Elle entre dans la chambre 15 minutes après moi, je prends le préservatif posé sur la table et le mets dans la poche de mon peignoir. Je marche à une allure lente jusqu'à être à quelques centimètres d'elle, je la plaque d'un coup contre la porte et l'embrasse. Elle réagit instinctivement, son corps répond à mon appel. De ses lèvres, je descends jusque son cou, même s'il est rempli de suçons, j'en fais d'autres.
Ses doigts glissent dans mes cheveux les tirant en arrière, je les attrape et les tiens au-dessus de sa tête, son corps n'est soutenue que par le mur et le mien. Je l'embrasse encore, nos langues se joignent en une danse sauvage, sensuelle, suave, ou c'est moi qui mène cette danse. Je ne peux plus me retenir, ma queue est déjà très dur, gonfler de désir pour elle.
- Je veux t'entendre crier mon nom, Pikachu.
Je fais faufiler ma main droite à son intimité, je commence à la caresser, la faisant gémir. J'introduis mon majeur en elle, son corps se tend attendant la suite, j'ajoute mon index. Puis commence à faire des va-et-vient en elle, ses ongles se plantent dans mes épaules, des gémissements sortent de ses belles lèvres. J'observe son visage, déformer par le plaisir, cela me donne envie de la faire jouir avec mes doigts ensuite avec ma queue.
- Ad... Adrian... !
- Oui, c'est ça. Crie mon nom, Pikachu.
Mes doigts allant et venant à l'intérieur d'elle, tout mon corps s'enflamme, d'excitation, de désir... Son corps ne tient plus, elle jure encore une fois, et se resserre autour de mes doigts. Je sais qu'elle va jouir, donc j'accélère le mouvement de mes doigts en elle. Elle gémit encore et encore, les yeux fermés et tremblants, elle jouit.
Je la garde collée à moi, avance jusqu'au lit. Elle pose sa tête contre mon épaule, je m'assis sur le lit, et la laisse reprendre ses esprits. Son corps frissonne encore, après son orgasme. Soudain, son corps bouge, son visage se retrouve collé au mien.
- Tu sais qu'on nous a entendus.
- Oui.
Je suis même fier de l'avoir fait autant gémir, c'est un vrai régal pour moi. Je remets une de ses mèches derrière son oreille, elle reste un moment à me regarder avant de plonger sa tête dans mon cou. Ses lèvres jouent avec mon oreille gauche, elle me surprend en me mordant le lobe.
- Qu'est-ce que...
- Je ne fais que me venger, Adrian.
Elle me fait un suçon sur le cou, en refait un autre et un autre, m'arrachant un gémissement. Je l'attrape par la taille pour l'arrêter, mais c'est elle qui me renverse sur le lit. Encore une chose que je ne savais pas qu'elle était capable de faire.
- N'essaye même pas de retourner la situation en ta faveur, Nestor.
- Je ne te savais pas aussi sauvage, Pikachu.
- Je peux être très sauvage, si je le veux Adrian.
- Alors pourquoi est-ce que tu caches cette partie de toi ?
Elle sourit malicieusement, se lèche les lèvres et se penche, jusqu'à ce que je sente son souffle chaud caresser ma peau. Je suis vraiment en train de me faire avoir par mon propre jeu, là ? Comme pour me prouver que j'ai raison, ses lèvres glisse vers mon abdomen. Avec sa langue, elle lèche et mord avec ses dents, me faisant gémir. Sa main gauche se faufile jusqu'à mon boxeur, elle relève la tête, son corps se déplace et s'arrête, elle est assise sur mes cuisses, sa main tenant mon sexe.
Cette femme sera la cause de ma mort un jour !
- Ne le prends pas mal, susurre-t-elle comme si de rien était. Tu m'as goûté, tu ne penses pas que je mérite aussi de faire la même chose ?
Plus rien ne sort de ma bouche, si j'ouvre mes lèvres, je suis sûr et certain que des gémissement vont y sortir. Je ferme les yeux, et ressens les mouvements de ses doigts sur moi, tout est au ralenti. Je ressens tout, l'humidité de sa langue qui me lèche, la chaleur de ses lèvres qui s'y promène. Toutes ses sensations vont me rendre fou.
- Emma ! Humm...
Je ressens la sensation chaude et humide de sa bouche autour de moi, elle vient vraiment de me prendre dans sa bouche. Les va-et-vient commencent, à chaque fois que j'approche de mon apogée, elle ralentit la cadence. Elle me maintient dans cette cadence, sans me laisser le choix. Pour éviter de crier, je mords l'oreiller que j'ai pris. Tout mon corps me brûle, il s'enflamme de plaisir, mais à chaque fois qu'il veut se libérer, elle l'en empêche. Je commence à me demander où elle a appris tout cela ? Cette torture infinie.
Si j'attrape la personne, je ne pense pas qu'elle sortira vivante !
- Em... Emma... S'il te plaît, arrête cette torture, je n'en peux plus !
Et enfin, elle me laisse sortir. Mon corps est envahi par le plaisir, t'en attendus. Je rouvre les yeux et la tire vers moi, elle ne résiste pas et se laisse faire. Cette fois si, son visage n'est pas couvert de sperme, rassurer, je l'embrasse. Cette femme qui vient de me faire subir une torture sans fin.
- On continue ?
- Si tu es partant, je le suis aussi.
- Je te demande, si tu n'es pas fatigué Emma.
Elle m'embrasse et se relève, son regard se braque sur le mien.
- Tu as raison, j'ai les jambes complètement engourdies.
Je me lève à mon tour, entour sa taille de mes bras. Je dois y aller doucement avec elle, je me le répète à chaque fois que je sens qu'il y a un problème, mais difficile. Je dois lui explique, petit à petit, elle comprendre ce que cela veut dire se faire confiance dans un couple.
- Emma, dans un couple, on se dit tout. Et le consentement compte énormément. J'aimerais que notre couple, soit basé sur la confiance. S'il y a un problème, dis-le-moi, je ne supporte pas te voir te renfermer sur toi-même.
- J-je...
- Je suis là pour t'écouter, pour te satisfaire que ce soit émotionnellement ou physiquement. Si tu es fatigué, on arrête. On le fera une autre fois, d'accord ?
- D'accord.
Je dépose un doux baissé sur son front. Je suis content qu'elle ait compris, j'avais peur qu'elle réagisse différemment. Ma belle brune est vraiment incroyable ! J'ai vraiment hâte qu'on rentre à Londres demain.
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Amour interdit ( en réécriture )
RomanceEmma est en dernière année de littérature. Après une dispute avec sa mère, elle va dans une boîte de nuits. Bourrée, elle finit par coucher avec un inconnu. Le lundi, elle découvre que c'est son nouveau professeur de littérature. Il a déménagé à...