Un homme, pas comme les autres

CHAPITRE 51

ISMAILA MALIK FALL

Dites moi que c'est un cauchemar s'il vous plaît. Je ne peux pas croire que ma femme ait assassinée ma sœur la prunelle de mes yeux.
Une forte colère a envahis tout mon être, mon cœur bat tellement la chamade, les points serrés, la mâchoire contracté j'aimerai me réveiller mais je me sens loin.
Ça ne peut pas arriver !
Est-elle à ce point un monstre?
La mère de ma petite fille chérie.
J'étais partie complètement dans les vapes quand je sens deux mains me prendre le visage.

_Layla: Ismaila reste avec nous ce n'est guère le moment de sombrer ou de s'apitoyer. Dit-elle en me secouant la tête.

J'étais là à l'a regarder sans réagir quand elle m'administra une énorme gifle.

Je l'a regardais avec les gros yeux.

_Layla: REVEILLE TOI BON SANG, JE SAIS QUE C'EST LA PIRE DES CHOSES QUI PUISSENT T'ARRIVER EN CE MOMENT MAIS POUR L'HEURE LE PLUS IMPORTANT C'EST D'ALLER CHERCHER CETTE KHEH POUR FAIRE JUSTICE À TA SŒUR.

Automatiquement je reviens à moi.
Elle a raison il faut qu'elle paye, ce n'est pas le moment de pleurnicher.

_Moi: Bachir appelle immédiatement la police. Assane condamne toutes les issus de la maison et alerte les autres vigiles de la maison que personnes ne sortent et que personnes ne rentrent jusqu'à l'arrivé de la police. Dis-je en m'adressant aux vigiles qui s'exécute sur le champ.

Layla me prend la main et la serre fort comme pour me témoigner tout son soutient. Ensemble nous retournons au rez de chaussée.
J'explique brièvement la situation aux garçons et aux employés qui m'aident à retourner toute la demeure à la recherche de Adja.

_Amsa: Elle est introuvable.

_Layla: Vous êtes sûre d'avoir cherché partout.

_Cheikh: Elle n'est pas dans la maison.

C'est là que le vigile qui gère les caméras vient nous annoncer qu'elle est partie en vitesse de la maison depuis quelques minutes.

_Moi: Bon sang !

...

ADJARATOU SOW

20 minutes plus tôt...

Je ne suis vraiment pas à l'aise de cette ambiance dans la maison.
A chaque coin des visages attristés.
Je ne peux m'empêcher de penser que tout ça est mon œuvre.
J'ai l'impression que tout le monde me regarde avec des yeux accusateurs quelle sensation horrible.
Me sentirais-je coupable ?
Ah non je crois pas...

Je décide d'aller chercher mon mari que j'ai perdue de vue depuis un moment maintenant.
Cela n'augure rien de bon surtout avec Layla dans les parages mieux vaut ne prendre aucun risque ce n'est pas du tout le moment de m'éloigner de lui.

Je monte vers le troisième où se trouve son ancienne chambre je passe par la chambre de la défunte Salimata qui était entre ouverte.
J'entendais des chuchotements mais difficilement j'arrivais quand-même à distinguer les voix de Layla, Amsatou et Bachir.
Mais je n'entendais absolument rien jusqu'à ce que tout à coup Amsa s'écrie "LES CAMERAS"

Hein?

"Les caméras" répète t-elle toute enthousiaste en expliquant qu'il y avait des caméras dans les couloirs de la maison.

Instinctivement je regarde vers le plafond et les recoins je ne vois absolument rien qui y ressemble.

Je suis foutus !
Amsa a pratiquement grandit dans cette maison. Elle est la belle fille de cette famille depuis déjà 10 ans donc elle connais bien les lieux.