La mort dans l'âme [Larry]

Chapitre 10

Heyyy !! Donc me voilà de retour ! Et comme d'habitude, et pour ne pas changer, en retard !! Vu que c'est les vacances, et que, chez moi qui dit vacances, dit campagne... donc je n'ai eu que rarement de la connexion et on a renverser de l'alcool sur mes écrits... donc encore plus de retard ! Mais, j'ai eu bien le temps d'écrire !!Donc je reviens avec un nouveau chapitre !! Du point de vue de Louis et de Harry !! Au fait merci pour les votes et les commentaire ça fait vraiment plaisir !!

/!\ DANS LES CHAPITRE PRÉCÉDENT J'AI CHANGER QUELQUES PETITES CHOSES DONC JE VOUS CONSEILLE D'ALLER LE RELIRE /!\

Ah ui, et à la fin j'aurais une question assez importante pour vous, qui concerne la fic ! merci d'aller jeter un coup d'œil !

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Louis.

Je parvins finalement à lui chuchoter un faible ''non''. Puis, j'enregistrais ce qu'il venait de se produire. Finalement je réagis, sous son regard attentif, comme s'il attendait de voir ma réaction, de la juger.

- Q-Quoi ? Je-Je...Mais, Quoi ?

Je me repris, et plus calmement :

-Comment ? Je me mis ensuite à faire les cent pas en gesticulant dans tous les sens- comme j'en avais l'habitude lorsque j'étais stressé ou déstabilisé - et tout en déblatérant sur ses dires, échafaudant des hypothèses plus perchées les unes que les autres et à chercher, des preuves tirées par les cheveux, pour réfuter ce qu'il venait de m'avouer, ou plutôt de me balancer en pleine figure.
Je m'arrêtais enfin, et me tourna vers lui ; pour moi, il n'y avait aucune autre explication.

-Dis-moi ce que tu m'as fait !

Il souffla.
-Je ne t'ai absolument rien fait, mis à part te soigner.

-Mais on ne guéri pas aussi vite ! C'est humainement impossible !

-Mais tu n'es pas humain !

Je le reçu comme l'on reçoit un ballon de plein fouet au visage, alors que vous ne vous y attendiez aucunement. Ça m'avait claqué, sonné. Le fait qu'il m'ait balancé la vérité en pleine face m'avait ébranlé.
J'avais en effet beaucoup de mal à assimiler le fait que j'étais... J'étais quoi d'ailleurs ? A moitié mort ? Comme un zombie ? Cela me paraissais complètement ridicule et surréaliste.

Face à cette pensée, je parti d'un rire ironique et m'avança pour me retrouver face à lui.
-Je suis déjà bien plus humain que toi. Lançais-je en le pointant du doigt.

Je repris :
-Et puis, comment m'as-tu soigné ? Je fouillais la chambre des yeux. Et, ne trouvant aucun équipement médical, je haussais le ton, redoutant la réponse :

-Dis-moi ! Et si tu m'as fais quelque chos-

-Calme toi.

Je n'en revenais pas. Lui, me disait de me calmer alors que je venais d'apprendre, que - d'après ses dires et suppositions - j'étais à moitié mort. Mais mis à part ce ''détail'' - nouveau qui venait s'ajouter à ma vie - c'est vrai qu'il n'y avait rien de bien alarmant.

Donc, j'avais tendance à être légèrement sur les nerfs.

-Tu veux que je me calme ? Avec ce que tu viens de me dire, le plus calmement du monde, et pour couronner le tout, tu voudrais que je le prennes bien ?! Alors, pour commencer, dis-moi ce que tu m'as fais !
J'avais crié les derniers mots. Je ne parvenais plus aussi bien qu'au à garder mon sang froid - sans mauvais jeu de mots -.