27/07/21- 14 ans
Lycée cliché, grand couloir au mur blanc à moitié caché par tout les casiers qui le longent. Tout gris et triste, se démarquant a pêne face a l'absence de tout autre être vivant.
Il y avait dans l'air comme une pressions. Comme si le silence remplissais ma tète et m'empêchait de réfléchir.
Je me mit a marcher sans but précis, je regarde autour de moi. Juste encor et encor la même chose. Mure blanc, casier gris, ambiance pesante.
Je ne sait combien de temps encor j'ai marcher. Ça paru tellement long. Quand enfin j'arriva.
Ou ? Je ne sait pas. Tout ce que je savait c'est que c'était la.
Des que je m'arrêtât ma tête se mit a tourner, les murs autour de moi se tordirent et ondulèrent et comme si la réalité dans la quelle je me trouvait se transformait pour finalement laisser apparaître une porte de bois. Je saisi ce que je croit être une poignet et ouvre la porte.Je me retrouva a nouveau dans un lycée. Mais celui la était différant. Je me trouvait maintenant dans une petite salle de classe. Les bureaux avait été pousser sur les cotées et les rideaux fermer créait une ambiance mate. Je me sentie scruter et en effet quand je me retourna je vis des visage plus que familier
Elles m'encerclaient et me fixait.
« Amie1 : dit, tu nous fait confiance n'est ce pas ? »
« Amie2 : tu sait que nous ne te voulons que du bien ? NOUS t'aimons. »
Ma première amie s'approcha de moi et sans aucune autre explication me poussa violemment vers l'arrière. Je me heurta contre les parois dure et froide d'un casier. Elles me regardait debout d'un air dégoûter.
« Amie2 : si on te le demande tu resteras la n'est ce pas ? Enfin... ce n'est pas comme si tu avait le choix. »
Elles refermes le casier et se mirent a rigoler.
Les paroi dure et froide se mire vite a se réchauffer et la chaleur dans le casier ne cessa d'augmenter. Ma peau collait au parois et m'empêchait de bien bouger. Ma tête tournait vacillant antre la chaleur et leur rirent incessant.
Puis d'un seul coup alors que je croyait que ne se finirait jamais elle se turent.La chaleur redescendit et un silence s'installa.
Je ne m'arrêtât pas de m'inquiéter pour autant. Elles sont toujours la. je le sens.
Et en effet au bout de quelques minutes je sentit le casiers dans le quelle j'était enfermer bouger et remuer.« QUESQUE VOUS FAITES ??! QUESQUE QUI CE PASS- »
« Amie3 : LA FERME ! SILENCE SILENCE SILENCE !!! tu na pas le droit de parler. Tu ne le mérite pas. »Le casier vacilla et tomba par terre d'un seul coup se déformant au passage.
Les parois se compressèrent et un cotée de la porte se détacha pour aller s'enfoncer dans mon bras droit.
Je senti le métal transpercer ma chair et s'enfoncer profondément dans la viande saigner a blanc de mon bras. Une atroce douleur se rependit en moi pendant que je concentrait toute mes force pour ne pas hurler.
Les larmes qui déferlaient sur mes joue me laissais un goût saler et amère dans la bouche. J'entendis petit a petit les pas de mes« amies » s'éloigner.Jetait seule. Blesser. Et briser.
Je restait la, faible, accroupie, agonisant a moitié dans le casier déformer laisser a l'abandon. Mais si on en était arriver la... c'est que je lavait mériter nan ?
Oui !C'est ça ! C'est MA faute...ma faute...ma...Faute...Tout a coup je me redressas dans mon lit. T Transpirante et absolument pas reposer.
Des larmes coulait toujours sur mes joue, comme pour m'accompagner la pluie qui battait le carreau de ma fenêtre.
Jetait...chez moi.
Dans mon lit mezzanine, dans ma chambre ,un peu en bordel, mais qui pour une fois me paru si confortable, si... réelle.
Je tourna le regard vers mon horloge et m'arrêta brutalement de réfléchir
...10 minutes...
tous cette enfer... avait durer 10minutes... je m'effondras... mes larmes ne pouvait plus s'arrêter de couler...
je n'en pouvait plus.Si seulement... tous pouvait juste....
S'ARRETER ???
S'arr- une douleur éclata d'un seul coup dans mon bras.
Le sang qui coulait sur mon pyjama me ramena à la réalité.
C'est impossible ! Ce n'était qu'un rêve ! Comment ça pourrait arriver ?
La pensée qui me traversa à ce moment, me glaça le sang et eut l'effet d'une claque...
Ce...n'était pas possible, n'est-ce pas?
Ça n'était pas réel ?
VOUS LISEZ
Cauchemars
SpiritualUne jeune fille harcelée à l'école, vivant seul avec son père et et sa petite sœur, elle vas devoir essayer d'affronter seul c'est rêve qui la nuit de ces 14ans vont devenir plus que de simple rêve.