Yaeko

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Le temps à passer depuis ces évènements, ma mémoire n'est plus ce qu'elle était et puis le cerveau humain à tendance à combler les vides par de vrais faux souvenirs, je me souviens pourtant de l'essentiel. Le Japon a eu, depuis mon enfance, un véritable attrait magnétique sur moi, depuis la diffusion de la série « Shogun », pas celle de 2024 mais celle de 1981, la version dans laquelle les personnages féminins ressemblaient toutes à des Geishas, soumises, douces, réservées et envoutantes, rien à voir avec les japonaises de la version plus moderne de ce roman, déterminées, fortes et dangereuses. Il était clair pour l'adolescent que j'étais alors que j'avais été subjugué par le charme et la sensualité des japonaises entièrement nues sous leur kimono, mes fantasmes sexuels de puceau se mirent à mélanger toutes les femmes qui pouvaient alors croiser mon chemin, de la maîtresse d'école à la cheftaine scoute ainsi que désormais les femmes japonaises. 

Bien entendu j'ai longtemps eu le projet de me rendre au Japon, pour voir de mes yeux, ressentir et sentir l'atmosphère d'un tel pays mais mes moyens financiers limités m'ont toujours empêché de concrétiser ce rêve

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Bien entendu j'ai longtemps eu le projet de me rendre au Japon, pour voir de mes yeux, ressentir et sentir l'atmosphère d'un tel pays mais mes moyens financiers limités m'ont toujours empêché de concrétiser ce rêve. Il m'a fallu trouver un autre moyen de le réaliser ne serait-ce qu'en tentant de rencontrer des japonaises ou japonais qui auraient alors pu m'inviter dans leur pays mais là encore mes tentatives se soldèrent par des échecs cuisants, jusqu'à l'avènement des réseaux sociaux. La tâche ne fut pas très aisée mais mes premières tentatives de créer des liens à distance furent enrichissantes en enseignements. Bien que le mâle occidental et surtout français soit un sujet de curiosité pour certaines japonaises et même certains japonais, il faut faire preuve de beaucoup de retenu dans les interactions surtout virtuelles au risque de se voir blacklister sans espoir de retour en arrière. 

Ma première « relation » virtuelle avec une japonaise dura environ deux mois, elle était plus jeune que moi, j'appris rapidement que la demoiselle gagnait sa vie comme hôtesse dans un bar du quartier chaud de Tokyo

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Ma première « relation » virtuelle avec une japonaise dura environ deux mois, elle était plus jeune que moi, j'appris rapidement que la demoiselle gagnait sa vie comme hôtesse dans un bar du quartier chaud de Tokyo. Loin du cliché de timidité et de pudeur de la japonaise traditionnelle dont j'avais gardé une image profondément ancrée dans mon subconscient, cette jeune femme n'hésita pas très longtemps à me dévoiler son corps bien plus que son visage, pas pour des raisons d'anonymat mais pour des raisons esthétiques car l'hôtesse n'aimait pas son visage, ni ses yeux, ni sa dentition. Nos échanges virèrent rapidement à des sextos où je pu constater que la masturbation était une activité qu'elle adorait pratiquer pour mon plus grand plaisir et le sien bien entendu. Son physique était (heureusement) loin des critères physiques des mangas et autres hentaïs qui pullulent sur le net et fausse grandement la donne chez les adolescentes et adolescents japonais et occidentaux. Elle était certes petite comme la grande majorité des japonais, ses rondeurs étaient parfaites avec un sexe imberbe ce qui est loin des standards des pornstars japonaises qui arborent une pilosité vintage compte tenu des canons actuels de beauté imberbe des pornstars occidentales actuelles. Notre relation bien que très chaude se termina abruptement lorsqu'elle comprit que je ne pourrais jamais la faire venir en Europe ni même l'entretenir financièrement. Comme partout en ce bas monde, on n'a rien sans rien, elle en était la preuve vivante puisque tout ce qu'elle avait fait, dit et dévoilé sur elle n'avait qu'un seul but, vivre aux crochets d'un homme mûr et aisé. Honnêtement, mon but était tout aussi intéressé puisque si elle était venue en Europe je n'aurais pas fait autre chose que de la baiser malgré tout le respect que je dois aux femmes japonaises dans leur ensemble. Lorsque je fus en couple et que grâce au salaire de mon épouse mes propres revenus financiers me permirent de disposer d'un peu d'argent en sus pour assouvir mes diverses passions dont certaines perverses, je me lançais sans remords dans des aventures sexuelles et exotiques.

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