Chapitre 1

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Je me lève à contre cœur. Cela fait seulement deux semaine que la rentrée est passée, mais j'en suis déjà à compté les jours et les heures qui me sépare des prochaines vacances. Je m'habille simplement avec un jean et un t-shirt noir.

Je pénètre dans le salon. Une modeste pièce avec un grand canapé de cuir noir, un écran plat géant 3D Ainsi qu'une grande table en bois et une plus petite en verre. Mes parents sont assis sur leur grande chaise au dossier d'un mètre et me dévisage.

- Quoi?, je fait avec un peu trop de brutalité.

Je n'aime pas qu'on me fixe comme ça.

- Rien ma chérie, rien....

Ma mère est mon exacte contraire, elle est belle. Elle a de long cheveux brun aux mèches blondes et des yeux vert émeraude perçant- il est très désagréable de plongé son regard dans le sien quand elle est énervée-. Mais elle a aussi un espèce de magnétisme qui la rend très attractive. Moi je suis repoussée de tous parce que je cite " tu dégage un aura maléfique". Je m'assois machinalement sur une chaise tout en me faisant une tartine de pain beurré. Je soupire, le jour où j'aurai un ami c'est qu'on ne sera plus que deux sur terre. Mais bon j'aime bien être seul au moins on n'a pas de responsabilité envers les autres.

- dépêche toi on va être en retard!, crie mon père.

Mon père, c'est le portrait craché de ma mère en masculin. Il veut toujours qu'on se pressent. En même temps je le comprend on habite à une demi-heure de voiture du lycée et on ne sait jamais le trafic qu'il y aura.

Je dépose mon assiette sur le comptoir de la cuisine, empoigne mon sac et nous voilà partit. Je monte dans la porche rouge de mon père et enfile mes écouteurs. Je m'étais toujours demandée quel métier font mes parents. Ils n'avaient jamais voulu me répondre prétextant que c'était trop compliqué à comprendre. Même moi je mens mieux, j'ai 17 ans je ne suis pas conne je m'estime donc capable de comprendre le principe d'une profession.

J'arrive devant mon lycée pile à l'heure. Katherine Terine une pétasse prédestinée m'envoi un sourire mauvais.

- Alors la sorcière comment ça va aujourd'hui?, me demande-t-elle.

- Excuse moi je ne parle pas au pute.

- En attendant moi j'ai des amis.

- Ha et ils te payent combien?

Elle pousse un petit grognement et rentre dans l'établissement.

Le bâtiment est plutôt grand. Les murs son peint dans un orange étrange, un petit peu comme si on avait mélangé de la moutarde et de la mayonnaise et qu'on avait étalé le tout dessus. Quatre petite fenêtre carré complète la façade. Le toit est plat et de l'herbe pousse dessus.

je rentre dans mon école pour découvrir un attroupement massif. En jouant un peu des coude et de mon influence repoussante je peux apercevoir une scène hilarante et déconcertante. Tim Heuteland vient de donner un magnifique directe dans les parties de son présumé meilleure ami et lui a baissé son pantalon. Hier soir j'ai rêver de ça. Les même mouvements, les même expressions sur les visages de tout ces imbéciles. C'est effrayant.

- Il va dire salop, je murmure pour moi même.

- Salop, crie jack le meilleur ami de Tim.

- Comment tu savais?

Je sursaute c'est la voix du nouveau Ethane Wolf.

- heu... c'était... prévisible?, je ne sais pas pourquoi il me parle. Il ma ignoré pendant ces deux semaines et là il me parle.

- Je pense qu'il y une autre explication.

- C'est peut-être parce que je suis une sorcière, je persifle cyniquement.

- Ho une sorcière? très bien.

C'est très étrange ce qu'il vient de dire la. Je me sens un peu gênée je n'ai pas l'habitude qu'on me parle. Je n'aime pas non plus tout ces corps près de moi. Je me dégage brusquement prise d'un sentiment d'étouffement. puissant.

- Qui a-t-il?, c'est toujours Ethane qui parle. Il me suit ou quoi?

- Ri..., je n'arrive plus à respirer, plus... ré...rer...

Je sens deux bras chaud, fort et rassurant m'enlacée avant que je sombre...

les éffracteurs de rêveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant