Belladone

Chapitre 12

🎵ocean eyes de billie eilish 

Maison de Scott, 12h32

Aiden 

            La voiture avait finis dans le fossé, une balle entre les deux yeux de chaque personnes présentes dans le véhicule et mon bras droit me répétait qu'il n'avait touché aucune arme.  Il osait me dire que c'était elle  qui avait fait ça?  

             Chaque clichés sur mon bureau démontrait la précision chirurgical de chacun des tirs, comme j'aurais pus le faire. Mais Alessio ne précisait absolument pas comment une civile, qui n'avais jamais eus d'armes entres les mains, dans une voiture en mouvement à plus d'une centaine de kilomètre-heures pouvait tuer deux hommes d'une balle entre les deux yeux. 

           Ca faisait trois jours que j'essayais de retrouver une trace de leurs assaillants, trois jours que la fille à papa ne sortait pas de sa chambre enfermée dans sa petite pièce qu'Alessio ouvrait quand elle devais manger at quand Eden était présente, sa blessure au bras l'handicapais toujours. Je ne l'avais pas vu et franchement ça ne me dérangeais pas, si c'était pour qu'elle me fasse des caprices de merde. 

           J'avais l'impression d'être inutile, je ne sais pas qui voulait s'en prendre à la mafia, mais ce que je sais c'est qu'il a un coup d'avance. La seule chose qui me reliais à ces agressions était la fille inconnu qui nous avait volé à plusieurs reprises et la personne qui dormait à l'étage. En plus d'avoir du temps de retard la pétasse qui me servait de femme me ralentissait plus qu'autres choses. Je devais jouer le chauffeur pour l'emmener voir son papa chéri. 

            Je souffla après avoir raccrocher l'appel avec son père qui me demandais de lui emmener sa fille pour voir si elle était encore en vie. Je monta les escaliers pour me retrouver devant la porte de sa pièce l'ouvrit et la vis recroquevillée sur son matelas dans le coin que formais les murs. Un animal, voilà à quoi elle ressemblait. Je la pris par le bras et l'entraina derrière moi. Elle était propre et portais de nouveaux vêtements que lui avait donné Eden. Je l'assis dans l'une de mes voiture et m'asseyais à l'avant. La route fus de courte durée chaque minutes m'énervant de plus en plus, l'ambiance était pesante et une peur nouvelle suintais de chacun des pores de sa peau. J'accéléra encore une fois pour réduire le temps de la route. Je tourna brusquement mon volant ce qui la plaqua contre la porte, un sourire s'afficha sur mon visage.  

Je vais la faire regretter d'être avec moi. Lui faire comprendre qu'elle n'est pas la bienvenue. 

              Nous arrivons devant la bâtisse dans la quelle nous avons signé le contrat de mariage, il y a beaucoup moins de gardes que la fois passée. A la vue de la maison, la fille à côté de moi commença à s'agiter. Elle n'est pas contente de voir son papa chéri ? Elle commença à gigoter. Je croisa son regard dans le rétroviseur, lui lançant des éclaires avec les yeux lui faisant comprendre que j'ai autres choses à foutre que la traîner dans le putain de bureau de son père. Une lueur dans son regard me dérangea, j'y lis principalement de la peur à mon égard, mais quelque chose d'autre était présent. Une peur mais pas pour moi, et de l'apitoiement, sentiment qui m'énerva. Je la tira plus fort ne faisant pas attention à ses geignements de douleur. 
            Les gardes nous laissèrent passer se foutant de la gueule de la femme au piteux état derrière moi.

 Je te l'avais dis, dans mon monde tu n'es pas une déesse. 

Je ne toquas pas devant la porte en bois foncé qui me faisait rentrer dans la tanière su loup. Je la poussa brusquement dans la pièce et elle trébucha réussissant à reprendre son équilibre avant de se manger le sol devant son père. Son toucher me laissa des brûlures sur la peau. Elle ne lâcha pas pourtant mon regard, me fixant avec intensité. Mais je ne lui montra aucuns signes de pitié.