Mahou Shoujo Lunaroc

Transformation

Les journées chaudes se succédais sans cesse, les journaux télévisés ne parlais plus que des températures montant sans cesse. Les catastrophes se manifestait de plus en plus souvent, incendiât, feu de forêt, malaise et mort inquiétante d'animaux sauvage, tout cela sans que personne ne puisse y faire quoi que se soit. Récemment des surtensions se faisais de plus en plus fréquente, la chaleur faisant fondre les câbles permettant le transite de l'énergie et abimant les composant qui faisais partie du réseau électrique. Les spécialistes du climat se succédais à l'écran, débattant sur les potentiels cause de se réchauffement brutal, émettant des hypothèses sur leurs cause toute plus folle les unes que les autres, il n'était sur que d'une chose et unanime a se sujet, la fin était proche. Non pas celle des hausses de température, mais celle de la vie elle-même, toute forme de vie sur cette planète.

La télé s'éteignais brutalement, Lougaroc se tournant pour voir qui s'était saisis de la télécommande il s'agissais de sa sœur jumelle Parecool. La jeune fille en avait assez de toute ces histoires, trouvant que les informations ne faisaient que propager la panique et ne servais en ce moment n'a rien d'autre. Elle jeta la télécommande sur le canapé, s'asseyant à côté de sa sœur pour profiter du peu d'air frais que leurs proposais le ventilateur positionné à côté de celui-ci.

— Pourquoi as-tu éteint la télé, demandât Lougaroc agacée

— Ils ne disent que de la merde, affirmât sa jumelle, ont à pas besoin de ça pour voir que le monde va mal, suffit de regarder par la fenêtre. Remarque ce n'est pas comme si ont n'était pas prévenus, les vieux ont fait de la merde et c'est nous qui en payons le prix.

— Ouai ben je regardais, indiquât la jeune fille, alors si tu permets ...

— Jamais de la vie, dit Parecool avant que sa sœur ne termine sa phrase, si j'entend encore parler de cette horrible météo je vais devenir folle.

— Moi c'est à force de rester ici à ne rien faire que je vais devenir folle, affirmât Lougaroc en perdant sont calme. J'en peux plus de rester coincer ici, ont ne peux pas sortir et l'école est fermer, tout ça a cause de la chaleur. J'ai littéralement fait le tour de tout ce qu'il y avait à faire dans cette stupide maison !

Lougaroc se levas du canapé pour rejoindre sa chambre, en colère contre sa sœur jumelle mais préfèrent mettre de la distance pour ne pas créer plus de problème. Elle avait trop chaud pour se disputer et préféras s'allonger sur son lit à regarder le plafond. Sa main heurta alors un objet lors que sont corp heurta le matelas, un petit disque en forme de lune jaune avec une perle bleuté. C'était l'objet qu'elle avais trouver dans la rue le jour où la chaleur lui avait donné une hallucination, c'était il y avait à peine trois jours et les évènements qui avais suivis lui faisais douter de la véracité de ce qu'elle avait vus. Elle n'en avait pas parler a ces parents, ni a personne d'ailleurs, ne voulant pas les inquiété pour un simple coup de chaud.

Étrangement, Alors qu'elle tenait ce bibelot trouver sur le sol dans sa main, le fixant sans raison particulière, la sensation de chaleur qu'elle ressentait depuis maintenant des semaine s'amenuisais. Elle n'avait pas disparu loin de là même, mais un léger sentiment de fraicheur l'envahit, comme si la température avait chuté d'un ou deux degrés. Se sentiment était plus que bienvenue pour Lougaroc, elle sera l'objet contre sont corp en espérant ressentir plus de fraicheur, mais au lieu de ça elle entendit une voix, exactement la même qu'elle avait entendu dans son hallucination.

— Aide-les tiens, tu dois sauver ta planète, ils arrivent ...

Lougaroc jeta immédiatement le disque loin d'elle, celui-ci atterrissant sur le sol de sa chambre. La jeune fille était effrayée, pour elle cela ne pouvais être vrais, c'était la chaleur qui lui donnait à nouveau des hallucinations. Cela ne pouvait-être rien d'autre, juste la fatigue et la chaleur, pourtant ... une part d'elle ne pouvais totalement se résoudre a ce que se soit sont imagination qui lui joue des tours. Elle se levas prudemment de son lit et tendit sa main tremblante pour ramasser l'objet, le regardant a nouveau avant que la voix ne retentisse dans son esprit.