Le jeu interdit

La corde raide

"Tu ne devrais pas être là khadim," murmurai-je, ma voix tremblant plus d'envie que de peur. Mais khadim, adossé à la porte de ma chambre, ne bougea pas. Son sourire narquois, ce mélange de défi ,de risque et de provocation, m'électrisait autant qu'il me terrifiait. "Téh pourtant Mangui ni , (et pourtant ,me voilà)," répondit-il, les yeux fixés sur moi comme un prédateur qui vient de repérer sa proie."

Je m'appelle Mama, et ce que je vais te raconter... Je ne l'ai jamais confié à personne. Parce qu'on juge les femmes comme moi, tu sais ? Celles qui se perdent dans des désirs qu'elles ne comprennent pas.
Tout a commencé une nuit où mon copain,Ibou, m'a fait un dîner aux chandelles. Ibou je l'aime beaucoup ,sama problème yeup il a toujours été là dima conseiller,dima diokh amour ,dima corriger souma dioumé tek si dima ball . Bêtise you beuri youma nekone Ibou moma thie guéné (il m'a conseillé en bien, soutenu, corrigé lorsque je faisais des erreurs et me pardonner, m'a bourré d'amour .Il m'a sorti dans beaucoup de bêtises que je faisais ),il a fait de moi une vraie femme respectable et respectueuse alors que je n'est que 20ans . il est parfait, beau,  a une jolie barbe. Il est grand ,attentionné, gentil, je dirais même trop gentil. J'aurais dû être comblée, non ? Mais au fond de moi, il y avait un vide. Une envie que sa douceur et sa tendresse n'arrivait pas à combler.
Et puis, il y avait khadim. Le meilleur ami de Ibou. Lui, c'était tout son opposé.Afin il était très beau grand ( 198cm), issu de l'union d'un sénégalais et d'une marocaine mais était insolent, bruyant, vulgaire, détestable. Il fumait devant ma porte, faisait des blagues déplacées, me regardait avec une intensité qui me faisait frissonner. À chaque fois qu'il venait, il était de plus en plus détestable à mes yeux. Ou du moins, c'est ce que je voulais me convaincre.
Ce soir-là,Ibou est sorti avec ses collègues et khadim qui était avec lui, lui a dit partir chez lui.
Ahh oui j'ai omis de te dire que je vivais avec Ibou, oui! Nous sommes tous les 2 à l'université, sommes majeurs et vaccinés donc on a opté d'être sous le même toit.
Bref Khadim est revenu sous prétexte de récupérer un chargeur. Il est entré, comme toujours, sans attendre d'y être invité. Assis sur mon canapé, il m'a regardée avec un sourire à la fois charmant et menaçant, comme s'il savait exactement à quoi je pensais. Je portais encore la robe qu'Ibou avait acheté pour moi, robe bou diote (une robe correcte), sage, parfaite pour une petite amie modèle.

#Khadim : Li c'est pas toi ,mane Ibou mom (En fait Ibou )J'ai l'impression que khamouleu wala danga koy diema wane Lo nekoul ( qu'il ne te connaît pas où peut être c'est toi qui joue la correcte devant lui alors que ...), a-t-il lancé en me scrutant de la tête aux pieds.

Je lui ai demandé de quoi il parlait, mais ma voix était déjà trop tremblante.

#Khadim : Toi, t'as envie de casser les règles, n'est ce pas hein ? Mais t'es trop lâche pour le faire, cela dit ça te va bien sa robe bi da gueuna guéné sa boune bi (Ta robe moule bien ton cul ), dit-il en se mordant sa lèvre du bas et en regardant mes fesses.

Je voulais qu'il parte, je voulais le gifler. Mais au lieu de ça, je l'ai laissé s'approcher. Chaque pas qu'il faisait vers moi, c'était comme une corde qui se tendait un peu plus entre nous.
J'ai essayé de lui dire "khadim guenal nek bi(Sors d'ici !)" mais mes mots restaient bloqués dans ma gorge, sama khol bi commencé di daw ( mon coeur battait à)100 à l'heure mais avant que je ne puisse prendre la parole, Khadim s'approcha d'un pas rapide, son regard brûlant d'une intensité que je n'avais jamais vue auparavant.
Sans prévenir, il m'attrapa par la taille, m'attira vers lui, rek mathie sama tougne yi (brusquement m'aspira les lèvres en me mordant celle du bas ) et là j'ai oublié tout le reste.
Les lèvres d'Ibou, toujours si douces et qui se retiraient à chaque fois qu'il me mordait sans faire exprès , n'avaient rien à voir avec cette morsure brutale, il n'avait rien à voir avec cette brute qui tirait mes cheveux vers l'arrière, m'étrangler pour m'embrasser comme une pute. Et malgré ça j'ai kiffé ce baisé. J'ai mis mes mains derrière son dos robuste et le serrais encore plus fort contre moi ce qui lui donna comme un feu vert, nos souffles et nos mouvements devenus très brusques et je sentais sa bite durcir au contact de mon ventre.
Je ne suis pas une femme de petite taille, mais ce batard était vraiment trop grand . À ce moment-là, j'ai pris conscience de l'erreur que j'étais en train de faire. J'ai rassemblé tout ce qui me restait de lucidité pour essayer de me calmer et lui demander d'arrêter. Mais avant même que je ne puisse articuler un mot, j'ai entendu ma robe se déchirer au niveau de mes fesses. J'étais choqué de ce qu'il venait de faire, cette robe était un cadeau de Ibou.

#Moi :(sous le choc ) khadim danga doff ?li nak? ( Mais t'es complètement fou ou quoi ? C'est quoi ça?)

#Lui: katal sa ndey nopi yaw !!( Ferme ta putain de gueule!!)

tap sama boune bi (il claqua mes fesses) « TARRRR!!!»

J'ai lâché un cri de douleur et de surprise.

#Moi :(gémissements)Ankhh! Khadim kharal ma...( khadim attends je vais...)

Makoy diema pouss pour tourné khol sama robe bi. (malgré cette petite douleur plus qu'agréable, j'essaie de le repousser et me retourner pour voir l'état de ma robe) et là

#Moi:(cri de plaisir ) Wouy sama ndeye...(Oooh putain...)
Je ressentis une vague électrique de plaisir parcourant tout mon corps.
Les doigts de ce fils de pute étaient déjà au fond de ma chatte. Il avait décalé mon slip de derrière. La facilité à laquelle ses doigts m'ont pénétré ,témoignait de mon excitation et de mon excès de mouille.
Mou beuss sama weine gauche bi en même temps rek ma bayekok sama saago . Samay weine nioye samay faiblesse dama si sensible de tropp.(il appuya légèrement sur mon sein gauche et je me suis laissée à lui, mes seins étaient mon point faible j'y suis trop sensible).
Ma melni cou yeuk courant sama bir bas ventre bi.(J'étais comme électrifiée au niveau du bas ventre.)
Et là j'ai lâché prise je ne me retenais plus ,j'ai oublié tout élément externe.

#khadim: ( D'une voix grave et sèche) yaw wakhou mala nga teuthie ndey sa guemigne bi?( Putain je vais te niquer ta mère ,ne t'ai-je pas demandé de fermer ta putain de gueule ??)

#Moi: (provocatrice)Souma ko... Aïe..sss ahh #Alors qu'il continuait à me doigter# soumako teudioul loy def (et si... ohh putain ... et si je ne le ferme pas tu vas faire quoi ?)

Rek diap koyam bi à travers son pantalon sama data bi melni louniou masse courant toye khep bay site si lokho khadim yi wekh tal ndakh sama perte blanche yi tellement dama excité.
Mou indi lokhom bi devant roff ma niari baram yi si biir sama leuf li di site , Mou roff ko bama takhaw sama pointe pieds yi di yeuk barame you goude yi sama biir nakh bi mou khol ma siy beute né ma
( Et je chope brusquement sa grosse bite à travers son pantalon,ce qui m'a fait ressentir un plaisir inattendu et ma chatte n'a pas tardé à le manifester en mouillant comme pas possible jusqu'à dégouliner sur la main de khadim dont les doigts étaient déjà teintés de mes pertes blanches tellement je suis excité.
Il ramène son sa main au devant et m'enfonce ses doigts bizarres semblant plus longues jusqu'au fond de ma chatte, tellement profondément que j'avais la sensation qu'elles filaient droit vers mon estomac, j'exagère mais vous avez une idée de cette putain de sensation , j'étais au 7ème ciel.)

#Lui :(regard perçant )Qu'est ce que je vais faire tu veux savoir ? khana Kate sa data bii bangay rame (te baiser jusqu'à te rendre handicapée tout simplement.)

Tout en accélérant baram yi ak dima baram ak ses doigts sous forme de crochet ba sama badio bi di tangue (ses mouvements de va et vient et sa technique du crochet dans ma chatte mettaient ma chatte en feu )malgré l'inondation qu'il y avait.
Je frottais ma main sur sa bite qui devenait de plus en plus grosse et dure mais toujours à travers son pantalon .
Les seuls sons qui s'échappaient de la pièce, étaient mes gémissements, le bruit répétitif que faisaient ses doigts dans ma chatte, ma main qui se frottait à son pantalon et de temps en temps une claque sur mes fesses et un gifle raisonnait dans la pièce.Deme ba khadim sekh sama tiouss yi wouy sama ndey meussouma yeuk une telle avalanche de sensations et d'émotions lors d'une partie de flirt, j'ai pas pu résister et c'est sortie de ma bouche

#Moi : khadim...Sss.. aHhh kate ma (Baise moi)

Mou beumeukh ma si canapé bi rek ngayi sama badio bi sama mouille bi di site sama anus bi.(Il me jetta sur le lit et écarte ma chatte qui laissait couler je ne sais quel liquide jusqu'à mon anus.
J'étais comme libéré de mes chaînes. C'était nekhh (trop plaisant) , excitant, sauvage, brutal, incontrôlé mais surtout c'était interdit !!
Mais alors qu'il s'apprêtait à sortir sa grosse bite devant moi, jambes écartés et slip décalé, on entendit la clé tourner dans la serrure et la poignée de la porte s'abaissait...

#Khadim : Ohh shittt ....!!!

#Moi : Wouy...!!!!