chapitre 34

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Pov : sayil

De légère crampe commençaient à se faire sentir sur l'ensemble mon corps.

- on ne la trouve pas chef.

Cherchons encore.

-Ricardo : elle n'est pas à l'orphelinat.

continuons à chercher

jeremy : sayil elle n'est nul part.

Cherchons j'ai dit!

Chercher !!!  chercher !!! jusqu'à l'épuisement il me la faut!.

Chaque minute qui passe m'est crucial.

La savoir souffrante et ne sachant pas où elle se trouve m'est terriblement douloureux.

Sa fait des heures qu'on fouille partout dans l'obscurité de cette nuit.

Et je sais qu'elle n'est pas très loin,  mon cœur le sent.

Et mon âme essaie de la localisé.

Je ne sais pas depuis combien de temps je marchais.

Mais tout ce que je sais et que je suis dans la bonne voie.

Sûrement par instinct.

Et qu'elle m'appelle à l'aide.

Son désarroi me transpercer de la où j'étais.

Comment cela pouvait se faire ?

J'en ai aucune idée.

Mes pieds qui sont devenu maître de mon corps me guide vers l'inconnue.

Et je m'arrête devant une rivière.

C'étais ici qu'on avait capturé Aoron.

Et je relève la tête pour apercevoir la chute d'eau ainsi qu'une tissu qui flottait sur l'eau.

Je me plonge dans l'eau glacial pour l'attraper du bout des doigts et reconnaître que sa appartenait à mia Stella.

Et je souris , j'avais raison elle est ici.

Ensuite tout s'enchaîna je fouille tout et je fini par apercevoir l'entré d'une grotte.

Je nage activement pour la rejoindre et me plonge dans l'obscurité.

Là dans le noir, étendu dans le sol.

Je la retrouva ....inerte  .

Ignorant mes battement frénétiquement je la rejoint vite.

Et au toucher de son corps glacial je sentis un vif brûlure sur mes mains.

Cette froideur, non ,elle n'a pas osé.

Elle ne peut pas...

J'arrive même pas à prononcé cet  mot.

C'était inconcevable et interdit qu'elle me quitte ,qu'elle nous quitte.

J'apporte ma main tremblement sur son nez et une mince chaleur me fait savoir qu'elle respirait.

Mais très faiblement .

Le temps mettait compter et je la soulèves et tape le plus gros sprint de ma vie.

Je courait comme un fou et mes muscles était mis à rude épreuve par l'eau de la rivière.

Par chance c'était peu profond je parvient à la traverser.

J'avait froid, je grelottais, mais je parviens à courir ,la chaleur de la détermination m'animais à cet  instant .

Crossing Eyes : Mafia's Noctura💣Où les histoires vivent. Découvrez maintenant