Projet Pandora

𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟐

𝐃𝐨𝐯𝐞

Dai dove, è solo un ricevimento. Non c'è nulla di cui preoccuparsi, giusto ?

(Allez Dove, ce n'est qu'une réception. il n'y a pas de quoi s'inquiéter, si ?)

Interrompu dans mes rêveries, je sent la paume d'une main faire son chemin le long de mes omoplates découverte, laissant dans son sillages une traînée de frissons qui me donne un sentiment de malaise. La dite main termine sa course au niveau de ma hanche droite pour me rapprocher de l'individu à qui appartenait le membre.

Mon paternelle, Julio Belevita.

Un membre très respecté au sein des familles mafieuse, ces lui qui entraîne l'élite de la protection, qui s'assure que chaque hommes et femmes étaient près à dévouer leurs vies pour les familles. Dans le milieu ont l'appelle le Dresseur. Chaque familles qui a besoin d'un nouveau chien dans sa collection, mon père leur apporte sur un plateau d'argent.

Il me sourit paisiblement avant de réajuster une des bretelles de ma robe blanche signée Chanel, une robe relativement simple en satin, dos nue avec une fente qui atterrissait au niveau de ma mit cuisse gauche, mes boucles brunâtre au reflets caramélisées descendait en cascade jusqu'à mon dos dépassant à peine mes omoplates.

Mon maquillage était quand à lui raffiné mais pas trop extraordinaire, quelques paillettes blanches et argentées maquillant mes yeux marrons de formes rondes me donnant un effet œil de biche, un peu highlighter sur mes pommette pour me donner cette aspect glowy, un joli contour des lèvres brun et un gloss marron afin de souligner mes lèvres pulpeuses.

Poussant un soupire de contentement, j'observe la pièce et un sentiment de malaise se glisse dans mon bassin comme si une myriades de papillons me manger de l'intérieur.

J'aurai aimé de mon côté ne pas être mêlé à ce genre d'histoires, d'événements mondains pour étalé les richesses entassées sur le marché de l'illégalité. Mais comme le bon dieu et de mon côté, j'étais destiné à être la « Colombe » c'est à dire la clé de la paix entre les familles et mon père.

Qu'est-ce qu'être la clé ? Et bien c'est simple. Je suis née et former pour épousée l'un des chefs de familles et ainsi fécondé un nouveau Dresseur pour le bon vouloir de tous le monde, je ne sert qu'à ça.

Ces très rétrogradant je l'admet. Voir même, inhumain.

Mais t'elle était ma mission, mon devoir. À vrai dire je ne m'en plain pas vraiment car il y a pire que moi sur cette terre, je suis reconnaissante de ce que l'on me donne et j'ai conscience de faire partie des privilégiés. Pourtant, tout cela résonne en moi comme le bruit d'un gong, fade, sans saveur. Juste un écho sans âme qui ne fait que faire comparaître son bruit incessant et entêtant.

Les perles azurée de mon père se posent sur moi, son regard et fatigué, dû au années de formation, de guerre passée ainsi que de nombreuses autres raisons encore plus obscures les unes que les autres. C'est pour cela que père m'a élevé dans ce que j'appelle la sphère.

C'est une sorte de protection sociale, j'ai vécue en ne voyant que trois personnes dans mon existence, mon père, ma nourrice Célia et mon garde du corps Anthonin. Ma mère étant morte après ma naissance je n'est jamais eut le privilège de la connaître, mais en son honneur père m'appella Dove.

Car j'étais sa colombe, son seule amour pour l'humanité. J'étais en quelques sorte, sa bouée.

__Come ti senti mia piccola colomba, so che non ti piacciono i ricevimenti ma si tratta di qualcuno importante che nessuno può ignorare, ti prometto che non sarà lungo. Me rassure-t-il en me guidant vers la table à amuse bouche, connaissant mes besoins de manger lorsque le stress monte.