Fille de Rheanyra et Deamon Targaryen, la jeune Nealys doit se faire une place dans sa propre famille et faire valoir sa légitimité a la couronne des septs royaumes. Nealys va voir son destin chamboulé entre guerre de famille, découverte de l'amour...
Le noir, le silence, l'obscurité envahissait l'espace autour de moi, je ne savais pas ou j'était, je percevais des voix au loin mais j'était incapable de distinguer nettement les mots qui arrivais jusqu'à mes oreilles. Je tourne doucement ma tête pour voir ou je suis je ne distingue rien appart une lumière douce. Je me diriger doucement vers cette lumière, et plus je m'avance et plus le monde change autour de moi. La minute suivant je me retrouve dans les appartements du roi Viserys devant sa maquette de Valyria. Je vois mon grand père au milieu de la pièce, je me précipite vers lui et le sers dans mes bras, des larmes incontrôlé dévale mes joues.
- Pourquoi est tu ici mon enfant et pourquoi pleure tu ? me demande t'il
- Tout est si dure depuis que tu t'es éteint grand père, je n'y arrive pas tout seule. Le monde à changer, notre famille se déchire, la guerre s'est déclare avant même que nous allumions votre bûcher. Cette guerre à tout détruit même mon mariage.
- Ma douce petit fille ,le pouvoir n'a jamais été simple à conservé. Tu est la clé pour permettre au royaume de retrouvé la paix, alors je te repose la question pourquoi est tu ici ?
- Je ne sais pas grand père,c'était entrain de donner naissance à mon enfant et l'instant d'après l'obscurité ma envahit.
- Oh, tu est enceinte ma petite fille, c'est magnifique il faut que te parte d'ici, ton heure n'est pas arriver.
- Grand père, puis-je repartir d'ou je viens ?
- La flamme de demain n'est pas destiner à s'éteindre aujourd'hui, dit-il avec beaucoup de sincérité.
L'instant d'après mes yeux se retrouve éblouie par les couleurs du monde, et la douleur de mon accouchement est plus vive que jamais. Celle ci est si aiguë que mon cris transperce les pleures de ma famille réunie autour de mon corps meurtrie par la souffrance.
- Sortez de ma chambre j'ai un enfant à faire naître vous pleurer plus tard !
- Mais Nealys, dis luc
- SORTEZ ! je hurle a plein poumon
- Princesse vous aller devoir pousser encore plus fort, je vois la tête ! me dis le mestre
Je sens Aemond serré doucement ma main en signe de réconfort, il me murmurer des mot doux et des encouragements, mais sincèrement se qui m'aideras c'est qui la ferme.
- Aemond si tu dis encore un mot je te garantie que tu n'aura plus jamais l'occasion de parler, AAHHH, faite sortir cette enfant de mon corps !
- Pousser plus fort princesse, vous s'y êtes presque.
Apres des heures de souffrance et de contraction je sens mon enfant sortir enfin de mon corps, enfin ... La transpiration coulais le long de mon dos, il y avait du sang partout sur les draps blanc, mais le seul son que s'entendais distinctement c'est les pleures de mon bébé. On me dépose mon enfant tant attendue sur les seins, je me tourne vers Aemond qui avait un sourire sincère sur le visage le moment était vraiment parfait. Je me plongea dans le yeux violet de mon enfant, et je vis mon propre destin et ma propre âme se refléter.
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- Il a tes yeux dis-je doucement
- Il est magnifique merci mon amour, je voulais te dire que je suis désole. Désolé d'avoir trahie mes promesses de mariage et ta confiance. J'aurais du croire tes paroles, et partir avec toi.
- Ce qui est fait et fait Aemond tes excuses ne change rien à se qu'il c'est passer. Elles effacerons pas les 3 mois de prison, la douleur et le trous béant dans ma poitrine.
- Je suis tellement désolé, pardonner moi !
- Le pardon nécessite du AHHHHH.
- Mon amour quesqu'il t'arrive ?
- J'AI MAL, MESTRE !
Mon enfant se retrouve dans les bras de mon mari, je me tord à mon nouveau de douleur c'est pas normal. J'ai impression que tout mon corps et pris de spammes violent et incontrôlé.
- Mestre, pourquoi ma femme ne vas t'elle pas mieux, dite moi se qu'il se passe. Dis Aemond paniqué
- Princesse, vous aller devoir pousser.
- Comment ça, pourquoi je doit pousser ? J'ai donner naissance à mon enfant c'est bon, je rend mon tablier. J'ai réaliser ma mission alors maintenant je veut qu'on me fiche la paix !
- Princesse, mon prince il y a un autre enfant, princesse il faut pousser.
En criant de douleur, je poussant aussi fort que mon corps me le permettait. Je sentait mon enfant descendre de mes entrailles, et se frayer un chemin à travers mon bassin et mon vagin. J'était fatigué, mon corp était endoloris, mais je devais pousser plus fort. Alors dans une ultime pousser, je sentit mon corps se libéré d'un nouveau poids. J'était dans un état second entre évanouissement et le bonheur, on me posa mes deux enfants sur la poitrine et je sentit une paix intérieur envahir mon être. Je venais de mettre au monde deux petits garçons en parfaite santé.
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Des larmes de joie dévale mes joue, et un rire incontrôlé traverse mes lèvre. Je suis si heureuse, le minute qui suis ma tête se dirigea automatiquement vers mon mari, nous échangeons un baiser plein de passion, sa fait tellement longtemps. Nous nous perdons dans notre baiser jusqu'à se que la porte de ma chambre s'ouvre.
- Que les dieux sois débit ma fille est envie, dis ma mère en venant me serré dans ses bras .
- Tout vas bien mère
Elle tourna le visage vers les deux petits êtres qui était sur ma poitrine.
- Des jumeaux ? dit-elle avec étonnement.
- Des jumeaux ! dis je en soupirant de soulagement .
Ma famille s'approche doucement pour venir voir mes enfants qui on trouver le sommeil bercer par les battement de mon cœur. Il ont l'air si paisible mes doux enfants.
- Ma très cher famille, je vous présente nos fils Aerys et Mealon Targaryen premier du nom.
Les jumeaux passa dans les bras de chacun des membres de ma famille, je profite de se moment pour me reposer un peu de cette accouchement tumultueux.
- Nealys, dis Joffrey
- Oui mon cœur.
-J'ai choisie un œuf de dragon pour l'un de tes fils, mais je savais pas que tu allais avoir des jumeaux, sinon j'aurais choisie deux. dit -il tout triste
- Ce n'est rien mon frère.
- Enfaîte, dis Aemond lorsque tu m'a annoncer que tu était enceinte le jour même j'ai choisie un œuf pour notre enfant. dit-il avec d'un air gêner.
J'était tellement toucher par son geste, je ne savais pas qu'il avais choisie un œuf le jour même de l'annonce de ma grossesse. Mon mari et mon frère s'approcha doucement des berceaux des enfants et déposa au creux de leurs couffin un œuf bleu marin et un rouge sang. Mes enfants était l'avenir de la lignée des Targaryens, ils était mon avenir maintenant.
