Il était un temps où le monde croyait à une légende, celle du Premier Ange Gardien. Cette légende raconte l'histoire d'un jeune garçon qui après sa mort n'a pas été envoyé au Paradis, ni en Enfer. Il eut un rôle plus important que simple humain décédé.
Uriel était un garçon plus ou moins comme les autres, dans sa vie, il a pu faire de bonne choses, comme des mauvaises choses. Il ne croyait en rien après la mort, pour lui c'était juste la fin. Un soir en rentrant chez lui, il fut assassiné par une personne inconnue et ce retrouva face une grande porte, celle du sanctuaire du jugement dernier. Devant plusieurs silhouettes se parlant, il dû se taire et attendre, cependant, il ne put s'empêcher de distinguer une grande différence entre elles. Certaines étaient blanches et d'autres noires, mais lui, était gris. Après une longue attente, ils parlèrent enfin. " Tu n'es ni bon, ni mauvais. Dis nous comment pouvons-nous te juger apte à rejoindre le Paradis?". Uriel savait qu'il n'était pas le parfait petit garçon que tout le monde voulait qu'il soit, mais une chose le laissait sans voix. C'était sa naïveté qui l'avait rendu comme ça. " Je ne sais pas, malheureusement je n'ai pas été gentil avec tout le monde, mais je n'ai ni été un monstre pour autant. J'ai été humain et j'ai cru en l'humanité et voilà où j'en suis maintenant.". Les silhouettes en face de lui se regardèrent et eut une proposition. " Tu affirmes que tes actes n'ont pas toujours été juste, mais tu as été honnête donc nous t'offrons un choix. Tu as le choix entre rester dans le sanctuaire et t'occuper de diriger les défunts dans la bonne direction, ou errer sur terre pour te montrer où dois-tu te diriger pour le reste de l'éternité".
Uriel avait fait son choix, il resterait pour aider les gardiens à diriger les âmes vers leur dernier voyage. Il fut nommé "Gardien Uriel" et reprit en partie son apparence. Une chose avait changé dans son apparence, il possédait désormais des ailes. Les Gardiens lui avaient dit une dernière chose avant de partir. " Suis ton instinct et quand vous pensez que le moment est venu appelez nous. Pour vous récompenser, vous aurez une place au Paradis". Pendant plusieurs jours, il n'avait pas eu de problème dans son nouveau rôle, mais à présent le voilà en face d'un enfant seul. Il avait une lueur blanche mais il ne savait pas qu'il était mort. Après lui avoir expliqué où il était, il se mit à sangloter. C'était la première fois qu'il faisait face à ce genre de problème. D'habitude les enfants s'arrêtaient de pleurer et expliquaient la dernière chose qu'il avaient vu, mais lui restait silencieux. Uriel du le réconforter pour qu'il puisse enfin parler. Lui aussi fut assassiné. L'enfant ne voulant pas rejoindre les autres au Paradis, supplia Uriel de rester avec lui. Uriel quant à lui ne savait pas ce qu'il devait faire décide finalement de le garder quelque temps avant de l'envoyer dans la direction du Paradis. L'enfant grandit et après deux longues années, Uriel décide qu'il est enfin temps pour lui de rentrer au Paradis, l'enfant lui, était enfin prêt donc dès son dernier au revoir, il partit.
Après son départ, Uriel resta triste un long moment, même s' il ne le connaissait pas il s'y était attaché, il le considérait presque comme un fils. Les semaines passaient et même si il accueillit un nouvel enfant, rien ne changeait il ne pensait qu' à ce que devenait le premier enfant. Malheureusement pour lui il n'avait aucun moyen de savoir, si un seul mais il voulait continuer ce qu'il faisait. Ces temps-ci, beaucoup de gens mourraient et il devait donc accélérer son travail car il ne pourrait pas savoir aider tout le monde.
Un jeune homme d'environ 18 ans arrive. Son nom, Maxence, était atteint de TDI ou trouble dissociatif de l'identité. Une de ses personnalités n'en était pas une mais un ange de la mort, son heure venue.
Uriel écoutait l'histoire mais un truc n'allait pas, son heure était venue mais sans événement particulier. Il voulait le faire revenir mais il ne le pouvait. Une solution s'offre à lui, il ne peut pas le faire revivre, mais le laisser descendre en tant qu'âme perdue, il le pouvait. Maxence qui ne comprenait pas, accepta mais il eût des conditions.
