase apparait dans ma tête. Je sort et mon chien partait dans tout les sens silencieusement. Je l'avait dresser de façon à ce qu'il ne dérange personne lors de nos balade nocturne. Je l'ai lâché et il courait puis revenait à moi avec un batôn. " Merci !" Dis-je pour le remercier de son "cadeau". J'ai compris à force de vivre avec Cooper, que quand il me ramenait un truc c'est pour me remercier. Il était super intelligent ce chien. 

          Une heure du matin. Quinze janvier mille neuf cent soixante deux. Je rentre.

J'avait rentré Cooper et me suis décidé de cette fois-ci ouvrir ce fameux carnet. Mes doigts prenaient ce carnet doucement car il était déjà bien abimer.

"January 15 One thousand nine hundred and fifty-two, midnight, i take my dog out."

     Mes yeux s'étaient écarquillés alors que j'ai lus la petite phrase en anglais. Je n'etait pas le plus bilingue des hommes sur terre mais je me débrouillait bien. Quand j'ai lu cette phrase, mon coeur avait rater un battement. Les mains tremblantes, j'ai tourné la page. 

"January 16 One thousand nine hundred and fifty-two, o'oclock in the morning, My dog loses in life." 

      Mes mains lâche ce carnet alors que je court vers mon chien. Demain, perdrat-il la vie ? Il dort paisiblement et je retourne à mon bureau devant ce carnet. Poussé par la curiosité, je tourne encore une page.

"January 17 One thousand nine hundred and fifty-two, two o'oclock in the morning, i lost my life." 

Mon coeur s'est affolé alors que les derniers mots se traduisent dans ma tête. Mon affolement n'était pas nécessaire puisque ce n'est pas vrai... Du moins j'éspère ... Ce n'est forcement pas vrai...Pourquoi cela devrait-il l'être ?  


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