Le 11 octobre 2014,
"Je pense qu'on a tous une addiction, quelque chose qui nous fait nous sentir vivant, moi Luke Hemmings, c'est l'adrénaline, la vitesse. Quand je me sens pas bien, je sors qu'il fasse nuit ou jour, à n'importe quelle heure, peut-importe si il fait froid, je sors avec mon skate. J
e sors et je vais le plus vite possible, quand la vitesse me semble correcte je déploie mes bras comme si c'était des ailes et je respire à fond, et là, là je me sens vivant. C'est pourquoi je vis, pourquoi je me lève tout les jours. Je sais que je suis qu'un fou, qu'un jour ça va mal se passer, que je vais peut-être en mourir mais honnêtement je m'en fous complet, je m'en fout parce que c'est ça ma vie, sans mon skate je suis rien. Mes amis s'inquiète pour moi, surtout Michael, mon meilleur ami. Il représente beaucoup pour moi. En ce moment on s'engueule souvent je sais pas pourquoi. Enfin si je sais, le skate, voilà pourquoi on se dispute. Il a peur pour moi, j'ai essayé de lui expliquer mais il comprend pas personne me comprend... J'ai déjà eu un accident alors il s'inquiète je me rappelles c'était l'année dernière, quand j'ai commencé à aller de plus en plus vite. C'était un mardi matin je crois, il pleuvait et la route glissait. J'ai percuté un camion. Ce que Michael sait pas c'est que c'est un peu de sa faute... On s'était fort disputé la veille, pendant que je faisais du skate pour me rendre au lycée, les larmes se mêlait à la pluie , un manque d'attention de quelques secondes et BAM ! J'ai finis avec une jambe cassée, fauteuil roulant et tout le bordel alors forcément maintenant Michael s'inquiète, j'aurais fait pareil à sa place. Enfin bref, à la base je t'écrivais dans le but de te parler de ma journée d'hier. Il faisait beau, le ciel était d'un bleu intense et les étoiles brillait tellement fort, c'est comme si toutes étoiles qui se trouvait dans les yeux de Michael quand il rigole étaient toutes retournées dans le ciel. Le spectacle que m'offrait le ciel en cette belle nuit était juste à couper le souffle. J'ai pris mon skate et je suis sorti, il y avait aucune voiture qui roulait dans la ville, c'était tellement agréable, j'avais comme l'impression que la nuit m'appartenais. Je suis allé tellement vite que je voyais flou, comme si tout ça n'était qu'un rêve, une hallucination, je me sentais tellement bien, c'était un rêve. Un vrai rêve et honnêtement je voulais pas me réveiller. Pendant que je faisais du skate, ma vie est repassé devant mes yeux et je me suis rendu compte que dans tous mes bons moments Michael était présent, je le connaît depuis tellement longtemps c'est bien plus qu'un simple ami pour moi, il a toujours été là pour moi. Je suis devant chez lui et j'ai vu par la fenêtre que sa lumière était allumée, étrange étant donné que Michael se coucher souvent tôt, il aimait trop dormir. Ca m'a intrigué, une seconde d'inattention et BAM ! Je sais pas vraiment ce que je me suis pris dans la gueule mais je me souviens avoir vu Michael courir vers moi, il pleurait j'essayais de lui parler, de le calmer, il a appelé les urgences et me voilà ici dans un lit d'hôpital. Les médecins disent que je doit arrêter d'écrire alors j'arrête. A demain peut-être. "
Une fois son carnet et son stylo posés, Luke Hemmings, s'installa plus confortablement dans son lit d'hôpital et il commença alors à s'endormir très profondément pour très longtemps.
Le 12 octobre 2014,
"Luke ? " Cette voix, je la connais... Alors Il est venu, Mon Michael. Je suis tellement content. Je veux ouvrir les yeux pour le voir mais je peux pas ouvrir les yeux et ça m'inquiète. Je me concentre mais ça marche pas. J'essaye de bouger les mains pour attraper les siennes mais je peux pas, je suis comme paralysé. " Luke ? Oh mon dieu ! Luke s'il te plaît !!! AU SECOURS MON AMI SE REVEILLE PAS !!!! " Michael ne cri pas je suis là. Avec toi. "Poussez-vous Monsieur on s'en occupe. " J'ai l'impression de couler, tout est noir, je veux pas lâcher mais c'est dur. Je sais pas ce qui se passe ensuite mais je sens comme des frisons très fort parcourir mon corps en entier, je sens mon corps bougeait mais je ne contrôle rien. J'ai mal alors j'abandonne. Il fait noir et froid, je me sens marcher mais ce couloir paraît interminable. J'entend la voix de Michael alors je cours. Je me rapproche d'un lumière blanche. Je me retrouve ensuite dans une pièce blanche, il fait chaud, je me sens bien, je ferme les yeux pour profiter du moment. Puis quand j'ouvres mes yeux je me rend compte avec surprise que je suis dans Sa chambre, celle de Michael. "Luke c'est toi ? " J'attend pas plus longtemps et je lui saute dans les bras. "Michael je t'aime tellement, tu m'as tellement manqué. " "Mais on s'est vu hier. " Quoi ?! J'en ai pas le souvenir.. Tant pis je me prend pas la tête et je lui fait plein de bisou dans le cou, je sais qu'il aime ça. Quand on se détache je vois qu'il pleure. "Que se passe-t-il Mikey ? " "Pas toi, pas maintenant, c'est pas ton heure. " "C'est quoi ce bordel ?! " C'est sorti tout seul, non mais qu'Est-ce qu'il raconte ? Il devient fou ! "DEGAGE !!!!! " Putain c'était quoi ça ?! C'est plus lui, on dirait un monstre et maintenant il me souri comme un psychopathe. Je veux partir, j'ai l'impression que les murs se rapprochent. La porte veut pas s'ouvrir putain !!! Quand elle s'ouvre enfin il y a un grand trou noir. Et je tombe interminablement. Pour me retrouver dans ma chambre d'hôpital... Mais y a un problème. Je suis pas dans mon corps. J'ai l'impression de voler au dessus. Je me vois. Je suis tout blanc. Je fais vraiment peur à voir, on dirait un mort. Peut-être que je suis mort... Je suis un peu perdu. Je ferme les yeux. Tout va trop vite. J'ai la gerbe putain. Je me sens vraiment pas bien. J'ouvres les yeux quelques secondes plus tard. Michael est revenu dans la chambre d'hôpital. Il s'était absenté et je le connais bien, il est allé aux toilettes pleurer. Péter un câble. Il fait souvent ça quand il est triste. Puis il revient avec un faux sourire. Je l'aime. Je veux me réveiller. Le prendre dans mes bras. Il me manque. J'essaye de me concentrer mais je peux pas j'y arrive pas. Je veux me réveiller. J'essaye d'hurler je peux pas. "Michael... " je l'ai murmuré. J'ai réussi ! Il a entendu je pense. Enfin je l'espère ! "Luke ? " J'essaye de répondre je peux pas. J'entend une voix qui me dit que je peux le faire. Qui m'encourage. J'ai l'impression que c'est ma grand-mère, elle est décédée l'année dernière à mon plus grand malheur, c'est à partir de là que ma vie est parti en cacahouète... "Luuuuuuuke. " Ca par contre c'est ma grand-mère j'en suis sûre, elle l'a hurlé comme un cri de détresse. C'était clairement un cri de détresse. Il était.. je sais pas comment dire.. faible. J'entends des pleurs. Ca me défonces la tête j'ai mal, j'ai peur, j'ai froid. Je me suis réveillé. Je sais pas comment j'ai fais , mais je me suis enfin réveillé. La première chose que j'ai vu c'est Michael pleurant de joie. Il était beau. Alors je l'ai embrassé. Je sais pas c'est venu tout seul, ça semblait naturel pour moi. Il a pas répondu au baiser alors ça m'a fait un peu peur. Je me suis détaché de lui. Il m'a regardé longuement, y a eu un gros blanc. Puis il s'est approché lentement de moi et il m'a embrassé. J'ai répondu à son baiser et ça a été le plus beau baiser de toute ma vie. Pourtant j'ai déjà embrasser d'autres personnes, même d'autres mecs lors de défi ou de jeu débile tel qu'action ou vérité. Mais là c'était Michael donc c'était parfait. Ensuite il est parti prévenir les médecins, ils doivent me garder encore quelques jours pour vérifier que tout va bien et après je devrais ma taper du kiné toutes les semaines pendant un mois. Mes parents sont même pas venu me voir à l'hôpital. "Pas le temps" apparemment. Tu m'étonnes, boire des litres et des litres d'alcool semble beaucoup plus amusant. Heureusement Michael était là tous les jours pendant 3h. Ca me faisait tellement plaisir de le voir. On sort maintenant officiellement ensemble. Mais avant qu'il accepte de sortir avec moi il a fallut que je lui promette de lâcher mon skate. Je l'ai fais pour lui. Il a même prévu de me faire emménager chez lui. Ses parents sont jamais là. Ils ont acceptés mais nous ont dit de pas faire de connerie. Ils savent pour nous deux. Les parents de Michael sont exceptionnels. Comparé à mes parents qui sont jamais présent pour moi. Je pense que je vais me plaire dans la maison de Michael, j'ai même pas prévenu mes parents mais de toute façon ils ne vont pas se rendre compte que je suis plus là alors... Une fois j'étais parti pendant un mois entier. Je m'étais fait un ami pas très fréquentable et je l'avais suivi dans ces conneries jusqu'à ce qu'on se fasse choper par la police. Là j'étais rentré chez moi, j'étais obligé. Mes parents c'étaient même pas rendu compte que j'avais disparu.. Génial hein ? Bref, je vais sortir demain et vivre avec Michael et ses parents ça va être trop cool. Une nouvelle vie s'offre à moi. La roue tourne enfin.
Le 15 octobre 2014,
Cher Journal, aujourd'hui je sors enfin. Michael et ses parents viennent me chercher. Je suis tellement content. Merde ils sont déjà là. Je te laisse. A tout à l'heure peut-être.
Le 17 octobre 2018,
Aujourd'hui je quitte la maison des Cliffords pour aller emménager avec mon petit-ami, Michael Clifford, dans notre appartement rien qu'à nous deux. Et oui ça fait déjà 4 ans qu'on est ensemble. J'ai l'impression que ça fait moins longtemps, tout passe tellement vite. Je l'aime de plus en plus. Je doit déjà te laisser, il est en train de m'engueuler parce que je l'aide pas à mettre les cartons dans la voiture. C'est pas ma faute si il a mis toute sa chambre en carton. Aller je vais vraiment aller l'aider parce qu'il va péter un câble.
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OS N°9
FanfictionLe 11 octobre 2014, "Je pense qu'on a tous une addiction, quelque chose qui nous fait nous sentir vivant, moi Luke Hemmings, c'est l'adrénaline, la vitesse. "