La reine du Chao

Chapitre 69 Allia

Je rentre au château de Gaïa. En tout, j'était parti pour une durée d'un journée. Elle m'attendais toujours sur le bord de la porte. Je m'approchais. Je pris forme humain restant impassible.

- Gaïa, nous allons quitter ces terres. Nous avons besoin d'aller dans un endroit spécifique, dis-je avec une autorité dont je n'avais pas fait preuve depuis bien longtemps. 

- Ou, demanda Gaïa intrigué, mais aussi sur la défensive. 

- Nous partons. Monte sur mon dos, dis-je.

- Non, je ne quitterais pas ma maison, dit Gaïa en reculant. 

Je détestais faire cela. Je me suis insinué dans son esprit. J'en pris le contrôle.

- Monte, ordonnais-je.

Je pris forme de ma louve. Elle obéis. Je me mis à descendre vers le sud. Je savais un portail proche. J'amenais ma femme dans un endroit ou des êtres puissant pourrait m'aider à contrôler et garder le monde en sécurité de ces accès. Je n'arriverais pas à contrôler pour toujours. 

Après des jours de course, nous sommes arrivés devant des remparts. Deux dragons aux écailles rouge carmin était devant l'entré. Ils étaient des plus menaçant. 

- Je viens chercher asile et aide, dis-je par l'esprit.

Les deux dragons ont descendu leur tête à ma hauteur pour me renifler. De la vapeur échappa leur naseau. Ils se sont redressés. Ils avaient remarqué qui j'était. Leur travaille de garde était la pour voir si j'était une menace pour ceux habitant dans la ville. 

Les portes se sont ouvertes. Un homme avança gracieusement. 

- Allia et... Gaïa, je suis surprit. Allia pourquoi Gaïa est absente, dit l'homme en me dévisageant. 

Je ne le reconnu pas tout suite. Il portait les vêtements digne de son rang. Les vêtements comportant une toge de couleur grise sur une tunique verte pomme. Le gris et vert représentaient son rôle d'émissaire. Il devait accueillir ceux désirant entré dans la ville. La dernière fois que je l'avais vu. Il n'était qu'un petit garçon. Je fit descendre ma femme de mon dos. Je pris forme humaine.

- Toujours aussi libertine qu'a mon souvenir, dit l'homme.

Son regard se promena sur ma nudité. Je n'était mal à l'aise face à l'étincelle de luxure dans son regard. 

- José, tu as bien grandit. Ta mère va bien, demandais-je.

Je pris la main de Gaïa. 

- Elle se porte bien. Avec mon père, ils ont eu trois autre enfants. Elles est au comble, dit José heureux. 

Il était l'ainé de sa famille. Ses parents avait été une famille d'accueille lors de mon dernier passage. 

- Heureuse pour eux, dis-je.

La légèreté quitta ses traits. Il repris son sérieux. Je reconnaissais le sérieux de sa mère. Elle avait occupé ce poste avant lui. 

- Tu m'explique ta venue, demanda José autoritairement. 

Je ne me laissais pas intimidé par sa prestance. Il était devenu un dragon puissant. Je pouvais ressentir combien il n'était plus l'enfant que j'avais connu. 

- Je dois parler avec le maitre de l'esprit vivant dans votre clan. Je sais qu'il est ici, dis-je sans dire plus. 

- Tu veux voir Niro? demanda intrigué José. 

- Oui, dis-je.

Je voyais sa surprise. Peut de gens connaissent la véritable identité du maitre de l'esprit.