Chapitre 67 Allia

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Je courrais depuis plusieurs heure. La fatigue n'avais pas encore pris mes muscles. Une soif pris ma gorge. Je trouvais un point d'eau pour m'abreuver. Après j'eu une idée. Seul une personne pourrais m'éclairé sur ce que je devrais faire. Je vois une mission devant moi. Pourtant, j'aimerais avoir la confirmation avant de m'engager dans un tel bouleversement. 

Je pris forme humain. Je pris un bâton de bois pour tracer des runes sur la terre. Je m'entourais d'un cercle. Je fis appel aux quatre élément, mais aussi au force de la vie et la mort. 

- Isashi, j'ai besoin de te voir, dis-je en me mettant a genou.

J'attendis qu'il réponde à mon appel. Peu de personne connaissent le rituel pour appeler le dieu de la mort. Ma ligné garde ce secret. Nous pouvons l'invoquer pour lui poser des questions. Reste qu'il nous est interdit de lui demander de ramener les morts a la vie. 

Combien de fois, prisonnière j'ai rêvasser à cette idée qu'il pourrait mettre fin à mes souffrances en me ramenant mon fils. Une illusion enfantine née d'une souffrance de l'absence d'un être représentant tout mon univers. Asa, mon beau garçon, un enfant parfait, un cœur généreux et un âme de guerrier, il sera toujours dans mon coeur. 

Aujourd'hui, mon centre de gravité ce trouve en un être totalement dépourvue de conscience. Elle ignore combien ces désir amène souffrance sur un peuple qu'elle veut protéger. Elle désire protéger, mais utiliser ceux autour d'elle comme des pions dans ces jeux cruels. 

 4 heure ont passé. Je n'avais pas bougé. J'apportait mon esprit au calme. Je l'entendis arrivé par derrière. Ses pas était à peine audible. Je ne bougeais pas d'un centimètre. 

- Petit fille d'Anselme, pourquoi m'appeler? Demanda Isashi.

Il se plaça devant moi. Il portait des vêtements blanc. Son visage d'une beauté mortel porta son attention sur moi. Il est étrange d'être dans l'attention d'un être si puissant. Je reste sans émotion ou faire le moindre mouvement. Je ne craint pas pour ma vie. Je lui démontre simplement mon respect pour lui. 

- Gaïa, dis-je pour tout réponse.

Une surprise éclaire son regard. Les yeux de cette être divine sont aussi noir que la nuit. 

- Tu es son âme sœur, Séléna et moi-même sont très heureux de votre union, dit Isashi sur un ton joyeux. 

Il ne comprenais pas mon interrogation. Il était totalement décontracter. 

- Elle n'a pas de moral ni limite. Elle n'a aucun respect pour l'œuvre de sa mère ou même la votre, dieu de la mort. Dans mon existence, j'ai été témoin d'une seule influence capable de privé un être de base si élémentaire de son libre arbitre. La chao était son maitre. J'ai du tué cette être dépourvu de conscience de la destruction qu'il causais. Libérant le monde de son chao. Mon dieu, ne me demandez pas de tué mon âme sœur. Si cela est ce que vous attendez de moi, je n'arriverais pas a accomplir mon devoir, dis-je suppliant. 

Je mis les mains dans la terre. Les larmes ont brouiller ma vision. Je cachais combien cette possibilité m'arrachais l'âme. Je le vis se mettre à genou devant moi. Il pris mon menton entre ces doigts. Je relevais les yeux sur lui. Mon âme totalement mise a nu devant ce divin. Ses yeux se remplir d'une compréhension. Il n'était pas dans l'ignorance de mes souffrances. 

- Oh mon enfant, Gaïa possède seulement une puissance qui n'avais pas d'équilibre. Tu es la pièce manquante. Elle a vécu pendant si longtemps sans toi. Le jour de changement est arrivé. L'obscurité va enfin faire place à une lumière si brillant, mon enfant, dit Isashi d'une voix ferme. 

Je le regardais ahuri. Comment je pouvais devenir ce qu'avait besoin Gaïa? Je suis une louve briser. Comment une personne ayant été réduit a rien pourrait accomplir un tel miracle? 

- Je ne peux pas être sa conscience, murmurais-je incrédule. 

Isashi caressa ma joue. Il dégageais une confiance en mes capacités que je ne possédais pas. 

- Si, vois combien tu as facilement contrôler son esprit. Tu pourra y faire naitre les valeurs de ton choix. Gaïa a toujours été une œuvre incomplète, tout comme Magnus. Tout deux ont besoin de leur âme sœur. Leur âme sont incomplète sans elle, dit Isashi. 

Je le regardais ahuri. Ils ont créer des œuvres incomplète qui sont devenu des monstres. Leur enfants ont massacré par millier de centaine des innocents. Comment pouvaient-ils avoir créer leur destiner incomplète?

- Je vois, dis-je. 

La responsabilité m'incomberais de protéger le monde de ma femme. Une tâche complexe quant on y pense. Gaïa est mienne. Je suis en dilemme avec deux par de moi-même. J'ignore comment je vais y arriver. 

- Tu voulais me parler d'autre chose, demanda Isashi. 

Il se releva. 

- Non, mon dieu, il est rassurant d'avoir les réponse, murmurais-je. 

Je me redressais pour le regardé dans les yeux. Je n'était plus à genou devant lui. Sa surprise était présente sur ces traits. 

Une part de moi leur en voulait d'avoir mis cette responsabilité sur mes épaules. J'ai le sentiment que je suis celle qui règle les fautes d'autrui. J'ai effacé l'infection qu'était les chasseurs du monde. Maintenant, je vais être la gardienne d'un monstre qui possède une part de moi. 

- Allia, plus jamais tu ne fera appelle a moi, dit Isashi.

Il n'aimais pas que je lui fait face. Je déclarais ne plus vraiment reconnaitre son autorité. Je n'ai pas des tendances suicidaire. Pourtant, je ne voulais pas qu'il croit que j'acceptais sans conséquence ces actes. Ou plutôt, leur inaction à contrôler leur propre fille quand elle dépassais les limites. 

- Je voulais savoir pour le bien de Gaïa qui de mieux que son père pour m'éclairé, dis-je d'une voix sans émotion. 

Complexe quand une rage brûle dans mes veines. Gaïa est mon âme sœur. Pourtant, je sens que notre bonheur sera entacher par ma responsabilité de veiller sur elle. 

- Je comprends, va louve, ta femme t'attend, dit Isashi froidement. 

Je brisais le cercle autour de moi. Isashi s'évapora dans l'aire. Je mutais pour retourner chez moi. Mon cœur était lourd du savoir. La paix que je pensais avoir auprès de Gaïa ne serais jamais. Un jour, j'ai le sentiment qu'elle va rencontré plus puissant qu'elle. La destiné amène toujours plus fort pour nous mettre à terre. Avant mon emprisonnement, je vivais sans conséquence. Je tué par accès de rage. Désormais, après avoir accomplit ma vengeance. J'ai compris combien chaque vie est important. 

La reine du ChaoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant