Chapitre 58

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Je me réveille le corps lourd. Je suis comme épuisé. Je sais que mon repos a été long. Mon ventre est plat quand je passe ma main dessus. Je me relevé d'un bon.

- Mes petits, hurlais-je totalement paniquer.

Je les cherchais du regard. Je ne trouvais personne. J'était des plus perdu. J'était couché dans un lit classique. J'était seul. On m'a enlevé mes petits. La pièce était totalement vide de mon sang. Ou sont mes enfants? Ils devraient être avec moi. Je viens de leur donné naissance. J'était seule. Chose que je n'avais pas été depuis longtemps.

- Tout doux, ma reine, dit Ama en entrant.

Elle ouvrit la porte précipité surement alerter par mon cris. 

- Sorcière, je veux mes petits tout suite, dis-je ma panique et ma rage plein la voix. 

Elle me regarda soucieuse. Son énergie apaisante essayais de me calmer sans réussite. 

- Ils arrivent. Je suis simplement celle qui veillais sur votre sommeil, dit Ama en s'approchant de moi. 

Elle pris place dans le siège proche du lit. 

- Tu veillais sur moi, pas mes âmes sœurs? la voix brisé de constater que j'avait été laissé seule. 

Je ne pus masquer ma douleur. Elle voulut me prendre la main, mais je refusais son contacte. Mon corps tout entier suppliant que je mute pour trouver mon sang. Je déchiquèterais qui conte ayant eu l'idée de prendre mes enfants alors que j'était inconsciente.  Une soif de sang monta en moi. Noyant presque la douleur de me réveillé seul dans un lit, dans une chambre étrangère. 

- Oh ma reine, calmer votre cœur. Nabi est dans la douche attenant à cette chambre. Je ne faisais que veillé le temps qu'elle se nettoie, dit Ama la voix calme. 

Je n'arrivais a me calmer. J'avais plusieurs âme sœur. Pourtant, une seule était a mes côtés. Le destin s'acharnais a me torturé. 

- D'accord. Nabi n'est pas ma seul âme sœur, dis-je la voix blesser. 

Une sensibilité était présente en mon sein. Je n'arrivais pas à faire face au monde avec ma froideur habituel. 

- Regarde sous les couvertures, dit Ama d'un ton joyeux. 

Je regardais. Sous la forme d'un chat se trouvais Baltazar. Dans ma panique, je n'avais pas senti sa proximité.

- Baltazar, mon doux oméga, dis-je la voix plein de caresse. 

Il leva un regard endormi sur moi. Il s'étira de sa grâce féline. Il pris forme humaine.

- Ma belle tout va bien, les autres sont dans nos appartements avec les petits. Les petits ne trouvais pas de repos. Nous voulions voir si la distance mise avec eux les calmerais. Le résultat est que les petits sont hors de contrôle. Ils vont revenir sur l'instant. Calme ton angoisse, dit Baltazar la voix rassurante. 

Il me pris dans ces bras. Je voulais tellement me laisser aller aux calme qu'il voulait m'offrir. Pourtant, je m'en sentais incapable. Je soupirais de soulagement. Tout ce qui était arrivé avant la naissance des petits restais frais dans mon esprit. 

Une tel blessure ne peux pas être oublié dans un sommeil. Même un accouchement ne peut faire oublier combien le fait que Magnus est choisi sa sœur a la place de son âme sœur. Avait profondément blesser mon cœur. Une part très humaine de moi se rappelais encore combien l'amour reçu de mes âme sœur était un rêve jamais espérer. 

Née paria, traité comme un paria tout ma vie humaine, il était difficile de croire a l'amour et la dévotion donné par mes âmes sœurs. Ils n'avaient pas les même blessures que moi. Pourtant on se complétaient, sachant très bien les nombreuses plaie vivant dans l'âme des autres. 

La reine du ChaoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant