Le banc.

11

Noël est dans une semaine, la neige s'est déjà installé depuis un bon bout de temps maintenant.

Il fait très froid aujourd'hui et comme une idiote j'ai oublié mes gants chez moi. Mes bouts de doigts son complètement congeler à cause de ce froid glacial, j'ai du mal à tourner les pages de mon livre.

- Coucou, Rebelle, dit cette voix mélodieuse que je connais par coeur.

- Hey Luke, dis-je en tournant ma tête vers lui.

Il s'assoit.

- Tu veux qu'on discute de quoi aujourd'hui ? questionne t-il avec enthousiasme.

Je hausse des épaules, tout en retournant à ma lecture.

- Pourquoi es-tu si détestable ?

Je lui lance un regard noir.

- Tu veux que je te raconte une blague à la place ? demande t-il avec un grand sourire pour se rattraper.

- Si tu veux, ai-je dis en roulant des yeux.

- Alors c'est deux oiseaux, qui font un barbecue. Y en a un qui demande à l'autre : " Tu le veux comment ton steak ? ". Et l'autre lui répond : " Cui Cui. " , termine t-il sa blague en esclaffant de rire comme un enfant.

Il est vraiment débile ma parole mais tellement adorable.

- Tellement désespérant, dis-je en soufflant.

- Quoi la blague ? rigole t-il encore par sa complément nul.

- Non toi ! dis-je en rigolant tout doucement.

- Whao ! dit-il sûrpris

- Quoi ? ai-je dit en arquant un sourcil.

- C'est la première fois que je t'entends rire depuis que je te connais, sourit - il joyeusement.

- Et ?

- Et il est juste magnifique comme toi, répond t-il d'un sérieux extrême.

Je reste bouche bée. C'est la première fois depuis longtemps que quelqu'un me fait un ci jolie compliment. Je ne sais vraiment pas comment réagir.

Baissant ma tête vers mes doigts frigorifié je lui dis d'un seul coup.

- Tu veux savoir pourquoi je suis détestable. ?

Je tourne légèrement les yeux vers lui.

- Je me hais.

- Quoi ? dit-il en fronçant les sourcils.

- Je me hais, ai-je dis plus fort. Et le problème, quand tu te mets à te haïr, tu commences à haïr le monde entiers. Et tu deviens détestables.

Il m'attrape la main.

- Ta main est complètement glacer, dit-il sûrpris.

J'ignore ça phrase.

- Je suis fade et vide à l'intérieur, dis-je d'un ton neutre.

- Éléna, dit-il avec un ton de pitié.

Il sert plus fort ma main.

Il a pitié de moi, c'est pour ça qu'il reste avec à mes coter.

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J'aime beaucoup ce chapitre en particulier, je ne sais pas vraiment pourquoi mais je l'aime bien.

Et merci beaucoup pour les 136 vues. J'adore vraiment écrire cette fanfiction j'y met vraiment tout mon amour.

X o X