La sombra..

Prologue.

Bonjour, tout le monde j'espère que vous allez bien. 💕

Je me suis lancée à écrire une dark romance,j'espère de tout mon cœur que vous allez aimé l'histoire que j'ai écrites.

Sur ceux je veux vous faire une petite présentation des deux personnages principaux; traumatismes,caractère, physique. Et leurs ✨univers✨.

Isabella Reyes:
Physiquement;
• cheveux noir très foncée mi-long.
• yeux vert/brun assez foncée.
• Une peau assez mate.
Caractéristiques;
•Forte mentalement.
• intelligente.
Traumatisme;
• pourtant marquée par le manque de son père. Le traumatisme de cette perte l'a rendue méfiante et prudente, mais elle cache une colère profonde qui alimente ses désirs de justice.

Alejandro Salazar:
Physiquement;
• grand ( environ 1 mètres 98 )
• cheveux mi-long ondulés tombant légèrement sur son visage brun foncée.
• Peau mate.
Caractéristiques;
• Froid.
•Calculateur.
•dangereux.
Traumatisme;
•Un homme brisé par son passé.Sous cette façade de brutalité, il ressent une immense solitude et une culpabilité qui cache sous des actes violent. Peu de personnes connaissent son vrai visage.

Prologue

Isabella Reyes se redressa brusquement dans son lit, le souffle court. Une fois de plus, le même cauchemar l'avait tirée du sommeil : son père, figé dans un sourire désespéré, sous la menace d'un pistolet. Elle chassa l'image de son esprit, mais la réalité la frappa de plein fouet : elle était déjà en retard.

Sans perdre une seconde, elle se leva et enfile un débardeur noir qui épousait ses courbes, suivi d'une mini-jupe qui mettait en valeur ses longues jambes. Ses escarpins Louboutin, d'un rouge éclatant, claquèrent sur le sol alors qu'elle se précipitait vers la sortie, une longue veste noire jetée négligemment par-dessus sa tenue. Elle ne prit même pas le temps de se regarder dans le miroir, le cœur battant la chamade.

Dans le hall de l'immeuble de verre où elle travaillait, l'atmosphère était tendue. Alors qu'elle s'installait à son bureau, la porte d'entrée s'ouvrit avec fracas. Alejandro Salazar, le célèbre mafieux, fit son apparition, entouré de deux gardes du corps dont les visages étaient marqués par une vigilance extrême.

•Je veux voir le patron,ordonna-t-il d'une voix profonde, comme si la pièce entière était à son service.

Isabella, surprise mais déterminée, s'avança. •Je peux vous accompagner, M. Salazar. Suivez-moi. Elle feignait une assurance qu'elle ne ressentait pas, tandis qu'ils se dirigeaient vers l'ascenseur.

En attendant que les portes s'ouvrent, elle ne put s'empêcher de l'observer. Alejandro avait ce regard perçant, une intensité qui dégageait à la fois charisme et danger. •Vous êtes la secrétaire du patron ? demanda-t-il, un sourire amusé aux lèvres.

•Oui, c'est moi. Isabella, enchantée. Et vous êtes... Alejandro, je suppose. Vous avez une réputation qui vous précède,
répondit-elle en feignant l'enthousiasme.

Il la regarda, un sourcil arqué. •Oh, vraiment ? Et quelle réputation, mademoiselle Reyes ?

•Celle d'un homme qui se croit au-dessus des lois, répliqua-t-elle, croisant les bras avec défi. Les gardes du corps échangèrent des regards choqués, clairement surpris par son audace.

Alejandro éclata de rire, un son grave qui résonna dans le hall. •Vous avez du cran, je dois l'admettre. Mais attention, dans ce monde, le cran peut être dangereux.

•J'ai l'habitude de danser avec le danger, rétorqua-t-elle, un sourire provocateur sur les lèvres. Je ne vais pas commencer à avoir peur maintenant.

Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent avec un bruit sourd. Ils entrèrent, et Isabella appuya sur le bouton du dernier étage. L'ascenseur commença son ascension, et le silence qui s'ensuivit était chargé d'électricité. Alejandro se tourna vers elle, le regard intense.

•Vous savez, beaucoup de femmes auraient fui devant moi. Mais vous, vous semblez aimer jouer avec le feu.

•Je n'ai jamais été du genre à me cacher derrière les autres,  répondit-elle, défiant son regard. Je préfère affronter le feu plutôt que de brûler en silence.

Les gardes, visiblement mal à l'aise, échangèrent des regards perplexes, se demandant ce qu'il se passait dans la tête de leur patron. Alejandro sourit, amusé par la situation. •Vous êtes audacieuse, Isabella. Mais ne sous-estimez jamais le pouvoir des flammes. Elles peuvent aussi vous consumer.

Elle se pencha légèrement en avant, un sourire provocateur sur les lèvres. •Je ne crains pas les flammes. Je crains plutôt de devenir un cendre.

L'ascenseur s'arrêta avec un léger tremblement, et les portes s'ouvrirent sur un couloir sombre, les murs ornés de portraits sombres qui semblaient observer chacun de leurs mouvements. Isabella se tourna vers Alejandro, défiant. •Je suis ici pour travailler, pas pour être intimidée. Si vous voulez me jouer un tour, je ne serai pas votre victime.

•Je n'ai jamais pensé à vous comme à une victime, murmura-t-il, un sourire énigmatique sur le visage. Je suis plutôt intrigué par votre caractère.

Les gardes du corps, visiblement déconcertés par l'interaction, échangèrent des regards choqués, réalisant que l'échange entre leur patron et la secrétaire était bien plus qu'un simple jeu de pouvoir. Isabella, consciente du jeu qu'elle menait, se sentit plus vivante que jamais.

•Eh bien, Alejandro, dit-elle en avançant vers le bureau du patron, si nous devons travailler ensemble, j'espère que vous vous êtes préparé à être défié.

•Oh, je n'en doute pas une seconde, Isabella, répondit-il, son regard brillant de défis. Mais soyez prudente, car parfois, le défi peut avoir des conséquences inattendues.

Alors qu'ils avançaient vers le bureau, Isabella savait qu'elle venait de plonger dans un monde où chaque mot pouvait être une arme. Et malgré le danger, elle était déterminée à ne pas laisser cette rencontre la consumer.