INTRODUCTION ET SYNOPSIS

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Plus jeune et ignorant, j'avais retenu une chose que mon père m'avait dite sans jamais la comprendre, jusqu'à ce que la vie se charge de me l'enseigner, certainement la plus dure mais belle leçon de ma vie, chose que je ne souhaiterais ni aux enfants à qui, j'ai détruit la vie ni à qui que que ce soit peu importe le niveau de précarité dans laquelle, vous vous retrouverez ou la boulimie du pouvoir, celle de l'intérêt et de la richesse, n'osez jamais céder à la facilité en prenant la puante et horrifiante décision que j'avais prise.

L'argent étant la mère de tous les maux, certaines personnes se décident soit d'accepter l'état lamentateur dans lequel elles se trouvent dans l'espoir d'être mieux demain sous la houlette d'un travail constant ou carrément prendre la pire résolution que moi, c'est-à-dire commettre l'irréparable.

Je suis Arthur Ogour, un jeune homme de trente ans, vivant à Abomey dans le pays des Amazones d'Afrique.
C'est un fait, l'Afrique, ce grand continent, quoi que regorgeant des richesses faramineuses, la quasi-totalité de sa population vit dans une précarité ébouriffante, c'est tout autant le cas pour sa jeunesse de qui j'appartiens et comme tout jeune homme, je passais mon temps dans des musarderies, aucune passion m'attirait, hormis celle de passer des soirées vespérales dans des boîtes des nuits cinq étoiles, chantant en tue-tête tout en dansant avec ces femmes qui font rêver, être au centre de l'attention et de toutes les gloires possibles, rien que pour ça, j'étais prêt à tout.

Pour moi, l'ambition est la vraie raison de l'existence de l'homme, elle est à la fois un mektoub de celui-ci et la voie dans laquelle, il doit marcher pour devenir la version authentique de lui-même, comme avait déclaré Nicolas Sarkozy un jour : "Tout le monde a de l'ambition, cependant , le problème ne se trouve pas là plutôt dans le prix à payer pour obtenir ce qu'on a toujours ambitionné."

Je cotoyais que des hautes gens, des personnes richissimes et très puissantes dans le but de devenir comme eux un jour, d'autant plus que l'on a toujours dit, la compagnie influence l'homme, autrement dit, dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui tu veux être.

Rehaussant de ma présence une invitation amicale, c'était le banquet du réveillon du nouvel an, dans la demeure d'un ami proche, qui me demanda de faire tout ce que je voulais, il avait de l'argent et du pouvoir pouvant corriger même mes pires bazars.

Perdu dans l'ivresse, j'ai osé récurer la marmite avec une fille qui venait à peine que de célébrer son vingtième anniversaire, ce qui s'avèrera être un pacte que j'ai contracté sans jamais que je ne le sache.
Les mois qui suivirent cette espacade sensuelle, tout m'avait souri, j'alternais les succès tel le chevauchement d'un cheval face aux eaux stagnantes de la rue.

Je n'avais en aucun moment imaginé que l'acte que j'avais posé aurait pu avoir des répercussions importantes dans ma vie, parce que la jeune fille avec qui, j'ai fleurté n'était d'autre que la fille d'un de mes amis, celui qui nous avait tous accueillis dans son banquet.

Il m'invita alors dans ce qui était au départ un rituel piaculaire se transformera à celui d'une initiation que je compris à la longue, d'où la sentence me fit prononcer, je devais prendre pour femme les enfants filles que j'aurai tout au long de ma vie et celà lorsqu'elles deviendront des personnes conscientes, c'est-à-dire qui seront capables de démêler le bien du mal et en contre partie, j'aurai tout ce dont j'ai toujours rêvé, l'argent, la notoriété, le pouvoir et le succès absolu.

Refuser était synonyme d'une mort atroce précédent une expérience punitive draconienne.
La seule façon de me passer de tout ça, était que j'aie tout simplement des  garçonnets, jamais les contraires, on se chargeait de faire des échographies dans le but de reconnaître le sexe de fœtus, où seule la masculinité survivait, je m'arrangeai à ne pas ramener une grossesse féminine en terme par tous les moyens possible.

A bon rat bon chat, dit-on, ils comprirent ce que je faisais, ils me mirent en garde de ne pas arrêter les grossesses de mes enfants garçons par peur qu'ils deviennent des colombes poignardées.
C'est là que l'aporie apparût, les maîtresses que j'avais tout autant que ma femme légitime, elles ne donnaient naissance qu'aux enfants filles.
C'était facile d'évoluer, elles étaient des vraies fées, tout homme pourrait tomber sous leurs attraits envoûtants, cependant, elles étaient mon interdit tout autant que j'étais les leurs, je n'étais pas n'importe quel homme, j'étais leur père.
Que faut-il faire ?

C'est la première fois que je me mette à écrire un roman horreur, personnellement, seule la diversité peut m'aider à donner ce dont j'ai toujours en fait voulu procurer à monde en constance évolution.

Je vous invite très bientôt à la découverte de cette belle œuvre d'esprit qui arrive bientôt, savourant cette aventure hautement choquante et inflammable.

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⏰ Dernière mise à jour : Sep 25 ⏰

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