𝘚𝘰𝘳𝘢𝘺𝘢 𝘙𝘢𝘮𝘪𝘳𝘦𝘻
𝗯𝗮𝗿𝗰𝗲𝗹𝗼𝗻𝗲 , 𝗘𝘀𝗽𝗮𝗴𝗻𝗲Déposant le bouquet de fleurs sur la pierre tombale de ma mère, je ne pu m'empêcher de laisser une goutte tomber, la pluie tombait à saut. La nuit faisait surface tandis que j'essayais de remémorer tout les souvenirs possibles passée avec ma chère et tendre maman
Mon ami, Gabriel attendait devant le cimetière, précisément dans sa voiture. C'était chez lui que je logeait à présent, sa femme m'a directement accueilli et je ne leur remercierai jamais assez. Il était là au pire moment de ma vie. À présent, je n'ai pas encore annoncer au couple que je m'étais trouver une petite maison 2 pièces dans le fin fond de Barcelone.
Je relève ma tête, soufflant de la fumée du au froid qu'il y avait en cette saison. Je finis par déposer un cadre, une photo de ma mère me portant dans ses bras en étant jeune. Puis avança pas à pas vers la voiture de Gabriel.
Depuis mon arrivée en Espagne, Gab' n'a pas hésiter à me donner des cours d'espagnol, car je comptais rester près de ma mère, en Espagne.
Je vivais, de base, en France dans une petite région parisienne avec mon père. Mais mon père est décédé juste après m'avoir légué de sa fortune. Quelques temps après j'apprends que ma mère, la femme qui comptait beaucoup pour moi, était morte. Dans le pays où elle a toujours rêver d'habiter, la ville qui lui faisait tellement envie étant petite, alors décider de suivre les traces de son chemin je vins habiter justement avec mon ami Gabriel et sa femme Mevida à Barcelone.
Je claque doucement la porte de la voiture et fit signe à Gabriel que j'avais fini, j'avais le regard vide, ne sachant pas quoi dire je préfère fermer ma bouche.
— tu vas réussir à faire son deuil Saya. Me dit il en anglais pour que je puisse comprendre.
— merci d'être là en tout cas
Il démarre la voiture, pivotant la clé à droite et en enlevant la poignée. La route se fit dans le calme, j'essayais n'empêche de me remémorer quelques mots en espagnol histoire d'apprendre petit à petit. Je sorti mon téléphone et fit un tour sur les réseau en attendant notre arrivée.
Nouveau message :
Angelo / bar : bonjour mademoiselle Ramirez, je suis content de vous informer que nous vous embauchons en tant que serveuse dans notre bar. Vous commencerez la semaine prochaine !
Cordialement
J'étais tellement contente ! Je vais enfin pouvoir gagner de l'argent, et aider Gabriel et Mevida à payer le loyer. J'avais longuement hésiter à m'acheter un appartement hélas, le prix était beaucoup trop élevé pour une fille n'ayant pas d'argent.
— Gab ! Je suis prise, je suis prise ! Criais je
— quoi ? Mais c'est génial attend ! Tu commences quand ?
— la semaine prochaine. Il me souria et continua ce qu'il avait à faire
(...)
Pendant que j'aidais Mevida à cuisiner sa fameuse paella, Gabriel m'a demander d'aller acheter une baguette de pain. En disant qu'il ne pouvait pas y aller car il avait une réunion importante. J'enfile mes chaussures, pris mes clés et sortit comme il me l'avait demander. Dans les rues calmes et chaudes de Barcelone, je marchais tandis que le soleil se couchait. Sans m'en rendre compte, je bouscula quelqu'un et me retrouva au sol.
— disculpe ! Cria le jeune homme
C'est une insulte ? Ou alors il m'a demander si j'allais bien ? Je suis totalement perdu..
— hum.. prise par la honte je pris mes jambe à mon coup et me dirigea vers la boulangerie la plus proche.
(...)
Sur le chemin du retour, j'étais en appel avec une amie de France nommée Aynah, elle me racontait ses problèmes avec son petit ami. Je ne suivais pas trop ayant l'habitude qu'il se passe quelques querelles entre eux.
— et toi ? Les garçons sont beaux en Espagne ? Se réjouit elle
— lâche ça Nana.
— arrête un peu.. « Aynah descend manger !» Oui j'arrive ! Cria ma copine au bout du fil désolé je vais manger, besos !
Elle raccrocha, mais c'est vrai que je n'eut pas le temps de m'occuper des petites amourettes. Mais ce n'est pas nouveau. Je ne plaît pas et je plairai pas, enfin.. si
Mais il est mort
Suite à ça, je n'ai plus regoûter a l'amour, j'étais tomber de bas. En dépression puis-je dire.
« C'est la recette de la vie » disais ma mère, lorsqu'elle me tenait dans ses bras quand je pleurais.
« pense a ces fleurs que tu plantes dans le jardin chaque année, elles vont t'apprendre que les gens eux aussi doivent se faner, tomber, pourrir, se redresser pour fleurir. »
ʳᵘᵖⁱ ᵏᵃᵘʳ
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- 𝐁𝐚𝐣𝐨 𝐥𝐚𝐬 𝐄𝐬𝐭𝐫𝐚𝐥𝐥𝐚𝐬 - ᵖᵃᵇˡᵒ ᵍᵃᵛⁱʳᵃ
FanfictionSous les étoiles, deux âmes se rencontrent, est-ce le destin qui leur mette mains dans la mains sur le même chemin ? 𝑯𝒆 𝒇𝒆𝒍𝒍 𝒇𝒊𝒓𝒔𝒕 𝒃𝒖𝒕 𝒔𝒉𝒆 𝒇𝒆𝒍𝒍 𝒂𝒓𝒅𝒆𝒓 ~ 𝐒𝐨𝐫𝐚𝐲𝐚 𝐑𝐚𝐦𝐢́𝐫𝐞𝐳 𝐱 𝐅𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧 𝐋𝐨𝐩𝐞̀𝐳