Paul se réveilla affolé, apeuré d'être en retard. Il ouvrit les yeux mais ne vit aucune lumière filtrer par les stores de la fenêtre. Soulagé, il tendit la main et appuya sur le bouton supérieur de son réveil. Il se calma aussitôt : l'affichage indiquait 7h30. Il était cependant temps de se lever, car maîtresse Claudia se levait toujours vers les 8 heures. Il avait juste le temps de préparer le petit-déjeuner, de faire couler son bain et d'aller la réveiller.
Il finit d'accomplir toutes ses tâches puis se dirigea vers la chambre de sa maîtresse. Devant la porte, il ôta ses pantoufles, puis pieds nus, il entra sans faire de bruit dans la pièce qui sentait bon les odeurs de la femme qu'il adorait. Il faisait chaud et la moquette lui sembla presque brûlante sous la plante de ses pieds. Il laissa tomber à ses pieds son pyjama, haut et bas. Elle aimait qu'il soit nu et si possible en érection pour son réveil. Il s'approcha du lit le cœur palpitant et grâce à la lumière du jour qui s'était enfin levé, il la regarda dormir sur le dos.
Il contempla avec dévotion cette superbe femme, ses cheveux blonds qui encadraient son beau visage et ses mains délicates. Elle n'affichait pas ses cinquante-quatre ans. Elle possédait toujours un corps ferme et mince, même si la peau plissait à certains endroits. Ses seins voluptueux étaient toujours aussi excitants, ses tétons bruns et épais également. Il sentit sa verge sursauter. Il avait découvert qu'il était capable de se mettre en érection rien qu'en la regardant dormir. Stéphane était son soumis depuis trois jours maintenant et à trente-cinq ans, il ne désirait rien de plus. Il avait trouvé chez cette femme ce qu'il avait toujours recherché : une femme d'âge mûr qui le domine et l'oblige à la servir.
Il était toujours en période de test et s'appliquait à la combler du mieux qu'il pouvait. Les deux premiers jours s'étaient rapidement passés : il avait dû apprendre à effectuer correctement tout ce qu'elle souhaitait. L'appartement était grand et il y avait beaucoup à faire. Le deal qu'ils avaient passé était le suivant : il logeait chez elle, donc dormait et mangeait chez elle et en échange il préparait les repas, faisait le ménage, s'occupait d'elle en permanence et à tous niveaux, que ce soit pour la nettoyer, l'aider à se vêtir et bien sûr la combler sexuellement. Pour l'instant, il n'avait pas encore vraiment pu goûter à ces plaisirs, car les tâches ménagères avaient pris tout son temps. Il espérait profondément que ce matin, les choses allaient se précipiter.
Silencieusement, il rabattit les draps blancs jusque sous ses seins. Elle dormait vêtue d'un haut noir en dentelle. Il vit avec plaisir qu'un de ses seins sortait de l'échancrure et le téton pointait comme s'il voulait s'échapper. Sa verge se redressa d'un sursaut. Il s'assit au bord du lit et tendit une main tremblante. C'était le deuxième réveil qu'il effectuait et il ne voulait pas commettre les erreurs du premier. Le jour précédent, il l'avait pelotée plus que caressée, et cela l'avait réveillée sans l'exciter et elle l'avait puni sévèrement. Cette fois, il était décidé à faire ce qu'elle voulait correctement.
Il tendit la main vers sa chevelure et caressa très doucement son visage. Son pénis devint encore un peu plus dur. Elle gémit, mais ne se réveilla pas. Il descendit la main et palpa doucement le sein blanc. Il sentit le téton durcir un peu et cela lui augmenta encore son érection d'un cran.
— Maîtresse, réveillez-vous, susurra-t-il.
Il continua à lui caresser les seins tout doucement. Elle finit par ouvrir les yeux et regarda son esclave.
— Va sous les draps et lèche-moi ! ordonna-t-elle en baillant.
Sans rien dire, il contourna le lit et s'enfila sous les draps, le sexe dressé. Sa maîtresse adorait se faire lécher au réveil, alors qu'elle était encore à moitié endormie. Stéphane se glissa entre ses jambes et dans le noir, dans les senteurs de la nuit du corps de sa déesse, il fit glisser la petite culotte rouge vers ses jolis pieds. Libérée du petit bout de tissu, elle écarta ses jambes en gémissant de plaisir anticipé et sa fente épilée apparut. Elle possédait un beau vagin bien fendu, aux lèvres parfaitement dessinées et rentrées. Paul renifla avec délice l'odeur du vagin. Elle possédait une odeur douce et sucrée et un peu aigre, surtout après une nuit chaude.
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Maîtresse Claudia chez elle
Short StoryNouvelle en 3 chapitres qui devait faire partie d'un recueil. Je la poste pour mes lecteurs ! On découvre une belle femme qui gère son esclave qui vit chez elle. Au programme : soumission, domination, scènes réalistes mais sans vulgarité bien que po...