Les deux cavaliers de l'apocalypse

Je suis...

Je me nomme Adria, nous sommes présentement le 3 Juillet 2150, il fait une chaleur que je ne peux expliquer, mais qui est au-delà insupportable.
Je vis avec mon père qui se prénomme Logan, nous vivons en Amérique du Sud, depuis quelque temps.
Depuis l'évènement qui c'est passer environ 15ans avant, nous devons souvent changer d'habitation.
En effet en 2135, une colonie d'épidémie c'est propagé sur toute le continent de la Chine, depuis se temps l'épidémie se propage sur toute la planète.
Nous avions pus constater que se virus peuvent nous transformer, en un... monstre que nous appelons " Zombie " .
J'ai souvent terriblement peur, mais rien ne m'empêche de repenser de se jours qu'on ma enlever ma mère, ma mère n'est désormais pus à nos coter, elle c'est fais contaminer, on n'a pus malheureusement pus rien faire.
Je n'ai jamais pus connaître réellement la vrai vie, que mon père a vécus durant sont enfance, car quand l'épidémie venais de se propager j'avais simplement 1ans.
Mon père à dus s'occuper pendant tous se temps de moi pendant tous se drame.
Nous partons effectivement demain vers l'ouest!

Je regarde légèrement une photo sur mon lit, de moi et ma famille, il me manque énormément même si je n'ai pas eu la chance de pouvoir les connaître.
Mon père remplis l'essence dans la camionnette pour pouvoir partir tôt le plus possible demain.
Je me pose souvent la question d'où qu'il prends toute cette essence ? Parce que depuis quelque temps ont c'est jamais arrêter à un tinque à gaz, simplement à cause qu'on n'en vois jamais.

Logan : Adria ?
Adria : Oui papa ?
Logan : Je viens de terminer de remplir la camionnette, et je ne crois pas
qu'on pourras se rendre à la destination.
Adria : Alors on fera quoi sans d'essence et de camionnette ?
Logan : On devras trouver un moyen de voir si pendant notre trajet
on pourrait trouver un tinque à gaz pas très loins d'ici.
Mais t'inquiète, l'important c'est que tu t'e repose..
Adria : Oui..
Logan : Bonne nuit, je t'aime.
Adria : Bonne nuit, je t'aime aussi papa!

Il me déposas un bisous sur le front, et part-as vérrouiller toute les portes..

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