18/ KAMPUCHEA MON AMOUR

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Faites ce dont vous rêvez et ne vous laissez pas entraver par les complications de la vie. Provoquez votre destin et sachez happer le bonheur quand il passe à votre portée...

P🥀K

A cette grand-mère gitane que je n'ai jamais connue. Qui m'a transmis ses gènes par ce fils qu'elle n'a pas eu le temps de voir grandir.

Mon père,
mon plus grand voyageur, qui n'a que rarement dépassé les frontières de sa terre natale mais dont les rêves voyageaient bien au delà de son petit univers.

Grâce à vous qui m'avez transmis votre ADN,  je dépasse à présent aussi souvent que possible les frontières de ma terre natale, empruntant les grands oiseaux de fer inventés par les hommes pour aller plus loin sur la planète, à la rencontre de populations auprès des quelles je retrouve de vraies valeurs et des leçons de vie qui me sont transmises avec bienveillance et empathie.

Ces horizons proches ou lointains...

Cambodge, Corée du Sud, Vietnam, Laos, Thaïlande, Chine, Australie, Martinique, Tunisie, Espagne, Portugal, Angleterre, Allemagne, Suisse et bien sûr tous les paysages de France ce si beau pays dans lequel je vis et qui pourtant, sous bien des angles m'est encore inconnu.

On a trop souvent près de chez soi ce que l'on s'époumone à chercher ailleurs !

Tous ces morceaux de terre où le temps d'un voyage j'ai posé mes valises.
Toutes ces destinations qui me sont à la fois proches et lointaines, ne sont qu'une infime goutte d'eau sur l'immensité de notre planète.

Il m'en reste tant à découvrir et à tenter d'en acquérir les connaissances nécessaires pour faire de ce bout de terre, un pays d'accueil.

Je remercie le grand progrès pour m'avoir donné la chance de changer d'air !

Aéroports internationaux, Boeing, Airbus, internet, technologies de précision, ordinateurs, téléphones portables et bien plus encore...

Ils sont les sujets favoris des meetings écolos qui remettent indéfiniment en cause le bien fondé du modernisme, comme si s'ouvrir au monde n'était qu'un blasphème et une
façon détournée de prendre un billet sans retour pour l'enfer !

Écrivaine et poète, je vois cela bien différemment et je suis comblée lorsque je retrouve ma place à bord d'un Boeing ou d'un Airbus à destination d'un ailleurs.

J'ai beaucoup voyagé et emprunté un nombre de vols que je ne compte plus. Mes peurs de l'avion ont été remplacées au fil de mes voyages par l'excitation et la joie de transpercer les nuages.

Le bonheur d'être émue comme une première fois, par un coucher de soleil à plus de trente cinq mille pieds au dessus de la croûte terrestre.

Le bonheur d'être émue comme une première fois, par un coucher de soleil à plus de trente cinq mille pieds au dessus de la croûte terrestre

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Clichés pris en plein ciel
C'est beau, n'est-ce pas !

Et lorsque l'amour s'en mêle, comment renoncer à l'appel du cœur ?

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