Chapitre 16

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Auxenvirons de 3 heures du matin, nous sofmmes réveillé par des bruitsde branches. Ils sont la, ils nous ont retrouvé....
***
-Chloé ! Dylan ! Réveillez- vous ! Ils sont la !
-Quoi ..?.. Grogne Chloé
-Debout ils nous on retrouvé !
-Merde ! Dit Dylan
Jevais réveillez les autres, pendant que Chloé et Dylan commence aremballer les principales affaires.
-Thomas ! Thomas debout !
-Hanna ? Qu'est ce qu'il se passe ?
-Ils nous ont retrouvé ! Dépêche toi ! On fout le camps !
-putain ! Tout ça c'est le faite a Dylan !
-Arrête de dire ça ! Et dépêche toi !
Jesecoue les autres qui se réveillent rapidement. En seulement 3minutes, nous avons tout plier et nous partons en courant. Mais il ya du brouillard. On ne sait pas ou on marche. Thomas cours à côtéde moi, mais j'ai de plus en plus de mal à voir devant moi. L'épaisbrouillard se propage et bientôt je ne vois plus rien.  J'aiperdu Dylan et les autres. Je ne sais pas quoi faire.  Une choseest sûre, je ne dois pas rester là ! Je cours tout droit, enespérant retrouver les autres. Pas de chance, mon pied heurte unepierre et je dévale la colline sur plusieurs mètres avantd'atterrir dans un petit ruisseau. Ma tête heurte un rocher et jesuis sonnée. Pourquoi c'est toujours ma tête qui prends ? Ça faitsuper mal. Je gémis et me lève. Mais je me retrouve  propulsé,baignant de nouveau dans le ruisseau. Cette fois je suis tombé surles genoux !
-On en tient une !
Unhomme se jette sur moi et m'entoure de ses gros bras afin dem'immobiliser. Je jette ma tête en arrière et son nez craque. Ça adû lui faire sacrément mal parce que ma tête souffre encore plus.Au moins vingt hommes humer balaies se ramènent, armés jusqu'auxdents !
-Ouch ! Dis je
Uneidée me traverse l'esprit. J'enlève les lentilles de contact et lesglisse dans ma poche, espérant ne pas les perdre !
Jeregarde l'homme affalé dans l'eau, celui a qui j'ai casser le nez,et le pétrifie en quelques secondes. C'est autour d'un autre, etencore un.  Ils sont trop nombreux, je n'arriverai jamais àtous les battre. Je regarde autour de moi, peut-être  que jepeux m'enfuir. Impossible, des hommes arrivent de tous les côtés,je suis coincée. Un homme avec des lunettes bizarres me regarde. Jele regarde à mon tour, mais rien ne se passe. Il se moque.
-tu ne peux rien contre moi ! Mes lunettes me protège de tesrayons.
J'allaisrépondre mais quelqu'un me coupe.
-Et elles te protègent de ça aussi tes lunettes ?
C'estThomas. Il enlève ses gant et passe ses mains autour du coup del'homme. Ses yeux se vide de toute lumière et l'homme tombe àterre, figé.
Moncœur bat tellement fort quand je le vois. J'étais tellementconcentré sur lui que je n'est pas vu que un à un, les hommess'écroulent. Ils sont tous là. On est bien plus que des amis, onest une famille et ma famille est venue me protéger !
Unefois tous les hommes hors d'état de nuire, nous repartons en courantavant que d'autres hommes arrivent. Après plusieurs minutes, nousnous arrêtons à bout de souffle. Dylan ouvre son sac et en sort unobjet étrange. Je n'ai jamais vu ça. Il ouvre la chose et une sorted'écran noir apparaît.
-un transporteur, murmure Thomas.
-C'est quoi ? Lui demandais je
-tu vas voir....
Bon.
-Il va nous menez dans un refuge, loin d'ici. Dépêchez vous.
Ilpasse à travers. Il a disparu, littéralement. Un par un, le groupesuit puis arrive mon tour. Thomas se met à côté de moi et meprends la main.
-On y va ? Me demande t-il un sourire en coin.
Nousfaisons un pas en avant et nous nous retrouvons dans une sorte decabane en bois avec le reste du groupe.
-Énorme !!! Crie Jess
Toutle monde la regarde bizarrement.
-Désolé, murmure t'elle
Jeregarde autour de moi. La petite cabane est assez bien aménagée. Jeme dirige vers une fenêtre et ouvre le rideau. J'ouvre la fenêtreet me penche.
-Oh mon dieu, on est dans un arbre ? Mais c'est hyper haut ! J'ai levertige sérieux !
Jeme retire et vais m'asseoir sur le canapé alors que tous les autresse presse vers la fenêtre à part Dylan et Thomas.
-alors ? Dis je. On est ou la ?
-Dans la forêt noire ! En Allemagne ! Répond Dylan
-En Allemagne ?  Comment on rentre ?
-bah, comme on est venu ! Se moque Thomas
-Ah. Ah. Ah.
Lesautres nous rejoignent et nous discutons de ce qui va se passerensuite. Une fois le débat achevé, je décide d'aller faire untour. Je ne suis pas à l'aise en hauteur. Je vais demander à Thomasde m'accompagner, comme ça on pourra discuter tranquillement.
-Thomas ? Dis-je timidement
-Qu'est ce qu'il y a ?
-je... J'allais partir faire un tour et je voulais savoir si tu veuxbien m'accompagner.. Pour discuter.
-d'accord. J'arrive
-Très bien. Ok. D'accord. Euh... Je t'attends dehors !
-oui ! Me dit-il en souriant
Jeme dirige vers la porte, qui donne sur une échelle. C'est vraimenthaut et j'ai le vertige.... Je me retourne et m'accroche ou je peux.Un par un, je fais descendre mes pieds sur les barreaux. Mes jambestremblent, ce qui complique la descente. Après quelques minutes, jesuis enfin sur la terre ferme. Thomas me rejoint enfin.
Nousmarchons en silence, jusqu'à ce qu'il demande
-Alors ? De quoi voulais tu discuter ?
-J'ai réfléchi !
-Oh !?
-Et je ne sais pas. J'ai envie de te faire confiance aveuglément etde suivre mon cœur mais si je m'attache a toi, ce qui est déjà lecas, tu seras mon point faible, tu seras ma faiblesse. Mais si jen'ai pas de point faible, je n'ai pas de raison d'avancer, je veuxdire, pour avancer on a tous besoin d'un ....
Ilme coupe et m'embrasse. Ses grandes mains entourent ma taille et ilme tire vers lui. Je ne sais pas comment agir alors je le laissefaire. Je me sens invincible quand je suis avec lui mais en mêmetemps tellement vulnérable ! Il retire délicatement ses lèvres desmiennes et murmure..
-Je t'aime Hanna.....

RougeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant