Baby don't cry T.2 | EXO (fic)

Chapitre 7

Previously in Baby don't cry... Adèle et Tao sont allés à la piscine, mais Tao a soudainement eu envie d'aller aux toilettes, et donc pendant ce temps là, Adèle est tombée dans l'eau, seule, elle se noie. 

/!\ Attention, ce chapitre ne contient aucune crédibilité, attention aux pertes neuronales qui pourront dangereusement vous affecter. /!\ 

Point de vue Tao (attention le héros va venir sauver la belle...ou pas :') )

Je me rendis tranquillement dans les toilettes, fis ce que j'avais à faire et retournai vers la piscine. En entrant, je croisai une personne, qui marchait assez rapidement, la tête baissée, vers la sortie. Bizarre, je croyais être seul avec Adèle. Je me retournais, mais elle avait déjà disparue. Cette ombre, cette silhouette, on aurait dit Kris. Je repris le chemin vers l'eau, un peu frustré, contrarié. Je levais la tête, tout souriant, mais ne vis pas Adèle. Elle avait disparue, s'était évaporée. Une vive peur me saisit brusquement, un fin sentiment stressé.

- Adèle ? fis-je, dans l'espoir qu'elle soit cachée.

Comprenant que ce n'était pas une blague, je me mis à la chercher, partout, en criant son prénom. Inquiet, je tremblais de tout mon corps, je paniquais. Et si il lui était arrivé quelque chose ?

Par réflexe, je regardai furtivement dans l'eau, je la vis, au fond, immobile. Cette vision me rappela un douloureux souvenir auquel j'aurais aimé ne plus penser. Je ne réfléchis pas une seconde de plus et sautai dans l'eau, pour la repêcher (en fait, Adèle est un poisson, voilà, vous savez tout maintenant xD *sors*). Je saisis son bras et la tirai vers le bord de la piscine, malgré les souvenirs qui me poussaient vers le fond, telle l'ancre d'un bateau se presserait sur moi. (Aller Tao, fighting ! -ok je vais me pendre sur la tombe de Lulu-)

Allongée sur le sol, inerte, je faisais tout pour la ranimer. Elle ne bougeait pas et ne montrait pas le moindre signe de vie. Ses yeux étaient clos et sa respiration ne s'entendait plus. Mon cœur battait tellement vite, qu'il pourrait quitter ma cage thoracique et continuer de bondir des kilomètres. J'aimerais pouvoir lui donner les piles de mon cœur pour faire rebattre le sien, lui donner tout l'amour que je lui dois de cette façon.

- Adèle, reste avec moi, s'il te plait, Adèle...

Elle ne bougeait pas. Je lui procurai tous les soins que je connaissais, mais rien n'y faisait. Pourtant, je continuais d'espérer, de croire qu'elle était toujours là, et qu'elle dormait simplement.

(attention, ÉNORME moment de déjà vu trèèèèès trèèèèèès trèèèèès crédible, mais vraiment hein..ça ne relève même plus du stade de la crédibilité là, on est au level supérieur x)) (ouais mais je vais pas tuer Adèle, surtout que là sa mort ne serait pas originale.. hehe)

Quelques secondes qui me semblaient durer une éternité passaient, durant lesquelles je regardais lâchement son corps, ne sachant plus quoi faire. C'était peine perdue, mais je refusais de l'accepter. Tout ça s'est déjà déroulé une première fois, pourquoi maintenant une seconde ? Pourquoi vouloir toujours lui faire subir le pire, lui remémorant de douloureux souvenirs ?

Une larme coula malgré moi, le long de ma joue, puis s'en suivit d'une autre. Je me sentais.. vide, seul, apeuré. (bonjour la réaction du mec qui vient de perdre sa copine xD)

Je pris sa main dans la mienne et la serrai. Elle était froide, pour ne pas dire congelée. Je sentis une légère pression (Tatatataaaaaa, LE moment le plus crédible de la planète) s'exercer sur mon doigt. Je levais immédiatement le regard et vis Adèle qui bougeait doucement ses lèvres, balbutiant un mot que je ne comprenais pas. Un sourire se forma sur mes lèvres, et je ne pus m'empêcher de la prendre dans mes bras. Je la portais et la ramenai dans les vestiaires, pour l'enrouler dans une serviette sèche. Elle était aussi froide qu'un glaçon, voire même plus. Comme si elle sortait d'un congélateur au Pole Nord. Elle clignait difficilement des yeux tout en tremblotant dans mes bras. Je la serrai plus fort contre moi, soulagé. On resta dans cette position quelques minutes, je ne pourrais dire exactement combien, frôlant le silence. Seules nos respirations irrégulières s'entendaient, la sienne se faisant un peu plus difficile. Au bout d'un moment, elle rompit le calme.