Fantasme au lycée

Chapitre 18 : Cours particuliers (HE)

Comme prévu Mathéo me recommanda à ses parents comme prof particulier pour sa sœur. J'allais pouvoir me faire un peu d'argent et surtout passer plus de temps dans ce domicile pour tater le terrain au prêt de sa sœur dans un premier temps. 

Je sonne à l'interphone avant qu'on me fasse monter, le père de Mathéo m'accueille pour me présenter sa fille : "Viens la Capucine, y'a le camarade de théo pour tes cours." Capucine a un an de moins que Mathéo et moi. Quand elle déboula dans l'entrée de l'appartement pour me dire bonjour, je fus absolument ravi de ce que je découvris. Une fille ravissante, avec la peau très blanche contrairement à son frère, presque pale, un corps de rêve très délicat, avec entre ses épaules fines et sa taille fine, deux beaux seins, assez gros pour son gabarie emprisonnés dans un débardeur qui laissait entrevoir ses deux tétons. Un cul bombé qu'elle cambrait avec beaucoup de délicatesse et d'élégance. Un petit grain de beauté à côté de la bouche. Des joues rosées qui lui donnaient un air innocent. Un petit nez tout fin. Et surtout les mêmes yeux perçants que son frère.

Après de brèves présentations, je me retrouvais avec elle dans sa chambre pour le cours particulier. Et j'en ressorti 2h plus tard, absolument incapable d'avoir pu faire la moindre tentative de léger rapprochement, juste séduit par sa douceur, et en supplément en lui ayant fait comprendre l'intégralité de son chapitre de chimie sur l'oxydo-réduction. 

Le lendemain, je revenais avec les idées plus aux claires et l'objectif de la chauffer suffisamment pour qu'elle en arrive à déclencher la situation. Si c'est elle qui faisait le premier pas elle serait d'autant plus entrain à me faire confiance et se laisser entrainer.

J'avais mis un short blanc que je portais haut de sorte à ce que quand je m'asseyais, il moule bien mon entre jambe. Et, en plus, je ne lésinait pas sur les petits contacts physiques maladroits, et je sentais que je lui faisais pas mal d'effet. Enfin, pendant une pause de 5 min que je lui laissait entre deux exercices, voyant qu'elle ne faisait rien de particulier et qu'elle regardait du coin de l'œil ce que je faisais sur mon portable, je fis mine de ne pas le remarquer en envoyant un message à un ami, en rétractant un peu mon portable vers moi comme pour écrire quelque chose d'intime, ce qui sembla attiser sa curiosité puisqu'elle regarda encore plus : "Ptn la j'ai tellement envi de baiser, je t'expliquerai mais j'ai vrm ma libido au max" "Je te jure la première meuf qui me fait des avances je l'envoie au paradis". Capucine rougit et détourna le regard, puis je repris le cours comme si de rien n'était. 

Encore le lendemain, son père m'accueille content de voir qu'elle avait l'impression de progresser. Au début du cours elle m'expliquait ses cours de la veille, méthode que j'avais mis en place en lui expliquant à que ce qu'on arrivait à expliquer se retenait très bien, ce qui était vrai. Elle m'expliqua donc les différentes limites de fonction et autres joyeusetés pour en arriver finalement, à son cours de rappel sur les appareils reproducteurs en SVT. Immédiatement je la senti gênée, preuve de l'effet que je devais lui faire et de sa légère timidité que j'avais remarquée avec le temps, mais elle commença son explication en reproduisant les schémas qu'elle devait connaitre pour son interrogation de cours.

"- Donc chez l'homme, on retrouve donc le penis ici, le gland au bout, les bourses contenant les testicules juste ici, et la prostate à cet endroit - me dit elle en pointant le schéma dessiné sur sa feuille.

- C'est très bien, mais par contre c'est beaucoup plus gros un penis normalement sur le schéma - dit-je sur un ton autant rieur que sérieux - on sait jamais pour ton interro les proportions respectées ça peut peut-être te faire gagner un peu de points.

- Ah merde, bah c'est notre prof qui nous l'a fait comme ça... 

- Dans ce cas fait le comme ça ça sera parfait, c'était vraiment pour chipoter, mais bon votre prof a l'air d'être une vielle fille là, ou c'est moi qui me trompe, faut dire que des penis j'en ai pas vu beaucoup de différents ! - expliquai -je assez hilare.