Les fous de sorties a nouveaux s'amusent. Cette tête comme un pub irlandais, bruyant, contraint le curseur fatigué. J'ai, et ce en très peu de temps parcouru un drôle de sentier. Celui dont les étapes mêlent brouillard et éclairci, soûlard et amnistie. C'est un horizon vierge qu'ils faut pour ces fous, une page, bien propre, où le recto n'est pas aguicheur. Il fait que l'on puisse que créer, et où est proscrit le copiage. J'ai était dans des soirées où la vie me dérange, et dans d'ennuyeuse tirades où le spleen n'est pas un art. Alors ne sachant ou poser l'encre j'ai sur mon bateau hissé ma feuille, mais dès que le vent tourne, le recto plein de taches en rail la mécanique. Suis je fou? J'aimerai me plaire dans une camisole, comprendre celui qui titube à pas d'heure mais rien n'y fait, aucun d'entre eux ne peux tenir mon stylo. Il me faut peut être pas de compagnon, ou alors il me faut aimé mes fous, ce qui chahute là haut, silencieux après tout.
