the body count "La Marginale"

lexique

Izaora Estrella.

C'est comme ça que maman voulais que je m'appelle me disait elle.
Je ne porte pas le nom de ma mère, non.

Maman ? Pourquoi tout le monde à l'école porte le nom de ses parents et moi non.
Ma mère me répondez que j'étais une déesse et que je ne suis pas comme les autres, ensuite elle me serais très fort dans ses bras en chuchotant "Ma princesse Izaora Estrella " cela avait le don de me rendre ma joie de vivre. Dans les bras de ma mère je me sentais comme la petite fille la plus heureuse du monde.

Mon bonheur n'était que éphémère...

Papa.

Papa?

Ce mots me semble inconnu,amère, douloureux, c'est comme une épée que je m'enfonce dans le coeur.

Je n'ai jamais connu de visage paternel, mon père biologique nous a quitté à mes 2 ans. Ma mère et moi avions changé de ville, ma mère a été mon père aussi, elle a joué ces deux rôles jusqu'à mes 10 ans...

Milo.

La "figure paternelle " que ma mère voulait que j'aie, elle croyait le faire pour mon bien mais cela nous a anéanti à tout jamais.

Après nôtre déménagement, maman et moi avions menée nôtre vie paisiblement. Quand elle travaillais j'étais à l'école et après la fin des cours j'allais à l'atelier d'art avec  ma maitresse de musique et le soir maman me récupérer, nous rentrons dans nôtre petite maison modeste.
Un jour maman me présenta à son fiancé milo.

Au début cet homme était doux comme un agneau, comme on le dit si bien chasse le naturel il reviendra au galop.

Quelques mois après avoir aménagé avec nous, milo devenais brutal avec ma mère et le soir à son retour il ramener des cadeaux pour s'excuser.

Il m'emmené souvent me promener au parc et je trouvais son comportement bizzare en vers moi. Milo me caresser la nuque en marchant d'une manière assez bizzare, il me donner des claques aux fesses quand nous marchions et avant nôtre retour à la maison on se poser quelques part il me rapprochait de lui puis me faisait des baisers sur les lèvres en me disant que j'étais à lui. L'enfant que j'étais ignorait complètement l'ambiguïté de ses actes.

Ma mère c'était trouvé un autre travail et elle rentrée souvent tard, milo rentrée avant elle et ma maitresse me déposer juste avant parcequ'elle savais que j'avais un beau père pour rester à la maison à cette heure là avec moi. C'est là que tout à commencé, milo avait installé un nouveau jeux qu'il appelé "le jeu de la petite fée"...

La petite fée.

Ma destruction à commencé par ce jeu macabre et sinistre.

Il m'obligé à mettre un vêtement couvrant très peu mon petit corps d'enfant puis je devais dansait et lui me regarder danser d'une manière très perverse. La seule règle du jeux étais mon silence.
Je sombrais petit à petit. Je voulais en parler à maman mais milo me mutilerait et je voulais aussi en parler à madame doris ma maitresse mais milo l'aurais tuer elle.

Me taire.

Subire.

"Ne t'agite pas ma petite fée si non tu paiera, ton propre père t'a abandonné et il s'est barré donc laisse moi être ton papa mon sucre"