Addict to love

Un boss pour moi #7

Notre dîner terminer, Nick me raccompagne jusqu'à ma voiture.

- Merci pour ce dîner, lui dis-je en souriant.

- C'était un plaisir, écoute pour ce qui c'est passer ce week-end...

- Oui, tu regrette, je suis ton employé, dis-je, ça ne devra pas se reproduire.

- En faite... j'en ai envie, me dit-il. J'ai beaucoup aimé et on va dire que je ne m'attendais pas à se qu'on s'entendent si bien...

Je me mord la lèvre inférieure, est ce que j'ai bien entendue ?

- Tu me plaît beaucoup Amory.

Je sent sa main se poser sur ma joue, je relève les yeux vers lui, son visage s'approche du miens, ses lèvres se posent sur les miennes. Je répond à son baiser, nos corps se collent, sa main glisse de ma joue à mon bras. Nous nous éloignons de quelques centimètres.

- Ça va être compliqué pour moi de te tenir éloigné de moi pendant les heures de boulot.

- Pourtant c'est ce qu'il faut faire, nous ne devons pas mélanger boulot et vie privée, d'accord ?

- D'accord.

Nick s'empare de ma main et nous terminer le trajet jusqu'à ma voiture comme ça. Un nouveau baiser échanger, je m'en vais chez moi.

Plusieurs jours plus tard, je suis toujours en pleine recherche pour le terrain que ce Philippe lui as proposé. Après de longue recherche je suis toujours d'avis que ce n'est pas une bonne idée. Depuis notre dîner nous nous sommes vue une fois, c'est le cœur battant que je me rend dans son bureau, je frappe, malgré que la porte soit ouverte, il me fait signe d'entrée, téléphone à l'oreille je m'avance sans faire de bruit, contourne son bureau et pose de dossier près de son ordinateur, je me fige en sentant sa main se poser sur l'arrière de ma cuisse et remontée doucement. Je ferme les yeux, pourquoi à chaque fois qu'il me touche, je me sent apaiser.

- Très bien, on se vois plus tard.

Nick raccroche.

- Salut toi, dit-il en souriant.

- Salut, dis-je a mon tour. Voici mon compte rendu pour le terrain que tu m'as demander.

- Très bien, je le lirais plus tard, vient là.

Je me retrouve sur ses genoux. Je me retiens de rire.

- La porte est ouverte ! Dis-je.

- Je m'en fou, tu m'a manquer bébé. On se vois se soir ?

- Je ne peux pas ce soir, ma meilleure amie passe à la maison.

- Et vous allez parlez de moi ? Demande-t-il en souriant.

- Tout à fait.

- J'espère que tu va pas trop être méchante ?

- Je verrais.

Je quitte ses genoux, je m'approche de sa table de travail, où il est en train de confectionner des plans.

- C'est pour qui ?

- Pour Parker et fils, leurs bureau.

- Wow, c'est très grand non ?

- Oui, ils veulent un grand espace et que ça soit lumineux, alors là, là et là ça sera de grande fenêtre.

- Tu est vraiment douer tu le sait.

- Je le vois que quand les murs son monter, dit-il en souriant.

- Oui, bon je vais te laisser, je vais finir par être en retard.

Je passe à ses côté, sa main m'a attraper le bras.

- Tu as oublier de m'embrasser.

Je lui sourit et pose furtivement mes lèvres sur les sienne.

- C'est pas ça que je veux, dit-il.

- C'est tout ce que tu aura, la porte est ouverte.

- Je peux aller la fermer.

- Une autre fois, je vais être en retard.

Il grimace.

- Tu me réserve ta soirée de demain enfin ta nuit ?

- Oui, pas de problème.

- Super.

Il m'embrasse de nouveau, je sort de son bureau. Le sourire aux lèvres, je ne vais pas pouvoir rester discrète très longtemps. Cet homme me plaît de plus en plus.

Nick

Il ne faut que quelques instant pour que mon frère débarque dans mon bureau, son regards ne me quitte pas.

- Quoi ?

- C'est officiel ?

- Juste entrent nous, dis-je.

Il me sourit.

- Des rumeurs circule déjà.

- Sérieux ?

- On va dire que quelqu'un vous a vue aux restaurant il y a quelques jours, très proche...

- Merde... tu sait quoi je m'en fous. Cette fille me plaît énormément. Que les rumeurs circule ce n'est pas un problème.

- Très bien. Bon sinon tu fait quoi ce soir ?

- J'étudie ses recherches sur le terrain de Philippe.

- Tu ne veux pas venir avec moi au bar ?

- Une prochaine fois.

- Très bien, aller bonne soirée.

Mon frère quitte mon bureau, je fait le tour du miens et prend le dossier d'Amory. J'y passe plusieurs heure et sa conclusion me chagrine un peu, Philippe est un ami de la famille, il ne pourrait pas nous faire ça.
Je n'est pas bien dormi de la nuit, sa conclusion ne me convient pas, elle a dû se tromper quelques part.
Je ne la vois pas avant la fin de la journée, elle pénètre dans mon bureau après avoir frapper, tout sourire, elle est tellement belle dans son tailleur bleue marine, bordel mon sexe réagit à chaque fois qu'elle est dans mon champs de vision.

- Tu as eu le temps de lire le dossier ?

- Oui et je ne suis pas d'accord avec toi.

- Quoi ? Comment ça ? J'ai pousser mes recherches encore plus que d'habitude. J'ai vérifié plusieurs fois.

- Tu as du te tromper quelques part, te tromper de terrain.

- Pardon ? Nick j'ai fait attention, j'ai vérité plusieurs fois, répète t-elle.

- Bah il y a une erreur quelques part.

- Mais non, j'en suis sûr. Invite M.Anderson a une réunion et je te prouverais qu'il veux t'arnaquer.

- Amory tu rigole là ? C'est un ami de ma famille.

- Quand il est question d'argent, il n'y a plus d'amitié qui tienne, tu n'a pas confiance en moi ? En mon travail ?

Je sert les poing. Elle ne peux pas dire ça, elle ne le connais pas.

- Tu me tutoie maintenant ? ! Dis-je énervé.

Amory recule de quelques pas, surprise, blesser.

- Excusez moi.

Elle ne me quitte pas des yeux, puis reprend la parole.

- Vous aurez ma lettre de démission demain matin sur son bureau M.Blossom.

Elle tourne des talons et s'en va. Bordel j'ai merder ! Je ferme les yeux en entendant la porte claquer. Je referme le dossier et le balance plus loin, quelques minutes plus tard, je sort de mon bureau pour me rendre dans le siens, pour la retrouver, pour m'excusez mais quand j'arrive, celui ci est vide, il n'est pas ranger, son crayon est par terre, son ordinateur allumer.

- Putain fait chier !

Je me retourne, plusieurs de mes employés me regarde, je ne leurs dit rien alors que j'aimerais leurs crier de se remettre au boulot. Je retourne dans mon bureau.
Je suis vraiment trop con...