L'orage

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J'ai toujours détesté les orages et je les déteste encore plus maintenant que ma mère n'est plus là. Malheureusement son départ n'a pas affecté que moi mais aussi mon père qui sombre peu à peu dans la solitude le cancer a eu raison d'elle. Il ne s'en est toujours pas remis, cinq ans plus tard il y pense toujours et je ne le supporte plus elle était tout son monde dit-il et moi dans tout ça je compte pour du beurre?
Je veux l'aider à surmonté tout ça je suis assez grande maintenant je refuse de le laisser se morfondre plus longtemps.

Le temps est sombre et nuageux l'orage approche et comme moi je sais qu'il le redoute. Il est dans son bureau à broyer du noir, les éclairs fendent déjà le ciel je sais ce qu'il me reste à faire. Je descends lentement et Toc à la porte le plan est simple surmonté cet épreuve ensemble par tout les moyens papa à besoin d'une femme et moi j'ai besoin qu'il m'aime moi, je veux qu'il retrouve le sourire et la joie de vivre qu'il a perdu quand elle est partie.
- papa? Je peux entrer?
Aucune réponse, mais je sais qu'il est là je l'entend souffler faiblement. Je décide donc de pousser la porte et de jeter un coup d'œil que fait-il? Mes yeux s'équarquillent mon père est affalé dans son canapé pantalon au cheville il se fait du bien. Sa main s'agite doucement sur son membre on pourrait croire que ça lui plaît mais sa mine déconfite me prouve le contraire. Il a l'air triste sa queue à beau être fièrement dressé son visage ne montre aucun plaisir.
Ça me brise encore plus le cœur...
Je referme la porte et Toc un peu plus fort.
Toc! Toc!
- papa?
Je l'entend se rhabiller doucement avant de me répondre.
- tu peux entrer ma chérie.
Je pénètre la pièce et comme je m'en doutais il a cacher sa belle érection sous son pantalon jean qu'elle dommage. Je me précipite pour déposer un baiser humide sur le dessus de sa tête. Il m'enlace en passant ses bras derrière mon cou, le câlin achevé je m'assois face à lui en prenant la main qui astiquait sa baguette magique dans la mienne les effluves du parfum de son sexe chaud y sont encore je le vois rougir de honte pendant que je couvre cette main coupable de bisous. Le tonnerre gronde et il plonge son regard triste et emplit de chagrin dans le mien.
- je déteste les orages!
- pourquoi? Me demande t'il
- parceque ça fait peur et que le jour de l'enterrement de maman il y en avait un.
- tu est bien trop dramatique.
- dis celui qui s'enferme tout seul quand il y en a.
- je ne déteste pas les orages ça me rends juste triste parceque c'est ce que ta mère aimait le plus...avant qu'elle ne tombe malade elle aimait les orages plus que tout.
C'était le seul moment où on pouvait faire des cochonneries sans se faire prendre par toi. Tu avais tellement peur que tu n'osais pas sortir du lit du coup on était tranquille jusqu'au levé du jour.
- oh sympa les parents!
- ah ah ah ne le prends pas comme ça avaoue que tu ne nous laissait jamais seuls. On pouvait pas profiter l'un de l'autre tu étais toujours dans les parages.
- je sais bien. Elle te manque?
- terriblement.
- et ses cochonneries aussi?
- bien sûr que oui.
- je t'ai vu tout à l'heure papa...
- je sais!
- ...
- et je m'en excuse c'était plus fort que moi je n'ai pas pu résister.
- il n'y a pas de mal papounet. C'est naturelle et je pourrais même t'aider si tu veux je ne suis peut-être pas elle mais je ferai tout pour te faire plaisir quand tu le voudra.
Il baisse la tête ça doit faire drôle à un père d'entendre de tel chose de la bouche de sa propre fille mais je suis sincère.
- ce ne serait pas une bonne idée je suis...ton père c'est contre nature.
- ce qui est contre nature c'est que tu continue à penser si fort à elle que tu en oublie ma présence.
Il marque une pause, j'ai touché là où ça fait mal je sais que ça semble égoïste mais c'est bel et bien ce que je ressens.
- je te demande pardon bien sur que je t'aime tu es ma fille, ma petite chérie je ne voulais pas te blesser.
- mais tu l'a fais et maintenant tu persiste dans ta bêtises tu ne comprends pas que je ne supporte pas te voir comme ça?
Soudain le tonnerre gronde tellement fort que je bondis sur lui et me réfugie dans ses bras en hurlant.
- papa!
- au moin ça n'a pas changé tu es toujours aussi terrifié.
Je l'enlace mes fesses sur son érection et mes bras autour de son cou.
- je t'aime et je ne veux pas te perdre aussi.
- tu ne me perdra pas mon cœur.
- c'est vrai Dis-je en ondulant du bassin de façon très provocante il répond en pressant furieusement mon corps contre le sien. Alors j'en profite pour l'embrassé dans le cou et le couvrir de bisous. Je veux qu'il comprenne que je suis là et qu'il peut compter sur moi à tout moment. L'orage à éclater à présent je me retrouve sur sa table de bureau complètement nu les jambes ouverte et exposé à sa vue avec sa tête entre les jambes il me broute le minou avec une ardeur renouvelé je ne peux m'empêcher de gémir et de crier mon plaisir quand ses doigts viennent me fourré la chatte. Papa gémit également en me léchant il y prend un grand plaisir, ma main caresse sa nuque pour l'encourager à accélérer ses mouvements ce qu'il s'empresse de faire il se redresse sexe en main après avoir retiré son jean et s'approche de moi pour me pénétré.
C'est un han qu'il m'arrache quand son gland viens buté l'entrée de mon utérus son sexe commence immédiatement dès va et vient. En se cramponnant à mes hanches de toutes ses forces.
- oh papa! Tu me fais tellement de bien continue t'arrête pas.
- hmmm tu es si humide et serré.
- han! Papounet ton sexe est super gros tu me dilate la chatte.
- ah oui? T'aime bien comme ça?
Il me donne des coups de reins sec et aussi puissant que la foudre qui frappe dehors, mes seins balotent à chaque fois qu'il s'enfonce en moi c'est tellement bon et tout naturellement j'accroche mes pieds à ses hanches il en profite pour me pénétré plus profondément mes yeux se révulse sous l'effet du plaisir Je me mords tellement les lèvres que ça en devient douloureux.
Il relève encore plus mes jambes et positionne mes mollets sur son cou j'ai l'impression de faire de la gym tellement mes jambes sont étiré. Mon père se démène en moi en accélérant toujours plus ses mouvements.
Je n'en peux plus je craque...
- papa!!!!!
S'en est fini de moi je joui comme une folle il me baise les pieds avant de les poser jointe sur son torse il continu ses va et vient et fini par éclaté lui aussi, il se repend en flot de sperme dans mon ventre nous somme en sueur et complètement fatigué l'un et l'autre.
- tu va bien? Me demande t-il inquiet je n'ai pas cessé de tremblé je ne suis toujours pas remise de ses assauts répéter.
- je vais bien papounet! Dis-je en souriant.
Je lui ouvre mes bras et il vient si lové.
- merci chérie!
- mais de rien papa! Je ferais tout pour toi
- comme dormir avec moi cette nuit?
- bah oui
La chatte baveuse et totalement pleine.
Il me soulève et me colle à son ventre mes jambes autour de ses hanches et ses bras dans mon dos il m'entraîne avec lui dans sa chambre je suis tellement heureuse.

Une histoire, un Chapitre Où les histoires vivent. Découvrez maintenant