.Prologue.

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Hello !



J'espère que vous allez bien et que la vie vous sourit !

Aujourd'hui, je me lance dans une nouvelle aventure qui me tient à cœur. On m'a souvent dit que j'avais trop d'imagination pour garder tout ça pour moi (Lol 😂), alors voilà, je me décide enfin à écrire cette histoire a côté de ma vie d'étudiante. 

PS: Je m'excuse d'avance pour les fautes d'orthographes, j'essaierais de faire au mieux ! 






Disclaimer:

Cette histoire est purement fausse, elle contient des thèmes matures tels que la violence, la criminalité, la trahison, la manipulation, et des relations familiales toxiques. Elle aborde aussi des sujets comme l'anxiété et les problèmes de confiance en soi. Tous les personnages, lieux et événements sont fictifs, et toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou décédées, est purement fortuite. Prenez soin de vous, et surtout, n'oubliez jamais de rêver. 




Signé F



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Prologue.





Los Angeles, 23:55


Vide, Pluie, Vide...





Il fixait la vitre de la mustang sans vraiment la voir, les gouttes d'eau glissant sur le verre comme des souvenirs qui s'effaçaient. Tout était flou, pas d'émotions, distance. Le monde tourne, s'agite mais en lui c'est vide. Pas de peur, ni de joie, ni d'amour. Juste le vide.

La ville défilait sous ses yeux, mais il est juste de noirceur. Il ajusta le col de son manteau noir alors que la voiture s'arrêtait devant la célèbre galerie d'art Royal Art. Une autre oeuvre d'art, une autre transaction, un autre vol..

Son téléphone vibra une fois, deux fois, la troisième fois il l'a fait glisser hors de sa poche, ses doigts effleurant l'écran sans vraiment prêter attention au message. Tout ce qu'il devait savoir, il le savait déjà. Tout était sous contrôle. Son contrôle.

À l'extérieur, la galerie privée se dressait, brillante et inaccessible pour ceux qui n'étaient pas de cette classe là. C'était ici que se fermaient des deals qui ne laissaient aucune trace, où l'art était plus une monnaie d'échange qu'une œuvre de contemplation. Ce soir, une nouvelle pièce allait changer de mains. Une transaction ordinaire. Rien de plus.

La porte de la galerie s'ouvrit doucement, Tout est prêt, murmura son homme de main, sans même lever les yeux. Wolfe descendit, ajustant son manteau, une boîte en bois soigneusement calée sous son bras. Ce qu'elle contenait ? Une œuvre rare, volée avec une précision inegalée. Mais pour lui, ce n'était qu'un objet de plus dans une longue série de ventes.

Ses pas résonnèrent contre le sol de la galerie alors qu'il se dirigeait vers l'ascenseur. Le monde pouvait changer, s'effondrer autour de lui, mais Wolfe n'en avait que faire. Sa froideur était sa force.

Et dans ce monde, les émotions n'avaient pas leur place.











Le Lendemain











Los Angeles, 06:45



Peur, Miroir, Peur...





L'aube est arrivée, nouvelle journée à affronter. Nouvelle peur débloquée. Elle se tenait devant le miroir, fixant son reflet avec cette même intensité qui ne la quittait jamais. Le bourdonnement constant de la ville, qui vient de se lever derrière les fenêtres, semblait si lointain, presque étouffé par le poids de ses pensées.

Dans quelques heures, elle assisterait aux derniers entraînements avant de passer le barreau. Mais ce matin-là, elle avait du mal à respirer. La peur envahissait son corps, et son reflet dans le miroir ne faisait que la refléter davantage. Tu es capable, rien ne peut t'arriver. Une illusion qu'elle se répétait sans vraiment y croire.

La peur de trahir sa famille en échouant, la peur de ne jamais être à la hauteur... Le monde tournait plus vite qu'elle ne le pensait. Alors que tout le monde voyait en elle une jeune femme ambitieuse, prête à gravir les échelons, une seule vérité résonnait au fond d'elle : elle avait peur. Tamara avait peur.

Son téléphone était posé sur le bord du lavabo, la musique emplissait doucement la pièce, ses paroles résonnant dans l'air, en écho à ses propres émotions :

"I see her in the back of my mind (back of my mind), all the time (all the time)... Feels like a fever (like a fever), like I'm burning alive..."

Chaque mot lui parlait. Tamara inspira profondément, ses mains tremblantes. Elle ferma les yeux un instant.


07: 00


Une nouvelle journée l'attendait, résonnait comme une nouvelle bataille à mener. Le sourire bien en place, l'angoisse soigneusement cachée.


Personne ne devait savoir à quel point elle doutait. Pas même elle.





















Et dans ce monde, les émotions n'ont pas leur places.

Illusion TrompeuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant