Je me réveille doucement en me massant le cou, la dernière chose dont je me souvienne c'est de mettre fait anesthésier à grand coup de piqûres dans le cou. Je suis dans un tout petit endroit, impossible de me relever, j'etends un bruit de moteur ainsi que les vibrations des pneus d'une voiture sur le sol, une voiture, oui c'est ça, je suis dans le coffre d'une voiture. Je me souviens maintenant. Ils m'ont dit que le traitement avait marché. Ils m'ont dit que la maladie qui devait me tuer était partie. Ils étaient en train de me débiter tout un blabla scientifique incessant. C'est alors que j'ai souhaiter que M. Douglas perde l'usage de la parole. Au début j'imagine cru à une blague, puis je me suis tendue compte que c'était moi qui avait fais. Que je contrôlais un tas de facultés. La vue, l'odorat, l'ouïe, le fait de pouvoir parler ainsi que la faculté de bouger. Je peux vous enlever temporairement tour ça rien qu'en y pensant. Maintenant que j'y pense c'est sûrement pour ça que je me retrouve dans un coffre de voiture..
La voiture finit par s'arrêter. Un homme ouvrit alors le capot du coffre et me fit sortir. Ils me banderent les yeux de façon à ce que je ne puisse voir ni ou ils m'emmenaient ni qui ils étaient, car si je ne peux pas visualiser la personne mon "pouvoir" ne fonctionne pas. Un bruit de grillage se dit entendre. Et on me lâcha brusquement avant que l'homme qui me tenait les mains parte en courant. J'enlève le bandeau de mes yeux et découvre ou je me trouves. On dirait une forêt. Une forêt entourée d'un grillage fermé. Avant que je ne décide de m'aventurer dans cette forêt, un bruit se fit entendre derrière les arbres. Et un groupe de trois jeunes sorti de leur cachette. Une grande blonde me toisa d'un air hautain.
-Alors c'est elle notre nouvelle ?
Notre nouvelle ? Comme si je leur appartenait franchement !
-Phoebe, la juge pas sur un coup d'oeil ! Elle est peut-être plus intéressante qu'elle en à l'air. Répondit une brune aux yeux verts postée près d'elle.
-Arrêter de parler d'elle comme si elle était pas la voyons ! Coupa le jeune homme qui les accompagnait. Il est grand, fin, musclé mais pas trop avec de yeux marrons tachés de verts et des cheveux bruns qui vont dans tout les sens.- Moi c'est Jared. Et toi ? Me demanda t'imagine main tendu vers la mienne.
-April, April James. Répondis-je en acceptant sa poignée de main.
-Les filles, allez prévenir Derek, je m'occupe d'elle.
Ces dernières partir en hochant la tête.
-Alors April, tu sais ou tu es ? Me demanda t'il en commençant à avancer.
-Aucune idée. Dis-je en haussant les epaules.
-T'es dans un camps de réfugiés. Le camps de gens qui n'ont pas eu que la guérison au bout du sérum miracle. Ils nous ont mis ici pour nous couper du reste du monde, à cause de nos pouvoirs. Des lettres de condoléances ont été envoyés à nos familles, ils nous ont fait passé pour morts. On ne peux pas sortir. Le grillage qui entoure La réserve est protégé par un dôme fit de champs de force. Jusque la tu me suis ?
-Oui oui. Continue, explique moi collent vous vivez.
-Bah les premiers arrivants ne s'entendait pas du tout alors ils se sont séparés en trois groupes. Les nocturnes, mon groupe, les déterminés, le groupe qui essaie de s'échapper de ce trou et les robinsons ceux qui trouve tout et n'importe quoi pour améliorer notre confort de vie. Quand les nouveaux arrivants chaque groupe en prends un chacun son tours. Nous sommes ravitaillé en nourritures, fringues, CD, films, télé, matériel électrique et tout ce que tu veux par hélicoptère. Il nous balance ce dont nous avons besoin sur nos terrains. C'est pas compliqué en faite, c'est comme un camps de vacances géant. Sauf que la si tu t'attires de problèmes la mort est normale.
Je frissonne à sa dernière parole. Je me fiche d'être ici ou ailleurs car de toute manière mes proches sont tous morts et enterrés. Je pense que c'est un peu comme un nouveau départ non ?
-Ok mais pourquoi on vous.. Je veux dire.. On nous appelle les nocturnes ?
-Parce qu'on reste comme on à toujours été avant ça. On fait des fêtes, on boit, on fume, on drague. Le genre de trucs que les gens normaux de nos âges font quoi. Dit-il en me souriant.
-Ah d'accord. Je lui rendit son sourire nerveusement.
-Bon aller viens, je vais t'ammener à Derek et te montrer ta chambre et le reste de nos terrains ! Rétorqua t'il dans un clin d'oeil.