J'ouvris les yeux et je me redressa avec brusqueté. J'avais oublié que je m'étais endormis tout habillé. Je me rallongeas et j'observais le plafond. Il était gravé et sculpté de petit dessins je n'arrivais pas à voir a cause de sa hauteur. Au centre, il y avait une grande tapisserie représentant des petits anges entourés de nuages blancs et cotonneux. Petit, je leurs inventais des histoires quand je n'arrivais pas à m'endormir. L'ange au milieu, je le nommais Gustave, et celui à sa gauche, je ne souvenais plus de son nom mais je me disais qu'il avait sauvé une âme qui ne trouvait pas l'amour. Ce n'était seulement des histoires d'enfants, rien de plus. Je commençais à plonger dans mes pensées lorsque l'on toqua à ma porte.
-Bonjour Monsieur De Monrédant. Votre Mère m'a demandé de venir vous réveiller pour le petit déjeuné.
C'était notre domestique, Alma. Nous l'avions recueillis lorsque j'avais 3ans. Elle avait toujours été adorable avec moi.
-Bonjour Alma, je sors dès que je suis préparé! Criais-je de l'autre bout de la porte.
-Très bien Monsieur, avez-vous besoin d'autre chose?
-Rien de bien pressant! Dis-je, Merci!
La seule chose qui pouvais s'avérée pressante c'était l'ouverture d'esprit de mes parents.
Je pris des vêtement dans mon immense armoire, puis je descendit prendre mon petit déjeuné. Mes parents et ma fratrie m'attendait pour commencer.
-Et bien, ce n'est pas trop tôt! dit mon frère.
Je ne répondis pas et je m'assit face à ma sœur. A la simple vue du visage de ma mère, je vis qu'elle était perturbée.
-Très bien, dit elle, il est temps que nous ayons une petite discussion avec toi Octave. Je ne suis pas contente, mais alors pas contente du tout de ton comportement. Déjà hier tu es monté sur tes grands chevaux inutilement et ensuite tu te plaint auprès de ta sœur que tu n'aime pas que nous parlions de ton avenir. Nous faisons tout ceci pour toi et voilà ce que nous avons en retour. Ce n'est pas comme cela que nous t'avons élevés.
J'ouvris la bouche pour me défendre mais mon paternel me devança:
-Je trouve très ingrat de ta part de dire que tu es dépassé par la situation. Tu as 17ans et non 5, il est temps que tu trouves quelqu'un!
-Mais et Félix, il n'a personne lui et vous ne lui dites rien.
-Il n'a personne car il n'a pas eu l'occasion de rencontrer de femmes. Mais ce n'est pas de Félix que l'on parle mais de toi! Alors reprends toi un peu jeune homme. Tu n'es pas majeur de toute façon, c'est nous qui décideront!
-Tu viens de le dire toi même j'ai 17ans, je ne suis pas majeur! Donc laissez moi encore un an!
-Mélodie est une fille jolie et obéissante! Elle te rendra donc service quand tu le voudra. Et sa famille fait aussi partit de la noblesse je suis sûr qu'ils seront d'accord.
-Mais je ne veux pas une femme pour sa beauté et parce qu'elle obéira à mes ordres comme un petit toutou! Je veux quelque un avec qui je me sente heureux. S'il vous plaît, voulez vous que je vive heureux ou que je passe ma vie à me morfondre parce que ce n'était pas la bonne femme?
Touché. Je lança un regard à ma sœur, et je vis que ses yeux pétillaient de fierté. Elle m'adressa un grand sourire puis elle se tourna vers nos parents et dit:
-Je pense qu'Octave à raison sur deux point. Déjà c'est vrai que cela fait un peu jeune pour qu'il se mari, et nous ne sommes pas vraiment dans le besoin financièrement. Je pense qu'il serait préférable d'attendre la visite du roi avant de prendre une quelconque décision. Si c'est l'argent qui vous intéresse tant, peut-être que le Roi aura un bon métier à lui proposer qui lui rapportera beaucoup de sous, peut-être même autant que vous père.
Je vis le regard de mes parent se perdre au loin, je ne sais où. Ils étaient sûrement en train de rêver de mon futur. Marguerite reprit en coupant cour à leur pensées:
-Sûr un second point, Mélodie n'est pas un objet, elle mérite d'être avec qui elle le souhaite.
-Au mais Mélodie serai très heureuse d'être avec notre chère Octave. De plus, elle n'a pas vraiment son mot à dire dans l'histoire, c'est à ses parent que revient le choix. Répondit Mère
Je vis la tête de Marguerite se décomposer.
-Comment peut tu dire ça! Tu es une femme à ce que je sache non! Tu devrait défendre notre liberté!
Mère devint rouge ( même peut être bordeaux ) de colère.
-Comment oses tu parler sur ce ton à ta mère. N'as-tu pas honte de tenir de tel propos! Croix tu véritablement que tu as le choix jeune fille! Gronda mon père
- Vous voyez! Vous n'avez jamais aucun argument pour défendre vos idées ou vos causes, sans doute parce que vous savez au fond de vous que tout ces... ces héréditaire sont stupides! Vous dites juste ceci par principe et vous nous menacer par le fait que vous êtes nos parents! Mais je n'en peut plus! Ça ne marche plus avec moi!
Mes parents en restèrent bouches bées, et avant qu'ils puissent répondre quoi que se soit, elle se leva repoussa la chaise de manière si violente contre la table quelle en fit tombé nos verres.
Mes parents se regardèrent avec de si grand yeux que je crue qu'ils allaient sortir de leurs orbites. Je me leva et je voulus rejoindre ma sœur. Je traversa le long couloir ou étaient affichés les portraits de notre familles. Je m'arrêta devant celle que nous avions fait il y avait cinq ans de cela. Nous étions jeunes, et naïfs. Mais c'était tellement bon de ne pas nous soucier de... En fait de tout. Rien ne nous effrayait, à part les petites blessure que nous nous faisions en jouant. C'est vrai qu'avant tout était plus simple.
Dessus, mes cheveux étaient plus long, et mon visage, plus rond. Je portait la grande veste bleue roi que mon père m'avait obligé à mettre alors que je la détestait. Marguerite elle, avait un air si angélique. Et mon frère lui, avait une posture fière et un sourire un peut trop vantard à mon goût. Malgré tout, nous avions bien changés. Notre physique oui, mais pas seulement. Ma sœur ne se rebellait pas encore contre nos parents ( même si franchement, je ne crois pas que j'y suis pour rien ), Félix n'était pas tout le temps à essayer de draguer et moi... En fait il n'y avait rien qui avait changé. J'étais toujours ce petit garçon qui, malgré ses conviction, était lâche par peur de ce qu'il pourrait lui arriver. Je divaguais de plus en plus, quand, d'un coup, une poigne solide me broya l'épaule:
-J'étais seule à essayer de me défendre et toi, tu n'as rien fait.
Coucou! Ce chapitre aussi était un peu court mais j'avais teeeeeellement envie de terminer la dessus ( même si ça doit paraître teeeeeeellement évident de qui est le dernier personnage ), bref tout ça pour dire que je ne suis franchement pas doué pour créer du suspense alors si vous avez des conseilles, merciiii infiniment de m'en dire quelques uns.
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rex meus
RomanceLorsque l'on vie au XVIIème siècle, il est presque impossible de laisser paraître son véritable soi. On pourrait vous prendre pour un fou, vous exécuter. Octave est un jeune garçon, qui vient d'atteindre ses 17ans. Il vie au sein d'une famille de no...