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Le lendemain ma mère est venue me voire pour me tenir compagnie dès le début des visites. On parlait de tout et de rien entre nous quand on entend la porte toquer puis s'ouvrir.

Au début je pensait que c'était Suleyman jusqu'à que je voit mon père. Je suis restée bouchée bée et j'ai remarquer que ma mère aussi était choquée de le voir.

Je pense que c'est la première fois qu'elle le voit depuis des années.

Omar - Quoi ? Arrêtez de me regarder comme ça.

— Tu fais quoi ici ?

Omar - J'ai plus le droit de rendre visite à ma fille ?

Maman - T'as fille ? Tu l'as maltraité presque tout sa vie et t'ose dire que c'est ta fille ?!

Omar - Toi ferme la. C'est moi je l'ai élever donc ouais c'est ma fille, je fais ce que je veux d'elle et t'as pas ton mot à dire.

Maman - Bon bah à ce que je voit tu n'as toujours pas évoluer, même dix ans après.

Omar - Ferme ta gue*le parce que je vais te niq*er, tu vas venir pleurer. Tel mère, tel fille. Je vais repasser quand l'autre slp sera partie.

Je suis complètement choquée des propos qu'il sort dans le plus grand des calmes. Il vient d'insulter ma mère sans aucun scrupule, comme si tout était normal.

Il s'est diriger vers la sortie, il allait sortir quand la porte s'ouvre. C'était Ismail.

Ismail - Ah ouais j'crois j'suis venu au mauvais moment.

Omar - Ah le fils à Rayan, ça va mon fils ?

Ismail - T'as serrer j'suis pas ton fils.

Omar - Très bien.

Sur ces mots il est parti.

Ismail - Selem vous avez pas vu Suleyman ?

— Non.

Ismail - Vasy ciao.

Puis lui aussi est parti. Je me suis retrouvé seule avec ma mère. Elle était plus comme tout à l'heure, elle avait l'air d'avoir la tête ailleurs.

— Ça va ?

Maman - sourire Alhamdulilah. Je vais rentrer pour faire à manger pour Layan, je reviens passer vers seize heures Inshaa'Allah.

— D'accord, bisous.

Maman - Bisous habiba.

Elle est partie et quelques minutes après un infirmier est venu. Il m'a parler de sortir demain normalement, j'étais contente j'allais enfin sortir de cet hôpital. Je comptai vraiment pas rester plus longtemps sur Lyon, j'allais directement rentrer sur Nice Inshaa'Allah.

{....}











Un mois plus tard....







𝐍𝐈𝐂𝐄 📍






J'allais beaucoup mieux, mon bras me faisait beaucoup moins mal alhamdulilah. Je vivait très bien, c'était toujours la routine comme d'habitude : Travail, maison mais ça m'allait très bien.

Cette fois je comptai plus jamais remettre les pieds sur Lyon sauf pour une urgence. Cette ville me ramène que des problèmes, je suis allée pour passer des vacances et je me suis retrouvée à l'hôpital hospitalisé pendant une semaine.

Bref. C'était un dimanche après-midi, j'étais tranquillement chez moi entrain de regarder un film quand sa toque à la porte.

Rihanna - 𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐭𝐨𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐞𝐭 𝐚̀ 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬. TOME 1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant