En Amérique, dans la banlieue de Boston, un couple vit mal leur relation et l'ambiance ce soir là n'était pas assez bonne.
Le mari du couple travaillait aux affaires étrangères, donc il ne passait pas beaucoup de temps à la maison. Sa femme, pensant qu'il le trompe, veut en savoir plus sur son travail.
- Pourquoi tu n'es jamais là ? Dis la femme avec un ton énervée.
- Je travail, que veut tu que je te dise ?
- Tu n'es jamais la, je veux juste que tu me dises ce qui ne vas pas ?
- Tout va bien, ne t'en fais pas, dit le mari avec un air affolé.
- Ah oui, je ne doit pas m'en souciée, tu te fous de moi ? C'est comme cela que tu veux voir notre relation ? Tu es tellement pathétique !
- Non, arrête ! répondit le mari avec de colère.
- NON ! Je ne vais pas m'arrêter, répondit sa femme avec tellement de rage.
Le mari, énervé, quitte la maison pour aller dans son atelier, qui se situait au fond de son jardin. Il y entre et prend sa boîte à outil, et en sort un marteau. Quittant l'atelier, le marteaux à la main, il se dirigea vers la porte d'entrer, se dirige vers sa femme:
- Que fais-tu ? NOOON...
Le mari l'achève avec le marteau, et sa femme tombe par terre dans un bain de sang.Chapitre 2:
Cet homme n'était pas sur la bonne voie et sa conscience était à la fois lourde et délicate. Il n'arrêtait pas de penser à ce qui va lui arriver maintenant qu'il est un assassin, il va devoir la mettre de côté pour le moment et il va devoir effacer le plus de preuves possible.
Il alla chercher des draps dans sa chambre, pour enrober le corps de sa femme. Il prit le cadavre sur son épaule, monte les escaliers pour se diriger vers le grenier. Il ouvrit la trappe et place le cadavre à côté et la ferme.
Il descend dans la cuisine, attrape des serviettes pour nettoyer la grande flaque de sang laissée par sa femme. Il se regardait dans le reflet de la flaque et voyait en lui un tueur, un monstre. Il commença à nettoyer ce désastre qu'en soudain, il entendit du bruit. Il va voir par la fenêtre de la cuisine pour voir s'il y a quelqu'un, mais non, il ne voit rien donc il se remit à nettoyer le sang. Quelques minutes après il réentendit ce bruit, mais cette fois en beaucoup plus fort. Il commença à se demandé d'où venait ce bruit. En l'écoutant une dernière fois, il se rendit compte que ce bruit venait de l'intérieur de la maison , plus spécifiquement, du grenier.Chapitre 3:
Apeuré par ce bruit, il attrape un couteau de cuisine pour se défendre. Il commença à montrer les escaliers pour atteindre le grenier qu'en soudain, quelqu'un sonne à la porte de la maison. Il ouvrit la porte et tombe sur un agent de police. Essayant de garder son sang froid il dit:
- Bonsoir, tout va bien Mr l'agent ?
- Bonsoir monsieur, je viens d'avoir un coup de téléphone de vos voisins, et ils m'ont expliqués qu'ils ont entendus une femme crier.
- Ah, euh...je viens juste d'avoir une dispute avec ma femme et elle est partit voir une amie à l'autre bout de la ville.
- A l'autre bout de la ville vous dites ? Mais sa voiture est toujours là ?
- Et ben...elle a sûrement du marcher, où elle a prit un taxi.
- Très bien puis-je entrer s'il vous plaît ? Demanda l'agent de police
- Euh...bien sur! répondit l'homme avec un air affolé.
Le policier commença à aller dans l'entrée et regarde le salon, puis demande :
- Comment était le dispute ?
- Bah... C'était une dispute sur voulez-vous que je vous dise ?Mais je ne lui ai fais aucun mal.
- Je n'ai jamais dit ça, répondit le policier avec un ton sec. Est-ce que je peux visiter l'étage ?
- Oh il n'y a rien à voir en haut ! Répondit l'homme.
- Très bien, donc je peux vérifier par moi même. Lui répond le policier.
- Écouter... Dit l'homme en s'énervant et en serrant bien le couteau de cuisine qu'il a dans la main qu'il cache derrière lui.
- Monsieur, reculé tout de suit, dit le policier en mettant la main sur son pistolet rangé dans sont étui. Montrer moi vos deux mains tout de suites.
L'homme range le couteau dans son pantalon et montre ces deux mains.
Le policier rassuré, ne voyant aucune armes, lui demande :
- Asseyez-vous dans le canapé et attendez-moi ici s'il vous plait.
L'homme s'exécute aussitôt.
Le policier commença vite fait à fouiller le rez-de-chaussée, et monta les marches pour accéder à l'étage.Chapitre 4:
L'agent circulait à l'étage de la maison regardais chaque pièces de l'étage, la salle de bain, la chambre et ne trouvait rien de suspect ou anormal.
Soudain il entendit un bruit. Le même bruit qu'avait entendu l'homme lorsqu'il était dans la cuisine. Un bruit de tapotements, comme si quelqu'un frappait fort sur quelque choses.
Il remarquait que cela venait du grenier. Il sortit le pistolet de son étui et le pointe sur la trappe du grenier.
Le policier tire sur la trappe à trois reprises, mais il ne comprend pas ce qui se passe.
Tout à coup, la maison se mît à trembler, et le policier tomba de l'escalier. Il se redresse, toujours l'arme à la main, et recommence à tirer en direction de la trappe, qu'en soudain elle s'ouvre violemment et le tremblement de terre se finit.
Le policier apeuré, pointe toujours son pistolet en direction de la trappe ouverte, en tremblant et en se demandant ce qui va se passer, quand soudain, il sentit une douleur inimaginable dans son dos. Il se retourna et vois le propriétaire de la maison. Il le regarde en souffrant et ne vis aucune expression sur le visage du propriétaire, il pouvait juste supposer ce qu'il était entrain de penser. Cela montre à quel point le propriétaire est sans pitié. Le policier tomba sur le sol et meurt. Le propriétaire regardant en direction de la trappe, du Grenier, voit la silhouette d'un être humain, plus particulièrement, celle de sa femme.Chapitre 5
Le propriétaire était sous le choc et apeurer. Est-ce vraiment sa femme ? Est-ce un esprit ? Un démon ? Il se posait toutes ces questions, il était complètement embrouillé et apeuré à la fois. Il ne perd pas une minute, il prend ses jambes à son coup et cours, il descendit l'escalier pour arriver au rez-de-chaussée. Il se dirige vers le salon et ne sait plus quoi faire. Il entendit sa femme ou plutôt ce qu'il croit être sa femme, descendre l'escalier. Il se cache aussitôt derrière un canapé, armé du couteau de cuisine qu'il c'est servit pour tuer le policier. Il entendit des pas arrivés vers le milieu du salons, et n'entendit plus rien. Il ne savait plus du tout ce qu'il se passait,il ne comprenait plus rien. Soudain tous les meubles de la pièce y comprit le canapé avec lequel il se cachait se fracassaient contre les murs du salon, comme si une force démoniaque les avait fais bougés. Le propriétaire regardait sa femme dans les yeux et dit:
- Je te demande pardon, pardon pour tout !
Mais ce n'était plus sa femme qui habitait son corps. C'était une force maléfique, démoniaque. La force maléfique pointa du doit le propriétaire et ferme le point, comme si elle voulait réduite quelque chose en cendres.
Le propriétaire se fait soulever du sol, comme si quelque chose le tirait du plafond. La force démoniaque prononce une formule diabolique et le propriétaire prend feu ainsi que toute la maison, qui finit par s'effondrer.
Une enquête policière a été lancée sur cette affaire, mais ne parvenais jamais à faire surface, les voisins et les amis du couple interrogé mais rien n'a pus surgir, l'affaire a été oublier au bout de trois mois.
VOUS LISEZ
Esprit meurtrier.
Mystery / ThrillerDans la banlieue de Boston, un mari à assassiner sa femme. Essayant de cacher son crime, l'esprit maléfique ayant pris possession de sa femme va lui hantée.