chro d'Asiya: je te fais confiance les yeux fermés Fréro, faut pas me lâcher

51 "Warda"

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𝐒𝐚𝐥𝐞𝐦.

Sa fait déjà 30 minutes que j'attends.

Je toque personne réponds.

Bah j'ouvre.

Et j'mets voit, sourcil froncé. Assis entrain de parler.

Zack: Sisi, pars.

Moi: mais-

Djibril : on t'a toujours pas appelé. Donc décale de là.

Moi: eh mais vous croyez chuis une gamine ou quoi? T'a un blessé, et vous l'avez toujours pas soigné. Il doit avoir le mal de chien, et vous faîtes que parler. Donc sois vous dégager et vous me laisser le soigner. Sois j'dis tout à maman.

J'allais rien dire du tout. C'est juste du chantage.

Zack: t'oserais pas.

Moi: test moi.

Ils se regardèrent. Et  plus un mot ne sortis de leur bouche.

Djibril : elle à pas tord. Bilal est déjà parti chercher la trousse de secours. Elle est dans sa chambre. Demande lui, il te l'a donnera.

Mohamed : mais, frère, faut qu'elle attende. Et puis, t'a pas quelqu'un d'autre qui peut le soigné ?

Djibril : t'a une autres solutions peut être ? Sa soeur, c'est mort. Sinon elle va péter un câble. Encore moins les urgences.

Mohamed : frère, t'a la voisine ?

Là, j'avais envie de rigoler, mais sinon il m'aurait regarder bizzarement.

Djibril : la seule personne qu'on connaisse pour faire sa correctement, et sans broncher c'est asiya.

Mohamed : mais wesh-

Djibril : point.

Mohamed : eh j'men fou j'le fais. Sisi le fais pas c'est mort.

Djibril : t'sais recoudre toi?

Mohamed : ...bah ouais.

Djibril : arrête de te foutre de moi.

Hamza: bon, fermé là. Et sortez tous de la chambre. On va laisser Sisi s'occuper d'amine.

Zack: ...

Sa se voyait qu'il se sentais pas bien Zack. En même temps, tu vois ton meilleur ami, comme sa, c'est pas la joie quoi.

Je m'approche de lui, et lui fais un câlin.

Moi: t'inquiètes pas. J'vais bien m'occuper de lui.

Il me sert en retour.

Zack: j'en doute pas Sisi.

Tous se levèrent. Bilal, me ramène la trousse de secours. Puis sort à son tour.

Me voilà seul. Avec lui .

Il est assis sur le lit.

Me regardant.

Moi: alors ? Tu vas enfin pouvoir me dire ce qui s'est passé ?

Lui : ... Soigne moi. C'est tout.

Moi : fais pas le grincheux-

Il se lève brusquement, nos corps sont presque collé.

Nos, visage sont rapprochés.

Lui: contente toi, de me soigner.

Moi: continue de me parler comme sa, et j'te laisse te vider de ton sang.

Son visage s'adoucit.

Moi: bah voilà, c'est beaucoup mieux !