Je suis dans un château, sombre et très épeurant. Je suis seule et je ne comprends pas se qui ce passe. Je regarde autour de moi. Je suis allonger dans un lit en pierre. J'observe un peu mieux et je me rend compte que je suis dans une cellule. Comment ai-je pu arriver dans cette situation? Un ombre passe devant moi à une vitesse éclair. Je ne sais pas par quel miracle la porte s'est ouverte après cette chose absurde.
Je sort et j'aperçois des gardes arriver. Je me cache dans l'ombre et je laisse passé mes... "ennemis" si j'ose le dire. Une fois les gardes passés devant moi, je me dirige vers l'endroit où le groupe est passé et descend les escaliers. "Je sais que je suis un peu maladroite, mais je ne suis pas à un tel point gaffeuse. Qu'est-ce que j'ai pu faire pour mérité ma place en cellule." me dis-je. J'attend, alors, les gardes redescendre. "Quelle nouille! Ça s'est mon genre, oublier de refermé ma cellule!" Je redouble ma vitesse et arrive en bas des escaliers. Une grande porte rouge et noir y était et menait à l'extérieur. À peine une mains posé sur la porte les gardes me rattrapèrent. Ils m'ont eu!
***
Je me réveille, le front en sueur, j'était apeuré. Comme d'habitude, je mets mon manteau blanc et mon jeans gris. J'attache mes longs cheveux bruns en une magnifique tresse. Je me dirige vers la porte. Un courant d'air me traverse le dos. Ça me fait toujours ça, car j'ai appris, il y a quelques temps, que j'avais le pouvoir de contrôlé la glace, mais cette fois si, c'était pas la même sensation que d'habitude. J'ai décider de l'ignorer et continuer de marché en direction de la maison de ma meilleure amie Léila. Je cogne à la porte, mais personne viens m'ouvrir. Je suis rentrer dans sa demeure et la panique me prit... personne y était. Je suis aller à son travaille. Mon amie est une elfe garde se qui lui rend un air plutôt strict, mais au fond, elle est très drôle.
Au champ d'entrainement, personne y était. Je panique to-ta-lle-ment!!!
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Talya: L'elfe de l'hiver
SonstigesImaginer, vous réveillez après une nuit de cauchemar, le front en sueur et le regard figé par la peur. Vous sortez dehors pour une nouvelle journée mouvementé dans votre village, mais vous vous rendez compte qu'il n'y a personne. Seul quelques perso...