Chapitre 1: Le début et la fin d'une vie

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Ce soir, la ville est calme, une petite brise me caresse le visage, ce qui m'apaise un peu. Je suis plongé dans l'obscurité, assise sur le sol en béton froid de mon balcon. Je tire encore sur ma cigarette, laissant la  fumé se propager dans ma gorge puis mes poumons. Je me suis toujours sentie libre ici, on a un très grand jardins ou la nature à prit le dessus, et j'aime cela. Les feuilles des arbres mènent une délicieuse symphonie. Je ne réalise pas ce qu'il se passe, je suis comme pétrifié, faite que ce ne soit pas réel. Je bascule soudain vers un autre monde, une larme coule sur ma joue, que j'essuie immédiatement. Demain tout aura changé.

Flashback: quelques heurs plus tôt

Je sors de la fac, se vieux bâtiment en brique rouge, qui s'étend sur tout la campus ou l'on a l'impression que le temps c'est arrêté. Les étudiants se bouscule vers la sortie, comme si ils allaient réussir à sortir plus vite. Je remis mon sac à bandoulière sur mon épaules, mis mes écouteurs et prie la direction de la maison.

Après quinze minutes de marche je tourna enfon dans ma rue. Arriver chez moi je claqua la porte et lança ma veste en cuir sur le sofa. J'allais monter dans ma chambre quand mon téléphone sonna, c'était mon beau-père, Edmond, je me demande bien pourquoi il m'appelle je croie qu'il ne la jamais fait d'ailleurs. Nos relation n'ont jamais étaient bonne, c'est un homme cynique, aigri et put** de carriériste. Je voit vraiment pas se que ma mère peu lui trouver. Il a toujours tout fait pour se débarrasser de moi, internat, pensionnat et j'en passe. La sonnerie me tira de mes pensées et je décrocha:

-Allo? demandais-je

-Jade, c'est Edmond. Me dit-il

-J'avais remarqué, que veux tu? lui lançais-je agacée

-C'est ta mère, on a fait un accident, je vais bien, c'est un miracle, même pas une égratignure, tu te rend compte?

Nan mais je rêve, j'en ai rien à foutre de comment monsieur se porte !

-Maman va bien? Tu peut me la passé ?

-C'est pour cela que je t'appelle, les médecins sont entrain de l'opéré.

Mon cœur loupa un battement, je sentie tout mon corps se crispé, je voulais répondre mais aucun sons ne sortie de ma bouche.

-Jade? Voudrait tu me répondre enfin ! Ne t'a t-on jamais apprit la politesse ?

Je réussis enfin à bégayer quelques mots.

-Ou est-elle? dis-je en un murmure

-Nous sommes à l'hôpital Saint-Joseph, avenue de Turin.

-J'arrive.

Je raccrocha, pris mes clés et me dirigea vers la garage. Je passa devant les voitures de collection de monsieur Edmond et grimpa dans ma vieille Chevrolet d'un rouge complètement délavé. Une fois en route je commencer vraiment à paniquer, comment ca a pu arriver ! Je roulais vite et grilla tout les feux rouges jusqu'à arriver à l'hôpital.

Je courus de toutes mes forces à l'accueille, ou je demander le nom de ma mère. Une vieille femmes aux cheveux gris et aux lunettes bien trop a bord du nez me répondit.

- Les médecins s'occupe d'elle mademoiselle, vous êtes ?

-Sa fille. lui répondis-je

-Très bien, vous pouvez allez vous installer en chambre 214, votre père y est déjà.

-Ce n'est pas mon père ! dis-je en partant

Je parti en direction des escaliers, j'arrivais devant la porte, je n'ai même pas envie d'y entrer. Je me laissa tomber contre le mur blanc, l'odeur des produits me donner la nausée. Je déteste les hôpitaux.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 13, 2015 ⏰

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