St Evenyourth

Chapitre 3 :

Je commencais à regarder les alentours, je ne la voyait pas non plus. Je remontit les escaliers a tout hate en cherchant quelqun de famillié autour de moi. Bien sûr, je ne connaissait personne. J'était nouvelle les seules personnes que je connaissait vaguement était Declan, Marissa et Phillipe, son petit frère. Je retournit vers les panneaux d'affichage pour savoir si je pouvait trouvé un endroit où l'on pourrait m'aidé à retrouver ma valise. En vain. Je decidit donc de faire un tour dans le dortoir à la recherche de Marissa. Si elle se déplacée en limousine, c'est quelle devait aussi etre logé au meilleur endroit donc d'apres ce que j'avait entendu dire, les dortoirs se trouvant au deuxieme étages. Je m'y rendit donc. Quand j'arrivit au deuxieme etage je fut surprise de voir qu'il etait si grand. Il devait y avoir au moins deux cents chambres et cela de chaque coté. De plus, l'etablissement compté quatre etages juste pour le dortoir des filles et cinq consacrés aux dortoirs des garçons. Dans une semaine, cette école sera remplit... beaucoup plus que je ne le pensait. Je n'avait jamais etait dans un etablissement aussi grand auparavant, mais bon, à ce que je voyait et à se que les gens disaient se n'etait pas la seule différence qu'il y avait avec mes etablissements du passé.

- Tu es perdu ? me demande une voix feminine derriere moi.

Je me retournit et fit face à une femme d'une trentaine d'année, en vrai je lui aurais donnait moins, mais les nombreuses blessures qu'elle avait et les rides qui contourné ses yeux me disaient le contraire. Elle été d'une forte carure et portait un uniforme de gardien comme je voyais dans les films de science fiction. Vous avait deja vu un gardien de prison ? Leur longue tenue toute grise ?! Et bien c'etait la meme. Sauf que celle ci faisait moins sinistre, mouler parfaitement les courbes de cette femme et paraîssé etre confortable pour toute posture.

- Oui.. Je cherche le numero de chambre 457 ? ; demandait je.

- Ah, tu dois etre Rosalie Hathoney; me dit la femme en me faisant un sourire. Suis moi.

Elle se dirigea vers son bureau et pris une clé avec elle. Je la suivit dans le long couloir. Il y avait un tapis rouge à terre et du marbre aussi. Elle s'arreta devant une porte qui portait le numero 457, elle se trouvé presque au milieu du couloir.

- Et voila; me dit elle en me tendant la clé.

Je lui fit un sourire pour la remercier et lui prit la clé. Je voulut lui demandé où je pourrait peut etre retrouver ma valise mais elle avait deja disparut. Je mis la clé dans la serrure et la tourna. J'entendit un clique et la porte souvrit devant moi. Je fut agreablement surprise et soulagé de voir que mes bagages etaient aux pieds d'un des deux lits. C'etait une vaste piece qui en vrai, pourrais contenir au moins 4 lits double. Les lits avaient l'air confortable, doux... Parfait pour bien dormir. Deux longues commodes collé l'une à l'autre se dressées sur le mur en face de moi, au dessus se trouvé deux fenetre. Je remarquit qu'il y avait aussi deux bureaux, chacun equipé d'ordinateur portable et de tout l'equipement nessésaire pour bien étudier. Je m'avanca et remarqua qu'à coté de chaque lit se trouvait une table de chevet. Je m'avanca d'avantage devant le lit où se trouvé mes affaires. Je vit un papier posé sur ma valise. Je le pris dans mes mains dessus il y avait ecrit " En esperant que tu n'as pas trop paniqué a l'idée de ne pas trouvé ta valise, Rose. Je les fait pour te souhaité la bienvenue. " Je n'y comprenait rien, surtout quand je retournit le morceau de papier et vit que cette personne n'avait pas signé. A l'ecriture, ont pouvait deviné l'ecriture d'un garçon.

-Apres tout, c'est peu etre Declan; me dit je.

Je posa le papier sur le bureau et rangea ou plutot fourra mes affaires dans la commode qui se trouvé de mon coté. Je me rendit ensuite à la salle commune. C'etait une grande piece ou se trouvé un grand ecran placema, deux canapés, des fauteuils un peu partout, un piano, une cheminé, des tables en rond et quelque autre objet. Aux murs se trouvait des cadres mais je ne pretta guere attention à eux. C'etait une grand salle, chaleureuse, sociale, conviviale. Ou je savait que j'allait y passé des heures.