30 La cicatrice de Georg ⋆౨ৎ˚⟡

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(⚠️Tw: chapitre contient des scènes pouvant choqué ! Je conseil donc à toute personne sensible de sauté le chapitre si elles ne ce sentent pas de lire

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(⚠️Tw: chapitre contient des scènes pouvant choqué ! Je conseil donc à toute personne sensible de sauté le chapitre si elles ne ce sentent pas de lire. Je n'accepterais en aucun cas les fautes rejetées sur moi, vous êtes grands et capables de prendre des décision qui correspondront le plus à votre confort ! ^^ Ce chapitre fait parti de l'histoire ne vous en faites pas)

Pov Georg:

-Fichu femme ! J'ai entendu mon père hurler depuis la cuisine alors qu'une assiette fut briser contre le mur avec fracas. Tu n'es même pas fichu de faire à manger correctement. Ce steak, tu l'as fait avec les pieds ? Dis-moi pas que tu as foutu tes misérables pieds dedans !

Ce soir-là, papa était en colère, maman disait souvent que papa était un homme malheureux. Que toute sa frustration, il la rejetait sur nous parce qu'il était incapable de la retenir car il était bien trop mal. Agenouillé sur le tapis du salon, je m'occupais avec un puzzle. Un très grand puzzle, j'étais un enfants intelligent, bien trop intelligent. Ce type de puzzle, je les finissais en une heure, alors que je n'avais que l'huit ans. Mais mon attention fut capturée par l'agitation dans la cuisine. Ça me faisait peur quand papa se mettait dans ses états là. Pompom, notre petit caniche blanc, se réfugiait toute tremblante sous le grand canapé, entouré de canettes de bière que mon vieux laissait traîner me laissant tout juste la place pour jouer dans le salon.

Je me suis déplacé sur mes quatre membres pour augmenter le volume de la télévision en manipulant les boutons en bas de l'écran. Maman pleurait alors que papa hurlait chaque fois plus fort. En me tournant, je vis maman au sol en pleure, ses cheveux attachés en chignon étaient décoiffés car papa les tenait dans sa main en tirant brusquement dessus pour la rapprocher de lui. La forçant à s'avancer à quatre pattes jusqu'à lui et une fois assez proche, il la frappait d'un grand coup de poing au visage. Maman pleurait et moi j'assistais impuissant, si j'intervenais, c'était sans hésiter que le vieillard me ruerait de coup à mon tour.

Je pouvais entendre le petit chiot pleurnicher sous sa cachette et quel fut mon erreur lorsque je décide de le rejoindre pour le consoler et que ma main frôla une canette qui attira l'attention de mon père qui relâcha sa pauvre femme pour me rejoindre, ses pas semblaient si fort qu'ils en faisaient trembler le sol sous moi.

-Tu joues à quoi petit morveux ? Tu trouves que le salon est en désordre, tu veux vivre dans le luxe !? Ses pas se sont accélérés et une fois face à moi, il me souleva si facilement du sol pour me plaquer contre le mur mes pieds complètement dans le vide, je ne touchais plus le sol, son expression était si ferme, si froide. Sa moustache d'un poile si noir, dégageait une forte odeur à alcool qui me faisait tordre le visage de dégoût. Vous êtes si ingrats ! Mais laisse-moi te gâter gamin... Te faire goûter à la vie, car mon grand, sache que la vie ne sera pas toujours juste !

Je n'avais que huit ans, et sans aucune pitié, il leva son poing haut au-dessus de sa tête avant de l'abattre sur mon visage, qu'il frappa sèchement. Des le premier coup, je m'étais mis à pleurer, ma joue me brûlait non par l'impacte mais impossible de m'en remettre car il enchaîna un deuxième coup. Il n'y avait aucune raison d'en arriver à ce scénario si triste et pourtant si réel. Mais un rien le mettait en colère.

Lügen -Tom kaulitzOù les histoires vivent. Découvrez maintenant